Félicitation ! Vous pensez convenir pour cette salle et être en mesure de reprendre les reines du bâteau pour enfin rejoindre Lumiris. La terre ferme est un doux rêve que vous souhaitez voir devenir réalité.
Alaric décide de faire un tour ailleurs, accompagné d’Even. Après tout, comment se battre et se défendre si vos précieux compagnons ne vous accompagnent pas ? Et comme vous ne pouvez pas compter sur vos pokéballs, autant aller défoncer les gueules ( ou les portes ) de ceux qui retiennent prisonniers les pokémons de la garderie.
Alors qu’Alaric donne un coup de pied à la porte, celle-ci voit sa serrure se briser et la porte s’ouvre. Va falloir rembourser, très cher. Ce n’était pas un bois de piètre qualité et les détenteurs du bateau ne seront pas contents des dommages. Une lueur d’espoir vous accompagne quand la porte bouge… de quelques millimètres uniquement. Vous avez beau pousser, espérer, la porte ne bouge pas plus que quelques millimètres, permettant seulement à une main de passer et encore. La réalité vous frappe : la porte est bloquée d’une quelconque façon de l’intérieur.
Quant à toi, Lise, tu suis le chemin du capitaine du bateau pour cette fameuse cabine de navigation. Au départ, tu es suivie par Lyanora, mais au milieu du chemin, non seulement tu vois trois formes au loin qui semblent garder la cabine de navigation, mais aussi : tu es seule. Lyanora n’est plus avec toi. Tu ne peux pas affronter trois personnes en étant seule, et sans pokémons, et surtout… le but de cette croisière n’est pas de laisser quelqu’un mourir. Pourquoi ne recherches-tu pas où se trouve Lyanora comme ça, à deux, vous pourrez trouver un moyen de faire dégager les trois formes qui se trouvent devant la cabine et qui ne t’ont pas encore vue ? Peu importe ce que tu détiens de la salle de réception, trois personnes, c’est beaucoup trop pour ta personne seule.
Et quand tu finis par retrouver Lyanora… c’est coincée dans les bras d’une employée aux yeux froids et au sourire mesquin, main tenant un couteau sous la gorge de la Miss Lumiris. « La pauvre petite s’est perdue, mais la princesse a visiblement des amis pour venir l’aider ? » Son ton de voix est à l’image de son apparence : froid, désagréable et hautain. Vous êtes des jouets, pour cette employée.
Faut croire que tous vos détours vous tiennent éloignés de la cabine, même Lise qui avait commencé par y aller directement se retrouve mêlée à d’autres histoires. La terre ferme semble lointaine désormais.
Bonjour ! Le groue se compose d’Even, Alaric, Lise & Lyanora.
Vous avez exactement une semaine pour poster. La prochaine modération tombera donc le 26 juillet à 2h du matin toujours ! (Heure FR)
Votre modération référent est Lys (coucou c’est moi) et si vous avez des questions, c’est elle qui faut tag !
Résumé du tour de modération : Alaric & Even se retrouvent à devoir essayer de comprendre comment ouvrir la porte et savoir si quelque chose les attend. Lise doit sauver Lyanora qui, en se perdant, s’est fait prendre en otage par une employée.
Amusez-vous bien ! (Lyanora commence bien)
Even Ifllys
La Salle de Navigation
Magirêve
100
Pharamp
65
Teddiursa
29
Flotoutan
40
Lampignon
28
Lockpin
20
Lise Gray
La Salle de Navigation
Lucario
100
Gardevoir
100
Altaria
100
Oratoria
100
Yanma
100
Draco
100
Alaric Onde
La Salle de Navigation
Emolga
50
Ludicolo
50
Girafarig
50
Poichigeon
5
Inexistant
xxx
Inexistant
xxx
Lyanora M. Caelum
On sait pas trop
Fragilady
51
Cacturne
50
Pomdrapi
50
Roselia
31
Vivaldaim
5
Sinistrail
5
Even Ifllys
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Pour Even, il n'était pas question de rester passif face à sa seconde rencontre avec la Team Mistral et leur Chef. La première fois, au Mont Eneka, il avait été inutile et avait fait face à sa propre faiblesse ainsi qu'à la peur elle-même. Dans l'esprit du Pléaide, Hyouga n'était pas un humain mentalement stable. Comment des gens pouvaient-ils se laisser embrigader par cet homme et ces idées comme l'avait été le capitaine ? A combien d'autres personnes avait-il pu retourner le cerveau ? Hyouga avait laisser sous entendre qu'on ne pouvait pas faire confiance à ce que l'on connaissait ... Mais n'était-ce pas là une sournoise tentative pour nous faire douter des uns des autres ? Even connaissait peu de personne sur ce bateau, mais il avait confiance en ceux qu'il avait reconnu. Tel que Lise, qu'il avait tenter de suivre et même d’appeler avant que sa masse de cheveux volantes au vent ne disparaisse au détour d'un couloir, prit par un quelconque élan d’héroïsme. Even avait rarement vu Lise dans ce mode d'action. Il l'avait vu en tant que Star de Lumiris, puis sa fin de carrière bien que le titre serait sans doute sien à vie et il l'avait même affronter en tant que championne et coordinatrice, mais mise à part le petit combat de débutant qu'elle lui avait accorder pendant ces débuts, il n'avait jamais vu la femme dans un tel état. Le pléiade se souvenait bien de sa rencontre avec Lise Gray, peu après son arrivée et les premiers Evénements orchestrer par la Team Mistral. Mais en un sens il l'a comprenait puisque lui-même gardait rancœur après une seule rencontre, alors il n'imaginait pas si c'était la troisième fois que cette bande de givrés croiseraient son chemin!
Ne pouvant suivre la Météore filante vers l'affrontement, Even prit un autre couloir menant vers la garderie où il avait dû bon grès mal grès laisser son meilleur ami pour le Banquet. Il redoutait de ce que les Mistrals avait pu faire à son Magirêve mais il savait le magicien spectral intelligent et capable de se défendre. Si le jeune homme avait réussi à aller aussi loin, c'était grâce à lui uniquement. Il l'avait bien compris quand il avait fait face à Hyouga sans pokémon, sans eux il était faible. Et il avait tenter de remédier à cela à travers des entrainements avec Innocents, un ex-policier retraité du Kanto qui avait fini par ouvrir une salle de sport dédiés aussi aux forces de l'ordre de la région. Jamais le Pléiade, qui était plutôt acrobate et danseur ne se serait attendu à suivre un entrainement policier, mais il savait pertinemment que ça lui servirait, il en avait la preuve aujourd'hui même. Il devra penser à remercier Innocent, quand ils seront tous sortis de là. Even avait confiance. Cette confiance fût renforcer lorsque dans sa course, il fût rejoint par Alaric Onde. Le Pléiade était à la fois une sorte de rival et ami. Il ne l'avait plus revu depuis leurs tournées en ligne post-défaite contre Lise mais la vie semblait lui sourire, au bras de Lyanora et avec un nouveau dôme. Le blandinet sourit à l'homme aux cheveux noirs qui avait sans doute lui aussi compris la nécessitée de récupérer leurs compagnons si ils voulaient saborder les plans de Hyouga et des Mistrals.
Contrairement à Even, face aux deux grandes portes de bois massif, Alaric n'hésite pas à foncer dans le tas d'un puissant coup de pied qui semble ouvrir la porte! Il poussa la porte en comptant bien féliciter son comparse pléiade pour cette action d'éclat mais la porte ne fit que s'entrouvrir. Elle était barricadé de l’intérieur! Les saletés de fils de ... Mais la porte était néanmoins entrouverte! On pouvait entendre à l'intérieur une cacophonie chaotique qui laissait entendre que nos pokémons ne se laissaient pas aussi faciles intimider et enfermés que cela! Ce simple fait redonner de la vigueur au garçon qui regarda Alaric, avec le feu de défis dans le regard.
"-Nos partenaires ne se laissent pas faire! Mais ils ont bloqués la porte de l'intérieur." lui dit-il malgré l'évidence de la chose. Puis Even s'approcha de l'embrasure créer par le coup de pied d'Alaric pour tenter d'interpeller son compagnon spectrale. "Bateleur, envoie tout ce que tu as, te retiens pas avec eux."
Le Pléaide s'éloigna alors un peu de la porte et lança un regard entendu à Alaric. Si ils voulaient ouvrir cette porte, il ne semblait qu'il n'y avait qu'un moyen possible pour eux. Y aller ensemble jusqu'à ce que la porte cède. C'était la seule solution à leurs portées humaines, sembla-t-il à Even sur le moment, sauf si Alaric avait un autre plan en tête. Ils ne pouvaient pas rester là jusqu'à ce que les pokémons règlent éventuellement la situation par eux-même de l'autre côté de cette obstacle de bois...
"-On y va à trois."dit-il en laissant implicitement l'honneur du décompte à Alaric.
Even se mit à reculer pour prendre de l'élan, cela allait lui faire mal c'était certain. Mais qu'est ce qu'un gros bleu contre la satisfaction de ne plus être la même fiche molle qui s'était laisser broyer le bras à Eneka. Il n'attendit qu'Alaric pour passer à l'action.
Codage modifié par K pour Dusk Lumiris
Lyanora M. Caelum
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
J’aurais aimé qu’une partie de moi me convainque que de marcher seule était une mauvaise idée. Vraiment, dès le moment où l’on m’avait agrippée et tirée par le bras, je m’étais maudite. Par désespoir, par haine, par volonté vindicative. J’eus cru que c’était un ami, qu’on m’avait vue m’éloigner et qu’on voulait m’empêcher de me perdre. J’avais eu un léger pincement lorsque j’avais vu ce regard avide, assoiffé d’une inhibition que je ne pouvais même pas imaginer. J’avais peur, je tremblais. Dès que j’avais senti sa lame contre ma gorge, je m’étais raidie. Craintive. Chétive. Incapable de me défendre. Je me maudissais, me traitais de tous les noms. J’aurais voulu m’enfoncer moi-même cette lame au fond de la gorge pour en avoir fini de ma bêtise et de ma personne maudite pour tous les saints du ciel. J’avais regardé la femme, sans la reconnaître, mais j’avais compris qu’elle ne me voulait aucun bien. « Alors on se promène seule ? » J’aurais aimé dire non. Je ne savais pas mentir. J’aurais aimé la mettre au tapis et courir. Je ne savais pas me battre. J’aurais aimé tant de chose. Je ne savais que rêver. Encore et toujours, rêver comme si c’était tout ce qui pouvait exister. C’était beau, c’était poétique, mais c’était tellement inutile lorsque l’on voguait sur un paquebot assailli par un homme que tous ici semblaient détester. Un homme que même Alaric semblait craindre.
Je m’en voulais d’avoir ignoré son conseil. J’aurais dû rester au sol là-bas. Au lieu de ça, je me retrouvais acculée dans un coin, les cheveux tirés par une dame que je ne connaissais pas et qui semblait, pourtant, me connaître. Faisait-elle partie de ces employés si doux qui nous avaient servis toute la journée ? Était-elle de ceux qui m’avait amené mes pancakes ? Ou qui avait assisté, désemparés, à mon karaoké ? M’en voulait-elle personnellement ? Étais-je une cible ou étais-je simplement une heureuse coïncidence… au mauvais endroit, au mauvais moment ? Évidemment que j’allais geindre. Évidemment. Je n’aurais pas été Lyanora. Droite comme une barre, tentant de rester fière, j’étais prise au dépourvue, je ne savais comment réagir, je ne savais comment me libérer de ce fâcheux pas. Je ne pouvais que verser des larmes de panique, me sentir agressée, avoir envie d’en finir au plus vite.
Pour la première fois de ma vie, je voyais la cruauté du monde.
Je voyais le voile nacre et anxiogène de la Mort planer au-dessus de ma tête. Je voyais l’ébène de son tissu m’envelopper et m’emporter loin, je me voyais voler, quitter le sol. Je me voyais moisir lentement dans un coin de ce bateau sans que je n’eusse pu faire quoique ce soit. Mes paupières ne se fermaient pourtant pas. La femme, pernicieuse, me susurrait des mots à l’oreille. Des mots que je ne comprenais pas. Ma voix était étouffée par la lame de son couteau et ma bouche obstruée par ces cascades de larmes qui me rendaient muettes. Je parvenais à cracheur quelques grognements, quelques gémissements, mais rien de plus. Chaque fois qu’elle faisait un pas, avant même que je ne la sente m’entraîner avec elle, j’espérais qu’Alaric, mon prince charmant, me secoure. Qu’il jaillisse d’un tuyau, d’une porte, d’un coin de mur chevauchant sa Girafarig et qu’il me dérobe à geôlière. Ça n’arriva pas. Ça n’arriverait pas.
J’étais cuite.
Contre ma peau, je sentais le tissu de mon sac et la robustesse des mes pokéballs. Je me surprenais à leur dire au revoir, à leur souhaiter meilleure dresseuse, à les léguer, mentalement, à ces amis que je m’étais fait. Altesse pour Alaric, Princesse pour Izaiah, Majestée pour Lys, Madonne pour Even… Chacun défilait dans ma tête les uns après les autres et je leur assignais un Pokémon symbole de notre rencontre, paralysée par la peur.
Soumise, j’écoutais le moindre ordre que l’on me donnait. J’obéissais aveuglément, sans parler, sans contester. Je caressais du bout des doigts ces moments de tendresse que je saluais. Espérant que ma gorge se dénoue. Espérant pouvoir au moins adressé un aurevoir à ces gens, ici présents, qui m’étaient chers. « Vous … vous pou-vez me…. » J’essayais, avec grand mal, à livrer quelques mots destinés à la dame. Tout s’étouffait. Tout s’entremêlait. Son mépris, trop fort, vainquait jusqu’à la moindre tentative de lui parler. Moi qui étais si volubile. Moi qui étais normalement si joviale. « Vous me lai-sseriez dire aurevoir à mes Pokémons ? Les embrasser et leur souhaiter bon courage ? » Avec difficulté, je retardais ce qui me semblait inévitable. Ma mort. L’étreinte froide et éternelle de celle que tous redoutaient. Pourtant, à travers ces souffles haletants de sanglots, il y avait une part d’intelligence. Je retardais.
Je gagnais du temps.
Puis, telle une fée marraine, alors que je fermais les yeux, acceptant le destin qu’elle me réservait je l’entendis dire que j’avais des amis. « Alaric ? » dis-je en réouvrant les yeux, pleine d'espoir, pour découvrir l’austère madame Gray devant moi. À genoux, dégoulinante de maquillage, je faisais bien honte au titre qu’elle m’avait accordé. La fierté que j’avais eu ce jour-là, l’audace, la concentration… c’était comme s’ils avaient été des spectres qui m’avaient brièvement habitée puis qui avaient quitté mon corps sans le moindre scrupule pour se réfugier ailleurs. Mon regard se plongea dans celui de Lise. J’espérais sincèrement qu’elle me libère et m’amène loin, à dos de je-ne-sais-quel bête. Je n’avais pas ma place ici et je le réalisais maintenant. Une brise caressa mon visage et je baissai le regard témoignant un étrange mélange de ma honte et de mon respect.
J’aurais aimé être suffisamment culotté pour réussir une manœuvre de libération. J’aurais aimé avoir assez de talent pour faire perdre l’équilibre à ma ravisseuse sans risquer de me trancher la gorge. J’étais trop maladroite. Trop nulle. Trop moi. « Je suis vraiment désolée madame Lise. Elle m’a prise par surprise et j’ai p… » je continuai de parler, mais les sons que je parvins à émettre n’avait rien d’une langue connue. Ma prestance et mon allocution me quittait à leur tour. Je n’étais plus rien que la carcasse d’une demoiselle en détresse sans personnalité. J’étais ces demoiselles du farwest désertées de volonté.
J’inspirais pitié.
actions:
- Lya pleure toujours - Lya abandonne l’espoir de vivre tranquillement - Lya pleure constamment - Lya essaie de parler - Lise arrive - Lya se fond d’excuses, se reprochant d’avoir été idiote et tente de demander l’aide de Lise… sauf qu’elle arrive pas à parler parce que elle pleure (si t’avais pas encore compris)
Je continuais de courir en direction de la salle de navigation, entendant brièvement Alaric et Even derrière moi, ils vont récupérer nos pokémons ? Bonne idée, j'ai une totale confiance en l'équipe qui m'accompagne, ils ne leur arriveront rien. Et si jamais ce n'est pas le cas, je me chargerais de le faire payer aux deux pléiades qui se sont portés volontaires pour s'occuper du cas de la garderie. Je ne cesse de ruminer dans mon coin en me disant que tout puait dans cette invitation, comment est-ce que l'on a pu se faire piéger de la sorte. Raaah ça me fout la haine, je vais le défoncer ce capitaine.
J'entends alors une voix douce derrière moi et des bruits de pas, oh non c'est sérieux ? Elle m'a suivit elle aussi ? Je décide volontairement de ne pas m'en occuper et de continuer mon chemin, mais alors que j'aperçois la salle de navigation au loin, trois gardes du corps sont devant. Même pour moi ça risque d'être coton. Je ne suis pas sûre qu'avec Miss Lumiris je puisse faire quelque chose de plus mais ... tiens d'ailleurs elle est où cette abrutie ? Je me retourne en m'adossant à un mur pour ne pas être vue par les trois sbires un peu plus loin.
« Lyanora ? Putain qu'elle est conne, c'est pas compliquée de suivre quelqu'un pourtant. Qui m'a foutu une alliée pareille dans cette situation ? »
Je secoue légèrement la tête avant de me résoudre à faire demi-tour, seule je ne peux vraiment rien faire ici, tentons de retrouver la cruche de service et de trouver de quoi nous défendre un peu. J'espère que d'ici là, Alaric et Even auront réussit à reprendre le contrôle de la garderie. Je marche donc calmement sur le chemin que j'ai emprunté pour arriver ici et essayer de retrouver Lyanora. Mes talons claquent légèrement au sol, mais alors que tout était calme autour de moi, un bruit vient attirer mon attention dans un renfoncement auquel je n'avais pas fait attention. Je décide de m'y pencher et finalement de m'y avancer.
« Bah tiens ... »
Lyanora est maintenue par une des sbires avec ... un couteau sous la gorge rien que ça ? Par contre ce qu'elle dit à mon sujet ne me plaît pas. Je passe ma main dans ma queue de cheval en haussant les épaules.
« Je ne sais pas où tu vois l'amie de cette cruche sans cervelle, et je ne souhaite en aucun cas la sauver, et toi tu veux bien arrêter de pleurer, ça m'irrite encore plus. Mais .... »
Je baisse les yeux en direction de la sbire qui tient Lyanora, mes bras sont à présent croisés sous ma poitrine, je claque nerveusement mon talon au sol. Mon regard fusille mon opposante, elle n'est pas tombée sur la bonne personne.
« Tu sais que tu tiens Miss Lumiris ? Son importance pour nous, est primordiale, et là il n'est pas question d'amitié, juste d'honneur envers notre région, penses-tu pouvoir t'en sortir indemne à vouloir t'en prendre à, sans aucuns doutes, la plus grosse tête de la région ? Le Doyen ne vous suffit pas ? Déjà pour ce que vous avez fait au vieil homme il y a des dresseurs prêts à tout qui vous traque, penses-tu d'ailleurs que je suis seule face à toi ? Tu sais qui nous sommes non ? L'élite de Lumiris, et nous ne seront jamais seuls pour vous arrêter. Au lieu de perdre ton temps à vouloir gratter une augmentation de salaire en t'en prenant à Miss Lumiris, je te conseillerais de rejoindre tes trois collègues à la salle de navigation. J'ai comme l'impression qu'ils ont besoin de ton aide. »
Essayer de l'apeurer pourrait sans doutes marcher, en plus de cela en lui donnant l'information que j'ai vu trois gardes à la salle de navigation peut semer encore plus le doute et peut-être qu'elle comprendra qu'elle n'est pas au bon endroit. Si malheureusement elle ne comprend pas, je vais devoir essayer de la tenir jusqu'à ce que Alaric et Even débarquent, je n'ai pas le choix. Lyanora ... dans quelle merde tu viens de nous foutre ?
Actions:
Lise voit les trois gardes de la salle de navigation. Elle fait demi-tour pour trouver Lyanora et de quoi se défendre. Elle trouve Lya et la sbire. Elle nie être son amie et engueule Lyanora. Lise finit par faire la morale à la sbire pour la convaincre de rejoindre la salle de navigation.
Un décompte ? Sérieusement il veut compter ? Tu n’étais pas d’humeur à compter ! Tu t’en voulais trop de d’être relâcher, d’avoir céder à la candeur de Lyanora , d’avoir naïvement cru que cette croisière se passerait bien et que cette garderie serait un paradis. Au lieu de ça tu avais abandonné tes pokemon en enfer et tu t’en voulais terriblement ! Ta gorges étaient noué, tu ne pouvais pas compter. Pourtant, tu reculais en même temps qu’Even, semblant suivre tout comme lui un décompte silencieux. Bien placé pour te propulser à toute allure sur cette porte, tu hurlais tout bonnement :
-3 !
Cette voix déterminée, surplombait avec un naturel audacieux et guerrier, la cacophonie qui émanait de l’autre coté de l’embrasure. Heureusement que tu étais déjà noyer dans le flot de tes pensées mon cher Alaric, des pensées qui convergeaient toute en un point, ce point même qui se heurta contre ton épaule. Tout ton être n’avais plus qu’un seul objectif : briser cette porte. La briser, malgré les fourmis dans les jambes suite au premier coup. La briser malgré la douleur lancinante au niveau de l’épaule. T’épuiser à recommencer jusqu’à ce que quelqu’un cède. Toi ou la porte… Quelqu’un finirait bien par plier.
DU NERF EVEN ! ON DOIT LES SAUVER TANT PIS SI ON FINIT EN MORCEAUX !
A chaque coups contre le bois massif de la porte ma rage grimpait et porté par l’adrénaline et la colère un nouvel assaut suivait. Pauvre Even s’il espérait un tacticien pour le soutenir c’était raté ! Je voyais rouge comme un taureau et fonçait droit devant tête baissé comme si je fus Lyanora. D’ailleurs j’espérais qu’elle allait bien et que rien ne lui était arrivé dans la salle de réception. Je m’en voudrait TERRIBLEMENT s’il lui était arrivé quelque chose de grave pendant mon absence ! Mais bon, aujourd’hui ça avait été moi l’idiot toute la journée et ça continuait de l’être. Evidemment on ne pouvait l’être tous les deux en même temps sinon quel équilibre trouverait on dans notre couple ? Je n'eus pas plus le temps de réfléchir à ma logique foireuse qu’un craquement sonore retentit et je me vautrait au sol, emporté par ma cinétique.
Alors ce n’était pas ton épaule qui venait de se briser… Bravo Alaric ! Mais tu n’étais pas pour autant tiré d’affaire. Tu es en terrain ennemi, avec une épaule en bouilli, avachi sur le sol ! il va vite falloir arrêter de rêvasser et se reprendre ! Allez tu bougonnera plus tard le ronchon !
-Merci Even !
Encore déboussolé, j’attrape la main tendu que je vois dans ce brouillard informe qu’est ma vue. Mais est-ce bien mon rival qui me vient en aide en étant mieux tomber que moi ou un hostile comité d’accueil ? La suite des évènements allait être crucial !
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Dusk
PNJ
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Identité du dresseur
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Choisir la force brute, ça peut fonctionner. La preuve ? La porte cède. Heureusement, Alaric, ton épaule n’est pas brisée. Mais.. tu peux sentir quelque chose tout près de ton oreille. Vraiment près de ton oreille. Tu as tout juste le temps de t’écarter pour observer une forme qui retourne plus loin dans la salle. Even, es-tu prêt à prouver que tu es en mesure de te battre malgré la pression, es-tu prêt à prouver que tu peux te tenir droit et fier devant les sbires de la team Mistral ? Tous les deux, êtes-vous prêts à toutes les éventualités ? Parce que toi aussi, tu peux sentir le vent que la … forme a provoqué.
Ce que vous voyiez dans la salle, ce sont vos pokémons qui se battent contre d’autres pokémons. Sans vous, c’est l’instinct de survie qui a repris le dessus. Ils n’ont pas été torturés ou martyrisés, c’était presque cette garderie que vous aviez cru leur offrir. Mais quand les sbires ont appelé leurs propres pokémons imposants, ils ont compris que ça n’allait pas. Ils ne sont pas venus les mains vides. Plusieurs pokémons se retrouvent là, aux autres de trois personnes qui vous observent, le sourire aux lèvres.
Un Motisma de forme Chaleur, un Pyrax, un Méga-Scarabrute, pour ne nommer qu’eux. Ce sont les premiers à se mettre entre vous et la porte. Non pas les pokémons, mais la porte. Il va falloir se battre pour ressortir de là vivants, et avec vos pokémons. ----
Pauvre Lyanora. La panique qui te prend. En même temps, ça se comprend. Qui n’aurait pas peur avec un couteau sous la gorge ? Elle fronce les sourcils. Tu es très émotive, quand même. Tu n’essaies même pas de la baver, ou de la provoquer… t’es si docile. C’est quand même impressionnant. Mais t’as raison, tu gagnes du temps. « Leur dire adieu ? Tes pokéballs ne fonctionnent même pas ! » Par contre, quand Lise vous fait face, son sourire reprend sur ses lèvres, et ses yeux brillent d’une étincelle violente. « Tu penses pouvoir me faire trembler de peur ? » Tes paroles glissent sur elle comme l’eau sur les plumes d’un canard. « J’ai bien plus peur des répercussions de mon inaction vis à vis d’Hyouga que de vous. »
Vous ne connaissez pas le mobile de ses gestes, vous ne savez pas ce qu’elle cherche à vous, de quoi elle essaie d’éloigner Lyanora, si c’est bien ce qu’elle essaie de faire, mais vous pouvez rapidement comprendre qu’elle ne tremblera pas de peur devant vous et que “l’élite” de Lumiris ne lui fait pas cligner des paupières ne serait-ce qu’une fois. Par contre, alors qu’elle s’approche un peu, et que son couteau reste sur le cou de Lyanora… Lise, tu peux observer une irrégularité sur le plancher. Si elle avance encore un peu… Et si tu es suffisamment rapide, ou si Lyanora est suffisamment rapide aussi... peut-être que tu pourras sauver Lyanora ? Le risque zéro n’existe pas. Si elle tombe, Lyanora peut tout aussi bien se retrouver le cou tranché avec le mouvement.
« Au contraire, je pense qu’ils seraient ravis d’avoir une personne de moins à gérer sur ce bateau. Voire même deux personnes ? Ça leur faciliterait la tâche. » Ou vous pouvez continuer à la faire parler. Elle semble aimer parler. Gagner du temps.. ce n’est pas ce qu’on dit qu’il faut faire, lors d’une prise d’otage ? Gagner du temps. Vous vous en sortez bien.
Alaric & Even, vous devez combattre des pokémons Vous avez accès à vos pokémons et les capacités de vos pokémons évidemment !
Lyanora & Lise, Lyanora est toujours prisonnière et Lise, la sbire se moque presque ouvertement de toi.
Vous avez jusqu'à dimanche prochain pour poster ! Soit le 2 août à 2h du matin toujours.
Je serre les dents en fronçant les sourcils. Bras croisés sous ma poitrine, la sbire est dévouée à Hyouga, il sera difficile de l'avoir simplement en lui parlant. Mais merde ils foutent quoi les deux pléiades ? Ils sont en train de nous taper un concours avec tous les pokémons de la garderie. Ils ont plus qu'intérêt à se bouger sinon je risque de perdre Miss Lyanora, et c'est bien la dernière chose que j'ai envie qu'il se passe. Même si je ne l'apprécie pas, je n'apprécierai pas que quelqu'un la tue avant moi ou Kisara, voyons.
« Tu sais qu'actuellement ton cher et tendre Hyouga se trouve face à certains de mes amis bien plus dangereux que Miss Lumiris. »
J'en ai pas la moindre putain d'idée ! Si ça se trouve Kei et Lauriane ont réussi à se perdre sur le chemin et n'ont pas retrouvé Hyouga, j'ai pas de leur nouvelles et aucune explosion n'a retentit, ni aucun bruit de combat. Je croise les doigts pour que cet enfoiré soit bien dans la merde quand même, peu importe qui il aura en face de lui. J'espère que Auguste les aura rejoint, il sera très utile avec eux. Et que Mikhail n'a pas fait l'erreur d'y aller, je ne dois pas m'inquiéter pour eux, ils sont forts. Mon problème là ... ça va être de sauver mademoiselle Lyanora qui nous a foutu dans une belle situation.
« Tu connais Kei Kirishima ? Ne penses-tu pas qu'en lui tranchant la gorge à lui tu aurais bien plus de reconnaissance de ton boss ? À l'heure qu'il est, Kei doit être en train de combattre Hyouga, si ton boss meurt et que tu tue Miss Lumiris il n'aura jamais connaissance de tes hauts faits, et en plus de ça, tu risques de mourir de la main de ses meurtriers. »
Continue Lise ! Essaie de retourner la situation, je commence à voir que cette sbire semble totalement éprise de Hyouga et du fait qu'elle ne serve que ses intérêts. Essayons de retourner les choses en notre faveur.
« Tu conçois le fait que ton boss puisse perdre la vie alors que tu pourrais aller l'aider ? Mais non ... tu prônes le fait qu'Hyouga pourrait avoir des répercussions sur toi si tu nous laisses vivre. Tu le laisses affronter seul, une horde de dresseurs assoiffés de son sang pour ce qu'il a orchestré jusqu'à présent. »
Mon regard ne me trahis pas mais dans mon champ de vision, une planche au sol semble se soulever légèrement, je pourrais en un mouvement lui faire perdre l'équilibre. Mais pour cela il faudrait que Lyanora soit assez vive pour réagir et s'enfuir ... dans la situation actuelle c'est impossible, elle semble paralysée par la peur et ses pleures n'arrangent en rien les choses. Je pose mon épaule contre le mur, toujours les bras croisés, en reprenant calmement mon souffle, affichant un air extrêmement sérieux et mon talon droit claquant légèrement au sol.
« Tu ne t'es pas posée la question avant d'attraper Lyanora ? Tu t'es sûrement dit que tu voulais servir ton boss sans penser qu'il ... aurait sûrement besoin de bras-droit présents pour lui. »
Elle n'a pas l'étoffe d'un bras droit, mais au moins j'essaie de la vanter un peu, qu'elle ne pense pas que je la prenne totalement pour une idiote non plus. Mon regard descend alors vers Lyanora et mes sourcils se froncent, l'air de dire "tu bouges tu meurs, tu ouvres la bouche tu meurs, alors ferme la sombre idiote."
Citation :
Lise continue de discuter avec la sbire, elle ne lui manque pas de respect, essaie de lui montrer qu'elle est importante pour Hyouga et qu'elle a mieux à faire à ses côtés, qu'il a sûrement besoin de son aide, plutôt qu'elle flâne et veuille tuer une pauvre Miss.
Lise tente de prendre le contrôle de la situation en faisant pencher la discussion en sa faveur, elle mène la danse, pose des questions et se veut insistante sur sa présence ici et pas ailleurs.
Bonus : Elle fusille Lyanora du regard, si tu bouges elle te tue elle-même.
Lyanora M. Caelum
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Faire pitié. Était-ce suffisant pour être épargnée ? Visiblement pas. Cette femme répandait son venin à la même vitesse que Lise déblatérait mon importance. Étais-je réellement aussi importante aux yeux de Lise ou étais-je simplement essentielle dans le moment ? Parce qu’elle avait besoin d’un appât pour faire ce qu’elle avait à faire, quoique ce fusse. Une partie de moi connaissait la réponse. Une partie de moi savait qu’elle ne voulait pas réellement me délivrer des griffes de cette femme. Je l’avais connue comme une guerrière, une furie intelligente et puissante qui se faisait respecter au doigt et à l’œil. Il n’en était rien. J’avais toujours trouvé mes bottines trop grandes à chausser. On m’avait souvent dit que j’aurais dû être là quand Lise avait remporté la tiare et le ruban. On m’avait dit que j’aurais envié son talent. On m’avait dit beaucoup de choses. N’avait-elle pas été cette championne inquisitrice qui abattait sa rapière avec aisance sur ceux qui s’effondraient devant elle quand ils tentaient d’obtenir son badge ? Cette femme devant moi n’avait rien à voir avec celle dont j’avais entendu parlée. Je baissai la tête. Si vraiment elle n’avait pas l’once de sa réputation à l’heure actuelle, alors c’était que je n’en valais pas la peine. Pas selon elle. Ce sentiment que j’avais eu quand elle était venue à notre table au déjeuner, il était donc justifié ? Que lui avais-je donc fait ? Pourquoi me détestait-elle ? Du coin de l’œil je la regardai. Subissant son regard mesquin plein de haine. Ses yeux exprimaient tout : « Je te hais, tu nous as foutu dans la merde. Je regrette de t’avoir donné mon titre. Meurs. »
Je baissai à nouveau la tête.
Ruminant ces mots que je m’imaginais. Ruminant cette colère qui me prenait. Je nuisais une nouvelle fois à quelque chose qui me dépassait, à quelque chose de bien plus gros que moi. Comme cette fois-là, au mariage des amis de la sœur d’Alaric. Comme cette fois-là où j’avais cru le perdre. Ma gorge se noua. Était-ce vraiment ainsi que je me résignais de quitter la vie ? Était-ce vraiment ainsi que je voulais qu’on me voit ? Comme la gamine suffisamment idiote pour se faire prendre en otage au début d’une opération de contre-attaque. Voulais-je être cette écervelée qui meurt la première ?
Non.
Je ne voulais pas. Je voulais revoir mon tendre, ma sœur, mes Pokémons, mes êtres chers. Tous. Je relevai les yeux. J’avais ce même regard pour Lise qu’elle avait pour moi. « Il y a bientôt un an, j’ai fait une promesse à mon fiancé. Je lui ai promis de ne plus être ce boulet qui l’empêchait d’avancer. Je lui ai promis de ne plus lui nuire. » dis-je pour Lise, comme si ce l’eut intéressée. Pour elle, ce devait être un discours vide de sens. Pour moi, il était pourtant puissant. Loin de celui des héros des films. Je ne tentais pas de convaincre cette geôlière. C’est moi-même que je visais. Ma propre personne. Je n’avais plus envie d’être secourue. Je n’avais plus envie d’être celle qui inspirait les pleurs et la compassion. J’avais envie d’être plus. Cette image idéalisée de Lise, l’avais-je imaginé simplement pour aspirer à ce que je ne pouvais pas être ? Était-ce le fruit d’une idéalisation d’un ouï-dire ? Elle est sans pitié qu’ils disaient. Je la voyais négocier avec peu de conviction pourtant. Elle est imposante. Je l’avais sentie aussi paniquée que moi, hésitante même. Elle n’avait pas les yeux bouffis par les larmes comme moi… peut-être qu’au fond, ça me rendait simplement plus humaine ? Peut-être que Miss Lumiris 2.0 était finalement une version améliorée. Une version plus humaine et compatissante d’une figure qui avait tenté de se surélever comme une déesse sur un peuple qui avait besoin de la lumière d’une fée.
En mon sein, je sentais une flamme me gagner. Une flamme puissante et chaude. Une flamme de confiance. Une réelle, sincère. J’eus l’impression que mes larmes remontaient le long de mes joues. Ma peur restait là, bien ancrée, mais elle se manifestait autrement. Ce courage que l’on octroyait toujours à ces figures célèbres, je comprenais enfin qu’il n’était pas entier, qu’il n’était pas infaillible. « Merci madame Lise… » C’est tout ce que j’ajoutai. La terrible réputation d’amazone qu’elle s’était faite au fil des ans ne me convainquait plus. J’allais me tirer de ce mauvais pas seule. Sans l’aide de personne.
Pour une fois.
Je levai les yeux vers ma ravisseuse qui, évidemment étudiait les gestes et les réactions de celle qui devait me secourir. Je pris un grand respire, étirant les doigts jusqu’à ces escarpins desquels je m’étais chaussée. Mes bottines étaient trop grandes à porter, trop lourdes. Aussi bien régler le souci. J’empoignai le talon dans un accès de bravoure que je m’expliquais à peine.
Crack.
Il céda dans un bruit sourd. Aurevoir soulier de luxe. J’avais plus important à gérer. Une geôlière envahissante et une sauveuse qui n’avait pas réellement cette ambition de me secourir. Difficile de convaincre autrui quand on ne peut se convaincre soi-même. Heureusement, j’avais toujours été flexible, j’avais toujours eu la décence de respecter ces cours de danse que l’on m’avait forcé pour devenir une coordinatrice digne de ce nom. Intérieurement, je remerciais mes parents. Lentement je rapportai mon butin vers ma hanche pour mieux l’empoigner. Il était trop tard pour reculer. C’était à mon tour de devenir ce visage guerrier de Lumiris, pour peu que je puisse en convaincre les gens. De l’autre main, je caressais cette latte surélevée, tentant de grossir le jeu entre le sol et son sommet, jusqu’à pouvoir y faufiler mes doigts. C’était le moment.
Moi, pauvre victime que j’étais. Moi qui avais été prête à accueillir la mort. Moi qui avais déserté l’envie de vivre, je reprenais vie. Happée par un battement de cœur courageux qui battait la percussion d’une déclaration de guerre. Je me transformais en cette projection de Lise que j’avais eu. Je devenais cette amazone prête à tout pour survivre. Au fond, c’est ce qui faisait peut-être la différence entre elle et moi. Entre Miss Lumiris première puis deuxième. Moi, j’avais un fiancé, des projets plus vastes qui ne concernait pas que mon seul être. La méprisais-je ? Oui et non. Non, car elle m’inspirait, car j’avais voulu être comme elle, car elle avait nombre de choses qu’elle avait longtemps cherchées. Oui, parce qu’elle n’était que l’ombre de ce que l’on disait. Parce qu’elle n’était même pas capable de me convaincre que je valais la peine d’être sauvée – et j’étais facile à convaincre, Arceus m’en soit témoin. – Étais-je réellement cette figure importante qu’elle décrivait ? Alors pourquoi ce regard de mort, pourquoi cette intimidation, pourquoi ? Que lui avais-je fait ?
Mon poing s’éleva légèrement et s’abattit sur le pied de ma geôlière. Mon talon brisé marquant un gros impact contre son pied. Je sentis son couteau reculer légèrement, prise par surprise et je m’étendis au sol pour rouler. Dans ma descente, elle avait eu le temps de ramener son couteau. J’avais senti sa lame froide et macabre déchirer ma peau. J’avais senti le froid me pénétrer. Je l’avais accueilli comme si c’eut été un ami. Un cri de douleur m’échappa. Je portai ma main à ma joue en complétant ma roulade, en balayant ses jambes des miens et du peu de musculature que j’avais, je soulevai cette planche avec laquelle j’avais joué, la brisant dans sa montée. Saisissant la base du bout de bois de mes deux mains, je fis valser vers cette femme qui un peu plus tôt me tenait, la matraquant d’un, puis deux… puis trois coups. Puis je laissai tomber la planche au sol, pour caresser ma joue de ma paume. Ça faisait mal. Ça brûlait. Puis je figeai lorsque je regardai ma main, noyée par le sang de ma joue. Je réprimai mes larmes de douleurs.
Il n’existait aucune guerrière amazone sans cicatrice.
« J’ai promis à Alaric de ne pas lui nuire. » répétai-je, haletante, nerveuse, espérant ne pas subir les représailles de cette femme Mistral. Poussée par ma propre adrénaline, je m’étais moi-même surprise. Au moins, ne dirait-on pas que j’étais morte lâchement, que j’avais été bête. Au moins, je n’aurais pas nui.
Pas complètement.
actions:
- Lya cesse enfin de pleurer - Lya réalise qu’elle a surestimée Lise grâce à sa réputation - Lya se décide d’agir elle-même - Lya brise son talon et crée un plus grand jeu sous la planche pour pouvoir y passer ses doigts - Lya plante son talon dans le pied de la sbire et roule pour se dérober à son étreinte, se coupant la joue. - Lya saisit la planche et la brise, sous l’adrénaline, et frappe la sbire avec.
Pour les sceptiques, j’ai eu la validation de la modération pour la partie libération de Lya :3 DITES QUE MISS LUMIRIS EST BADASS merci <3
Il semble que j’ai évité le pire en bougeant instinctivement. Une lame d’air vient trancher une de mes mèches de cheveux, tranchant ma crinière ébène, là ou l’instant d’avant ma joue se trouvait. Le sol se brisa en surface sous la pression du vent ? Tandis que je bondissais tel un animal d’un seul mouvement, grognant. Ce n’était pas Event qui voulais me relever ou me trancher, non, c’était un pokemon, un ennemi, que ma peau intéressait. Les yeux grands ouvert tels des radars je me mettais sur mes gardes, tournant sur moi-même, pour tenter de mettre au clair la situation. Mayura les plume en vracs vint se poser sur mon épaule, tout haletant, tout paniqué manquant mon épaule, pour rebondir dessus en bon gaffeur qu’il était. D’une main je l’avais rattraper le caressant dans le sens du poil pour remettre d’aplomb son beau plumage. Tandis que (Super) Nova, vint atterrir sur mon épaule avec style, volant la place de son camarade avec un aplomb fou. Je croise son regard masqué, et nous acquiesçons de concert. Nous ne pouvant agir en solitaire dans une bataille général comme c’est le cas d’habitude. La pression dans mes veines redescend, et ma rage s’atténue sans disparaitre.
-Ca marche le héros ! OUVREZ LE CHEMIN ! Even Occupe-toi du méga !
Tu finis ta réponse en grognant, tu bous toujours de l’intérieurs mais tes pokemon ne sont pas blessé alors tout va pour le mieux. Tandis que tu déposes le pigeon sur ton épaule, ta ludicolo vient se placer devant toi, arrivant en moonwalk. L’instant d’après girafarig vient se placer derrière toi, hurlant pour signifier sa présence et sa fureur. Toute la team est réunie ! Il est maintenant l’heure de la guérilla organisée ! Nous avons une revanche à prendre ! Kirin me frappe de sa tête noire avant de mordre mon vêtement pour me poser sur lui. Il ne pourra pas galoper longtemps si je le chevauche mais je comprend vite son idée lorsque j’aperçois l’un des sbires plaqué au milieu de la salle, dans ce chaos innommable. OH lui il va payer ! Une coquille protectrice vient se former autour de nous deux tandis que Kirin prend de la vitesse, brisant l’abris qui ma protégé jusque là avant de me laisser bondir sur le sbire, tandis que la girafe se retournait pour agresser le motisma de feu qui barre la porte d’un violent psycho.
-C’est bien Mayura ! Tiens le coup continue de lancer des rugissements, ça affaiblit nos ennemis ! RUGISSEMENT FOREVER ! NOVA , CHAPO JE COMPTE SUR VOUS ! QUE LA PLUIE GRONDE CHAPO ! RAMENE TON EQUIPE DE SUPER HEROS, SUPER NOVA ET ECRASE MOI CETTE INSECTE DE TA MEILLEURE PIROUETTE ACROBATIQUE ! APRES CA ACHEVE PYRAX ET MOTISMA D’UN HYDROCANON ! ON VA SORTIR DE CETTE ENFER !
Je disais ça en tombant sur le sbire, lui assenant un violent coup de tête, avant de lui assener un coup de poings dans le ventre. J’essayer ensuite de lui attraper le bras pour lui faire une prise et le neutraliser douloureusement en le privant de l’usage de son bras droit tant que j’avais le dessus.
-Rappelle tes pokemon ou tu vas souffrir ! J’imagine que tu as peu de valeurs pour tes camarade alors je te conseille d’obéir ! Ahahaha !
Terrifiant n’est-ce pas, cette rage animale ? Effrayant n’est-ce pas lorsque l’agneau devient un loup ? Méfiez-vous de l’eau qui dort ! [spoiler-]Girafarig utilise abri pour protéger Alaric et lui permettre d’atteindre un sbire, puis attaque motisma d’un psycho. -poichigeon rugissement forever -emolga attaque reflet pour surprendre et faire paniquer l’ennemis avant de l’attaquer avec toute la rapidité d’une acrobatie (contre pyrax) -ludicolo placé en tête fait tomber la pluie et attaque en direction de pyrax et motisma dans l’espoir de pouvoir toucher les deux de son hydrocanon, ou au moins en toucher un de plein fouet -pendant qu'Ala martyrise un pauvre sbire pour lui faire rappeler ses pokemon[/spoiler]
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Even Ifllys
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
De concert avec Alaric, Even prend son élan pour s'abattre de toute sa force avec son rival/ami pléaide contre la porte de bois qui cède sous l'assaut. Sur l'instant, c'est douloureux mais l'adrénaline du moment aide le jeune homme aux cheveux blancs à ne rien sentir. Il hoche la tête en réponse au remerciement d'Alaric avant d'éviter in extremis une lame d'air qui sépare le duo en faisant voler quelques mèches de cheveux noirs dans le vide.
Nous sommes enfin dans la garderie et le combat fait rage. Plusieurs pokémons, dont ceux d'Alaric, sont accompagnés de Magirêve et des autres pokémons des passagers contre les pokémons des Mistrals. Toutefois, face à notre arrivée, les trois sbires sourient férocement avant de libérer trois nouveaux pokémons. Un Motisma Chaleur, un Pyrax et un Mega-Scarabrute. Plus réactif que lui dans ce genre de situation, Alaric décide de prendre deux dresseurs pour lui tout seul en laissant à Even celui au méga. Comme le blandinet n'a que Bateleur de disponible contrairement à lui, c'est bien plus logique ainsi.
"-Parfait, bonne chance." lui dit-il plus par courtoisie que pour réellement le soutenir puisqu'il savait le pléaide capable de bien des exploits.
Et lui alors ? Allait-il pouvoir faire face ? Que ressentait-il face à ce sbire confiant avec son compagnon Mega-évolué ? Il ne ressentait nul crainte à se jeter dans la bataille même plus, il sourit à son tour. Il allait pouvoir prouver qu'il n'était pas bon qu'a faire des cabrioles autours d'un tissu ou dans les airs. Quoique, cela lui serai toujours utile. Magirêve arriva rapidement en volant au côtés de son dresseur et le duo fut reformer pour le plus grand bonheur de l'humain qui se sentait beaucoup plus confiant ainsi.
"-On y va Bateleur, ouvre une Hantise!"
Le Pléaide se lança alors suivit par le Spectre volant à sa gauche qui pointa l'air devant eux ouvrant alors un portail obscur dans le sol. Even sauta en plongeant comme un nageur qui allait se lancer dans une course aquatique et disparut dans l'obscurité suivit bien vite par le magicien qui en entrant à son tour dans le portail le referma instantanément après son passage. Tandis qu'Alaric passait à l'action de son côté, quelques secondes de flottements passèrent où le Mega-Scarabrute et le Sbire durent se demander où leurs adversaires étaient passer. Ils pouvaient continuer à regarder à gauche ou à droite mais c'est dernière eux et vers le plafond que le portail spectrale s'ouvrit. Even fondit donc sur son adversaire humain et grâce à son agilité d'acrobate il réussit à faire un retourné pour que ce soit le pied du jeune homme qui aille frapper dans le dos du sbire. Dans le même temps, après l'humain aux cheveux cheveux blancs, ce fut le magicien spectrale qui sortie de la Hantise, baguette accessoire pointait sur le Méga-Pokémon de type Insecte/Vol. Dans un premier temps il lui fonça dessus entourait par l'énergie obscure de son attaque Spectre puis tout en volant, il se rétablit dans les airs et tira sur son adversaire en lançant un rayon électrique partant de son accessoire puis à la manière d'un saltimbanque, il porta sa main tissu à sa bouche pour un extraire une gerbe de flamme magique et vivante qu'il cracha en direction de son adversaire.
Le kick de pléiade d'Even n'était pas suffisant pour terrasser un ennemi entraîné surtout qu'il n'avait que quelques mois d'entrainement à son actif lui-même. Il profita toutefois de la brèche que cela créa pour roulait au sol avec le Sbire Mistral. La roulade et les coups échangés pendant et même après à même le sol n'avait rien de très classe, ni de très héroïque mais elle avait pour avantage d'être efficace. Le sbire échangea presque autant de coups qu'Even en donna mais Innocent avait prévu cette partie dans ces entraînements à caractère policiers. Au sol, lorsque l'on échangeait des coups avec l'adversaire, il fallait avoir le dessus à tout pris, et c'est ce qu'Even tentait de faire. Le pléiade n'avait jamais été quelqu'un de violent ou de bagarreur, il avait plutôt été une tête de turc étant jeune préférant la fuite à l'affrontement. Mais il y avait des moments dans une vie où il fallait arrêter de fuir. Magirêve et Méga-Scarabrute continuait le combat mais avec son seul type Spectre, le compagnon d'Even avait un légère avantage, surtout qu'il connaissait des attaques de types feu, électrique et glace. Il avait un panel de capacités impressionnantes. Tout comme Alaric qui maîtrisa déjà un des sbires, tentant de le forcer à abandonné le combat, Even devait se montrer au niveau dans sa lutte. Il réussit finalement à dominer le sbire et tenta de l’assommer en lui assénant un coup de coude sur la tête. Si il pouvait au moins le sonner, il pourrait plus facilement le maîtriser tel qu'il l'avait appris à Fort-des-Songes avec Innocent. Finalement, il sortit le couteau qu'il avait prit parmi tous les couverts du banquet autour de son assiette à l'apparition de Hyouga, et pour la première fois de sa vie, Even menaça quelqu'un d'une arme, même si elle semblait un peu ridicule elle était quand même assez pointu.
"-Abandonne aussi." reprit-il en écho à la menace d'Alaric. "On en à marre de vos conneries." laissa-t-il échapper sous le feu de l'ambiance en fronçant les sourcils, cherchant à se donner un air aussi menaçant que son compagnon.
Néanmoins il ne fallait pas oublier qu'il y avait toujours un sbire que ni lui, ni Alaric n'avait pu attaquer de front, devait-il gérer les autres pokémons des voyageurs, ou ces derniers avaient-ils déjà prit la route pour retrouver leurs partenaires disséminaient sur le navire de Hyouga? En tout cas, il devait se dépécher d'en terminer avec ces sbires pour tenter de rejoindre Lise qui se dirigeait vers la salle de navigation. Pas question de laisser les Mistrals agir comme bon leur semble!
Codage modifié par K pour Dusk Lumiris
Action:
-Even entre dans la pension avec Alaric et retrouve Magirêve qui arrive à ces côtés. Ce dernier lance une Hantise dans laquelle Even saute suivit par son pokémon. - Il réapparait derrière le sbire, partenaire du Mega-Scarabrute et l'attaque d'un coup de pied. [Pléaide Kick!~ marque déposé] Magirêve entame le combat avec Hantise, puis il enchaîne avec Rayon Chargé ( 50% de Possibilité d'amélioré son attaque Spé) et il attaque avec un Feu Ensorcelé. Even entraîne le sbire dans sa chute et combat au sol avec lui, tente de le maîtrisé, de le sonner et finit par le menacer pour qu'il abandonne.
Dusk
PNJ
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Identité du dresseur
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Rire mesquin, rire malsain. « Mon cher et tendre ? » Tu sembles avoir assumé un peu trop rapidement les raisons qui motivent cette femme qui vous fait face, qui tient Lyanora, qui a pris un otage. Hyouga, elle s’en tape au final. Elle ne veut juste pas se faire trancher la jugulaire parce qu’elle n’aurait pas eu la motivation d’agir quelque part sur ce bateau. « Si quelqu’un tue Hyouga, ça me permettrait de prétendre à son trône, et tu espères que je me bouge pour aller l’aider ? » Le pouvoir et la peur. Les deux motivations de celle-ci.
Bouche qui s’ouvre alors sous la surprise, pied qui se recule. Pas un moindre son ne s’échappe de sa gorge. Clairement, cette sbire t’avait sous-estimé Lyanora. Son bras s’éloigne de toi alors qu’elle te fusille du regard. Heureusement qu’elle n’a pas des lasers dans les yeux : tu serais définitivement morte. Tu profites de ce moment pour t’échapper de son emprise, ce moment où le couteau est suffisamment loin pour te le permettre, mais elle a cette rapidité d’esprit de le ramener après quelques secondes de stupeur. Elle t’entaille donc la joue. Dans ses yeux brillent un éclat de satisfaction.
Mais des cris de douleur résonnèrent face aux coups de planche. Mains jointes pour se protéger, tu parviens à blesser ses bras, les taillader. Des échardes… ça fait clairement mal. Et elle saigne. Dans ton mouvement effréné, Lyanora, tu n’as pas suffisamment fait attention aux alentours de ta personne : le dernier geste effectué avec la planche se trouve à blesser deux personnes et non pas une. En effet, Lise se prend un morceau de planche qui lui heurte l’épaule et l’érafle suffisamment pour faire apparaître quelques gouttes de sang. La sbire vous dévisage, furieuse. Mais vous êtes désormais deux contre une.. elle n’a pas le choix de fuir, prenant les escaliers (avec son couteau) en pestant contre la fameuse Miss Lumiris. Vous êtes désormais libres… mais la porte est toujours gardée par trois autres sbires.
Alaric… attention. Tu te prends également un coup de poing dans le ventre. Tu pensais que le sbire allait se laisser faire sans réagir ? Il te redonne les coups que tu lui assènes en refusant de se faire mettre K.O aussi facilement.
Pyrax, par chance, n’est pas touché par l’Hydrocanon et prend donc l’initiative de tenter de réchauffer l’atmosphère avec Canicule et d’attaquer ton Ludicolo d’un Vent Violent (qui soulève au passage vos cheveux – mais ‘tention, c’pas le temps de profiter de la brise pour vous la couler douce ! sinon, vous allez faire un Titanic de la croisière Ariwa !). Motisma, de son côté, se prend l’attaque de plein fouet ainsi que l’attaque de Girafarig et ça ne semble pas du tout lui convenir – lui faire plaisir. Il lance Surchauffe sur Emolga puis Fatal-Foudre sur Poichigeon.
Even… de ton côté, alors que tu t’acharnes aussi sur le sbire à mains nues… tu te sens étourdi d’un coup, ce qui donne le temps à un Beldeneige de descendre du plafond et de te lancer une Onde Boréale. En lançant une attaque Ténèbres, le Méga-Scarabrute parvient à reprendre le dessus quelques instants, rejoint par le Beldenege pour lui prêter mains fortes. C’est un Blizzard que se prend le Magirêve alors.
Lise est légèrement blessée à l'épaule & Lyanora à la joue, la Sbire prend la fuite. Les deux filles doivent désormais trouver un moyen d'infiltrer la cabine.
Alaric, le Sbire te rend les coups.
Le Motisma se prend deux attaques (Hydrocanon & Psyko) et réattaque avec Surchauffe (Emolga) et Fatal-Foudre (Poichigeon) ; le Pyrax attaque le Ludicolo avec Vent Violent et Canicule
Even, tu es étourdi quelques instants et te prend une Onde Boréale.
Ton Magirêve se fait attaquer par une attaque Ténèbres (Centrifugifle) et Blizzard
Vous avez jusqu'à dimanche 9 août, 2h AM pour répondre
Moi qui pensait que Miss Lumiris ne pourrait pas avoir les corones de se rebeller, elle a réussi à me surprendre. Et à me blesser également. Tout se passe vraiment vite, elle parvient à faire perdre l'équilibre à sa ravisseuse, elle lui assène des coups et la force même à se replier. Cependant, une planche de bois vient également m'érafler légèrement le bras. Je recule de quelques pas tout en regardant la scène. Lyanora est libre. C'est à mon tour, elle pensait que je n'allais rien faire.
« Maintenant que t'es en sécurité je peux ? Ne bouge pas, t'en a assez fait ! Merci Lyanora ! »
Je me jette alors aux trousses de la sbire mise en échec par Miss Lumiris, je la voit alors monter les escaliers. Mon sang ne fait qu'un tour et je grimpe littéralement les quelques marches qui nous sépare pour parvenir à lui attraper la cheville et la tirer en arrière pour la faire dévaler tout ce qu'elle venait de monter. La voila maintenant au sol au bas des escaliers.
« Tu viens de te faire ridiculiser par Miss Lumiris tu le vis bien ? Maintenant je vais t'apprendre ce que ça fait de manquer de respect à ma personne. »
La sbire se relève d'un coup et est prête à m'accueillir avec son couteau face à elle, je saute des escaliers en me glissant sur le côté pour esquiver de justesse son assaut, son couteau me frôle la joue, je peste un peu avant de lui asséner un violent coup de poing en plein ventre. Pendant qu'elle cherche son équilibre je prend appui sur mon pied gauche, je me tourne légèrement, et j'envoie d'un geste direct, mon pied droit en plein dans son visage en me penchant légèrement en arrière.
« T'as l'air de les aimer nos talons, connasse ! »
Je profite de son état, pour lui attraper la main avec laquelle elle tient son couteau, elle parvient tout de même à se débattre et m'entailler le flanc droit, je perd l'équilibre quelques secondes. Apparemment assez pour qu'elle puisse se redresser et me pousser en arrière, l'équilibre me manque alors l'espace d'une seconde, j'ai à peine le temps de la voir qu'elle s'abat déjà sur moi avec son couteau pointé sur mon visage.
« Oh va chier sale merde ! »
Je plante littéralement mon talon gauche au sol pour retrouver l'équilibre et me glisser contre elle, profitant de son bond en avant, je fais appui sur ses côtes pour l'envoyer voler en arrière. Le sol l'accueille douloureusement, j'en profite pour me tourner et planter mon autre talon dans son bras avec lequel elle tient son couteau, la douleur lui fait lâcher directement. Je donne donc un coup de pied dedans pour qu'il glisse en direction de Lyanora.
« Récupère le ! » dis-je d'une vois stricte.
Je tourne la tête une seconde et voilà déjà miss bouffonne qui titube jusqu'à une pièce en haut des escaliers, comment est-elle montée aussi vite ? Je n'ai même pas eu le temps de la rattraper. J'entends alors un bip magnétique qui me laisse clairement comprendre qu'elle s'est enfuie par un endroit où nous ne pourrons malheureusement pas aller. Je reprend ma respiration mais mon entaille au flanc me fait légèrement souffrir. Je me cale contre le mur en levant la tête, faisant compression pour éviter que le sang coule davantage. Je tourne alors la tête vers Lyanora.
« Merci d'avoir agit, je n'ai pas voulu le faire de peur que tu n'ai pas la réactivité nécessaire, on dirait que je t'ai mal jugée. Mais tu restes une gamine pleurnicharde tant qu'on ne seras pas sortis de là vivantes. T'as un bout de tissu à me passer s'il te plaît ? Je dois faire un point de compression pour stopper le saignement. C'est minime mais si le sang continue de couler je risque de galérer à suivre la marche. Au moins on a le couteau maintenant, reste à savoir comment dégager les trois gardes de la salle de navigation. Sans nos pokémons c'est tendu, et ton mec et Even semblent mettre du temps à reprendre le contrôle de la garderie. »
Citation :
Avec accord de Lyra, Lise met sa raclée à la sbire pour récupérer son couteau. Elle laisse Lyanora récupérer l'arme. La sbire s'enfuit dans un endroit où il est impossible de la suivre. Lise est blessée et demande l'aide de Lyanora pour tenter de minimiser l'ampleur de ses blessures. Elle finit par féliciter la Miss et fait un topo de la situation.
Un moment d’égarement, un regard en arrière pour vérifier que mes camarades aillent bien, dans ce chaos indescriptible. Mais il ne faut jamais relâcher sa vigilance dans une bagarre. Un seul instant peut être décisif, et moi j’ai jamais été un gars très concentré donc voilà que comme d’habitude j’en payais le prix. Un coup dans le ventre manque de me faire régurgiter mon repas et me coupe le souffle durant un instant. Ainsi il pus se libérer de mon emprise et m’assener d’autres coups. Mayura essayait bien de l’empêcher de me rouer de coups, mais ce n’était qu’un faible petit poichigeon, qui se faisait bastonner en même temps que moi, repousser par de violents coup. Il était faible et impuissant avec son pauvre lvl 5. Trop maladroit, trop hésitant, trop peureux… Il était impuissant ! Il finit par atterrir au sol à mes pieds, me passant le relais tandis que je me relevais.
-Al-l-l-ors ? On fa-fatigue ?
Sur mon visage, couvert d’hématomes, de poussière et de sang, ressortait cette azur et ce sourire carnassier, raccourci par le vestige boursoufflé d’un coup. Il n’était plus question de parlementer avec l’ennemi. Mon poing se serra. Je n’avais jamais était un garçon violent. Certes j’avais les look des mauvais gars, des marginaux, que la violence de la rue berçait, mais ce n’était qu’une image. Tu n’étais pas du genre à agresser mais à endurer. Recevoir des coups était ta spécialité ! Comme quoi… Le passé te forge quoi qui arrive et transforme tes faiblesses en qualités. Tous les coups que tu prends te rendent toujours un peu plus solide. Aujourd’hui, je savais pourquoi j’avais enduré tant de coups ! Pour survivre à cet assaut. Soudain, la foudre gronda, illuminant la pièce d’un éclat sinistre, sonnant avec arrogance le glas d’une chute, l’embrasement d’un regard, d’un cœur et du tissu et de la chair.
-Il fallait cogner plus fort…Tu es…
Ca sentait le roussi, et pas seulement de manière littéral. La pluie qui s’abattait sur nous nous lacerait comme des gouttes d’acide. Rendu ardente par l’air caniculaire de la pièce, l’eau s’abattait sur nous tels des aiguille là pour nous réveiller et nous faire souffrir à chaque instant. Au sol, au centre d’un nuage d’épaisse fumée il y avait nous. Moi et mon pauvre poichigeon au plumage grillé par l’éclair. Je devais le protéger et le venger. J’étais si en colère que je ne voyais pas ma manche bruler, ni les poils de mon bras crépiter sous les flammes qui avait envahi ma veste de costar. Si seulement Lyanora voyait ça elle en pleurerait… Un veste choisit par ses soins, ruinée… Quelle tristesse ! Mon poing ardent se crispa lorsque la fumée se fit brasser par une ombre qui agissait de concert avec moi. Un mouvement synchro, une attaque minutieuse exécuter avec une parfaite harmonie. Ca ne pouvait être qu’elle !
-RIDICULE !
L’impact de nos deux coups combinés fut phénoménale. Enfin, c’était surtout le giga-impact de Chapo qui avait été destructeur, annihilant à temps les flammes qui dévoraient ma veste. Mais avant que je ne sois repousser au loin par la bourrasque, un cocon protecteur s’érige autour de moi et du pokemon vol, ko. Ma ludicolo n’avait pas changé, elle se dressait toujours devant nous comme une mère furieuse qui défend ses enfants au périls de sa vie. Partout autour de moi, le brouillard s’instaura, m’enfermant dans une prison de solitude ou plus rien n’existait, sauf moi et le pauvre pigeon qui frétillait encore, pris de mouvement sporadique à cause de la foudre qui faisait réagir ses muscles de manière incontrôlé, même maintenant, plusieurs minutes après la sentence.
Tu étais inquiet de l’issus de l’assaut, mais tu ne tenta même pas de rouspéter contre le mur invisible. Tu avais confiance en ton starter, ton amie de toujours, ta protectrice ! Elle ne pouvait pas s’effondrer avant toi, ça non ! Alors que le vacarme, laissait entrevoir l’ampleur des dégâts je me retournais, tandis que des rayon de lumières, vinrent percer le nuage de poussière, éclairant le pauvre oiseau, avant d’éclairer toute notre scène. J’avançais vers mon pokemon, la mâchoire serré, le ventre noué, une étrange douleur grimpant en moi alors que j’ôtais ma veste pour faire un nid douillet et chaud à mon pokemon blessé que j’avais enroulé dans le tissu. Sur mon bras droit ma manche de chemise était ruiner, brulé en certaine part, déchirée et inexistante en certain endroit, laissant apparaitre par endroit, sur sa peau nue, comme une suie fine couvrant des nervures rouge. On ne défie pas la foudre sans en garder les stigmates.
Le mur protecteur se brisa alors, comme on introspection, et sortant de la brume, je me tenais, blessé mais toujours présent pour interpeller tout le monde. Il était temps de taper un grand coup et de quitter cette endroit. On avait déjà perdu trop de temps ici, et je devais rejoindre la cabine de navigation au plus vite, tenant ton pokemon vol dans tes bras comme si tu protégeais un bébé, tu exclamais haut et fort :
-CA SUFFIT MAINTENANT ! ON A PAS LE TEMPS DE S’AMUSER ! Je suis désolé mais on va vous fausser compagnie. Si vous voulez pas nous laisser passer tant pis on va s’ouvrir des portes nous-même n’est-ce pas Chapo ? MES AMIS VISEZ CHACUN UN MUR ET OUVREZ LA VOIE A VOS COMPAGNONS ! Diviser pour mieux régner !
Le pyrax vint atterrir au sol, pour le moins déstabilisé. L’insecte de feu avait vécu un voyage un peu mouvementé. Après avoir concentré ses attaques sur ludicolo, Kirin, l’avais pris en traitre, l’attaquant avec une attaque psycho. La girafe était pernicieuse et rancunière, alors quand elle avait vu son amie et mentor essuyer, les coups se relever et foncer vers mois suite au fatal foudre, il avait déchainé ses pouvoirs psychique pour contrôler le pyrax et l’envoyer en direction de son maitre, droit sur un giga-impact d’une force colossale. Et maintenant c’est à nouveau à son tour d’agir il doit abattre son ennemis et un mur d’un même temps, d’un seul instant ! Concentrant toute sa force sur son crâne, il se met à balancer son cou pour prendre de l’élan pour abattre un violent psykoud’boul sur motisma et l’emportant dans l’ampleur de son mouvement pour s’abattre contre le mur qui se trouvait derrière. Le mur tiendrait il ? Motisma répliquerait il ? Nova le super emolga masqué quant à lui lutta contre la chaleur et alla à l’assaut du motisma s’alliant à girafarig dans l’espoir d’ouvrir une deuxième brèche et donc une deuxième issue. Poursuivant le four fantôme sans répit il le frappa de toute part avec une vitesse défiant toute concurrence, frappant autant le mur que son ennemi de deux assauts acrobatique.
-Maintenant fuyez tous d’un côté ! On se retrouve ou tu sais, Even !
L’immaculé n’avait plus qu’à s’ouvrir une porte comme je l’avais fait et mon plan pourrait se réaliser. Les ennemis seront dans l’obligation de se diviser pour nous poursuivre, et soit il nous suffira de les terminer en duel, soit de les fuir plus aisément. Sur le seuil, de mon ouverture, je hochais positivement la tête en direction d’Even avant de fuir la pièce par ce côté avec Chapo. Super Nova tentera de ressortir de face par la porte accompagné d’une partie des pokemon alliés, tandis que girafarig partirait par l’issus qu’il avait créé avec son compagnon électrique si leur assauts avait payé. La stratégie était simple, se diviser pour libérer. Mes pokemon ont l’habitude d’agir seuls, ils saurons guider leurs comparses s’il le faut !
Spoiler:
Alaric encaisse les coups et rend en un ultime coup sa rancœur, voulant venger poichigeon quitte à rendre muet pour toujours le pauvre sbire. Au même moment girafarig envoie Pyrax vers se sbire d’un psycho et Ludicolo, se calquant sur son maitre abat son giga-impact sur pyrax, et le sbire, détruisant le mur derrière. Alaric fait un discours stratégique et envoie ses pokemon ouvrir une deuxième brèche dans un des autre murs. Ainsi girafarig frappe motisma et le mur de droite d’un psykoud boul avec l’appui d’Emolga qui exécute poursuite et acrobatie pour faire céder motisma et le mur. Si le mur est brisé girafarig passe par là pour fuir avec d’autre pokemon, tandis qu’Emolga fuit avec d’autre pokemon par la porte de base (ou tente, hein, c’est le jeu) tandis qu’Alaric fuit par l’arrière, via le mur opposé à la porte avec ludicolo et ceux qui peuvent le suivre.
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Lyanora M. Caelum
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
« Tu viens de te faire ridiculiser par Miss Lumiris, tu le vis bien ? » Ces mots avaient heurté mon âme, avaient résonné dans ma tête et ne cessaient de se répéter. Tout n’était qu’un vrombissement sourd autour de moi. Tout n’était qu’un grésillement incompréhensible. Tout était flou. Était-ce donc ça, être Miss Lumiris ? Avoir cette image de femme faible et vulnérable gravée dans le front. Être une demoiselle en détresse ad vitam aeternam. Étais-je faible ? Était-ce que j’inspirais ? Le mépris par mon incapacité à me défendre seul. D’une part, je le savais. De l’autre, l’entendre me faisait mal. Atrocement mal. Comme si la pointe d’une épée m’avait pénétré la poitrine. Un pincement au cœur, j’assimilai l’information, sans conviction, persuadée que je pouvais être plus que la faible et pitoyable Miss Lumiris qui, dès qu’elle se défendait permettait de transformer sa victime en une pauvre énergumène encore plus sous-estimée qu’elle. Était-ce vraiment ce que je voulais ? Quid de cette arène que je voulais ouvrir ? Quid de ces gens qui viendraient me défier ? Viendraient-ils seulement parce qu’ils avaient eu ouï-dire que j’étais faible, que je ne représentais pas un défi ? Je ne l’accepterais pas. « Non. » bref murmure dans le brouhaha de l’altercation musclée de Lise, je répondais à mes propres réflexions, comme si elles avaient été un dialogue ardu avec un tiers.
Bref soupire mélancolique.
Puis je lève les yeux, la main collée contre ma joue comme si ça avait pu en estomper le saignement. N’était-ce pas là le signe que je n’étais pas si faible ? Cette plaie qui tournerait probablement, tôt ou tard, en une cicatrice rougeâtre. Balafre qui aurait vite fait de briser la pureté de mon visage. De le rendre plus sévère. Ça nous ferait un point commun à Lise et moi, exception faite que sa cicatrice se situait au niveau de son abdomen. « Vous allez bien ? » Mon ton était froid. Déserté de toute la joie qui le caractérisait normalement. Déserté de ma propre gaieté. Drave, hostile, sévère, c’est ce qui sortait. Rien de tout cela n’était naturel pour moi et je me surpris, malgré tout, à me dire que c’était ce qu’elle méritait. En étais-je venue à la haïr ? Simplement parce qu’elle avait dit que j’étais faible ? Parce qu’elle utilisait mon nom, mon titre, ma personnalité comme prétexte pour se valoriser elle-même ? Au fond, peut-être l’étais-je. Peut-être étais-je faible de succomber ainsi à l’amertume alors que nous avions bien d’autres priorités. C’est la mention d’Alaric qui me le rappela. Il est vrai qu’il n’avait toujours pas donné signe de vie depuis notre séparation dans la salle de réception. Et si ? Non. Je me dissuadai de ces idées noires qui m’avaient parcouru à tel point de me donner un frisson. À cette heure, il devait avoir retrouver Chapo. Si elle m’était hostile, je savais qu’avec elle, rien ne pouvait lui arriver. J’en graciai les cieux. J’en graciai la vie de l’avoir mise sur son chemin.
Je pris le temps de souffler, je retirai l’escarpin intact et celui qui n’était plus qu’une vulgaire ballerine. Je les jetai par-dessus bord. Tant pis. Ils étaient perdus. Je me penchai pour être à la hauteur de Lise et tailladai la jupe de ma robe, la raccourcissant de quelques centimètres. Je donnai le morceau de tissu à Lise et me relevai, m’éloignant quelque peu d’elle. Pas de façon insouciante, mais plutôt pour tenter de voir mon reflet dans un hublot quelconque. Pour voir cette Lyanora à moitié princesse, à moitié sauvage qui s’offrait à l’entièreté du navire. Je jetai un œil par-dessus mon épaule. « Êtes-vous trop faible pour marcher ? » J’appuyai grandement sur le mot faible. Lentement, je devenais l’une de ces garces que j’avais longuement méprisées. Rancunière, antipathique, arrogante. Cette sbire m’avait-elle tuée ? Puis tel un phoenix j’avais repris vie… en devenant une autre. Mentalement, je m’excusai pour mon impertinence. Physiquement, je m’avançai vers elle et l’aidai à se relever, récupérant en même temps la planche. Arme de fortune dénichée sur le vif dans un contexte aussi anxiogène, elle était ce bouclier sur lequel je pouvais m’appuyer, à défaut de pouvoir appeler Altesse à mes côtés. Ce bout de bois plein d’écharde était le rempart qui me permettait de prouver que j’étais forte. Au moins à moi.
Vérifiant bien les alentours pour ne pas être prise à nouveau pour otage, je commençai à marcher vers cette porte qu’elle m’avait indiquée. La salle de navigation. Trois gardes. Nous étions deux femmes, l’une titubait, l’autre était estimée faible. Piètre duo. Mais nous avions des armes ! Une planche de bois et un couteau. Je réitère : piètre duo. Pourtant, guidée par l’adrénaline, par ce cœur pompant et actif, j’avançais. Vers cet objectif qu’elle avait établi. Armés ? Son histoire ne le disait pas. Nous avancions sans savoir s’ils avaient de quoi se défendre. Probablement. Si ma geôlière avait eu un couteau, alors je ne pouvais que supposer qu’eux aussi seraient armés. Prêts à nous forcer une chirurgie s’il le fallait. Après tout, s’ils avaient été capables d’un tel plan, alors ils étaient capables de nous éliminer, comme l’avait si bien dite la femme que j’avais poussé à la fuite. « Les autres seraient soulagés qu’il y ait une personne de moins sur le bateau. »
Les voilà. Ces trois gardes. Formes imposantes dans un horizon encore plus imposant. Je cessai de compresser ma joue et essuyai ma main sur ma robe, près de mon nombril. C’était l’heure de trouver un plan. N’importe quoi. Quelque chose qui ne me mettrait pas forcément en danger. Rien ne me venait. Sans Pokémon, tous les plans devenaient périlleux. Tous les plans devenaient des occasions de se prendre les contrecoups d’une pensée imprudente. La jeune femme qui cherchait les toilettes pour faire une distraction. La jeune femme qui attirait l’attention vers elle pendant que sa partenaire s’infiltrait dans la salle. La jeune femme qui provoquait les gardes. Chacun de ces plans me mettait en avant comme un vulgaire appât. Pourquoi moi plutôt que Lise ? Parce que sa blessure était plus grave. Parce que je pratiquais quotidiennement la gymnastique pour les concours. Parce que j’étais en forme. Pour une fois dans ma vie, je prenais le temps de réfléchir mes actions, parce que chaque geste comptait, ma tête l’avait compris.
Pas mon corps.
Tentant d’élaborer un plan, je commençai à m’éloigner de Lise. Secrètement. Discrètement. Dix, vingt, trente puis cinquante mètres. Tout près d’un pont menant vers la boutique du navire. Je pris place. Miss Lumiris était devenue une lanceuse hors pair. Lanceuse de disque extraordinaire. Lanceuse de… planche de bois luxueux extraite du pont d’un navire. La planche fila. Volant sur les quelques mètres qui me séparaient des gardes. Je ne la regardai même pas percuter sa cible – ou glisser sur le sol. – « Gros moches ! J'suis là ! »Trop tard. J’avais déjà commencé à détaler. Comme un lapin poursuivi par un chasseur je courrais aussi vite que mon corps me le permettait vers cette issue que mon corps avait repérée de lui-même.
Geste imbécile ou distraction utile ?
Je l’ignorais. J’espérais que l’on me poursuivrait, que Lise pourrait s’infiltrer dans la salle qu’elle avait pris pour cible. J’espérais. J’espérais bien des choses : la paix dans le monde, ne pas être ce fardeau faible que tout le monde semblait associer à ma personne, des enfants, me sortir indemne de cette poursuite et sécuriser l’accès de Lise. Le rêve était beau, louable même. L’espoir était sain. Le réalisme était, néanmoins un peu moins clément. Au mieux, un seul garde me poursuivrait et tenterait de m’intercepter. Au pire, ils se moqueraient de moi et je n’aurais servi à rien. Et alors, j’aurais laissé Lise, seule, vulnérable, devant ces trois hommes. Je lui aurais donné raison. En plus d’être faible, j’aurais été stupide, désertée de toute présence d’esprit. Tout ça pour un geste impulsif, irréfléchi. Au moins, tentais-je quelque chose. Au moins, tentais-je de nous faire progresser et nous approcher des commandes du navire, d’Alaric… Était-il déjà entré ? Non. Il n’aurait pas pu faire face aux macaques qui gardaient la porte, ou alors ils n’auraient plus été là. Où était-il donc ? Phare de mon innocence, lui au moins saurait quoi me dire pour que je puisse être mise à contribution… car même si je nous avais sorti du pétrin, cette prise d’otage était né de mon imprudence, de ma stupidité et de cette idée débile de partir seule… en gambadant.
actions:
- Lya jette ses talons. - Lya découpe une partie de sa robe pour donner du tissu à Lise. - Lya aide Lise à se relever et se dirige vers la salle de navigation. - Lya s’éloigne de Lise et lance la planche sur les gardes. - Lya détale à toute vitesse.
Even Ifllys
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Feat. Alaric, Lise & Lyanora <3Battle On, Round Two
Mais qu'est-ce qu'il croyait à menacer un sbire de la team Mistral comme si il était un véritable pro de la baston? Il tentait d'égaler Alaric qui en imposer beaucoup plus que lui dans une telle situation mais, le jeune homme avait l'impression que quelque chose clochait ... Les attaques adjacantes du côté d'Alaric se déchaînèrent, que ce soit la Surchauffe, ou la Canicule, ainsi que la Danse-Pluie ou l'attaque Vent Violent qui transformaient la pension des Mistral en véritable atmosphère tropicale irrespirable, puis Even se sentit soudainement étourdis et manqua de tombé sur le côté, en tout cas la prise sur son arme de fortune était beaucoup moins fortes. Etait-ce dû à l'atmosphère trop lourde ? Ou bien était-ce la faute de ce Beldeneige qu'il n'avait pas encore aperçu jusque là et qui descendait sur lui ? L'insecte l'avait-il attaquer par surprise ? Dès qu'il fut repérer ce dernier lança une attaque Onde Boréale vers le Blandinet qui ne pu l'esquiver.
L'effet fut immédiat. En plus d'être propulser contre un des mur de la pièce, Even fut frapper par une intense sensation de froid dans la poitrine malgré la chaleur régnante. Le Pléiade eut le souffle couper et le sbire eut amplement le temps de se remettre le temps que le dresseur puisse de nouveau absorber de l'air dans ces poumons. Face à l'attaque sournoise du second insecte, Magirêve se détourna du combat mais ne fut pas assez rapide pour venir en aide à son compagnon humain. Pire, cela permit à son adversaire méga-évolué de placer une attaque de type Ténèbres qui fit reculer le Spectre tout en le blessant gravement.
Pendant ce temps, Alaric agissait lui. Dans sa bataille, il avait ouvert au moins une nouvelle issus pour que les pokémons captives puissent rejoindre leurs dresseurs. Even se remit debout tant bien que mal en s'aidant du mur comme d'appui et refit de nouveau face au Sbire. Puis Alaric hurla sa stratégie avant de s'enfuir par une de ces ouvertures. Son ami, rival, avait raison. Ils n'avaient pas besoin de sortir victorieux de cette affrontement mais simplement de libérer le plus d'otages possibles. Il n'était que trois et ne pourraient pas suivre tous le monde. Magirêve luttait contre le Blizzard de ces deux adversaires, puisque Beldeneige était venu en renfort du Mega-Scarabrute, le sorcier spectrale d'Even se protégea du froid intense avec une attaque Abri en brandissant son bâton à l'horizontale mais l'attaque le faisait quand même reculait. Bateleur ne pouvait pas venir en aide à Even tout en combattant les deux pokémons insectes, même si il le voulait il ne pouvait pas gérer tous les fronts puisqu’il était le seul pokémon disponible dans la troupe d'Even. Son dresseur, contrairement à d'autres humains de la croisière, avait laisser l'entièreté de leur équipe à la pension des Mistrals, mais Even gardait encore ces amis en balls et le spectre ne savait pas pourquoi il ne requérait pas leurs assitance
Toutefois Magirêve devait contre-attaquer mais il sentait qu'il avait besoin de l'aide d'Even pour venir à bout des deux insectes. Du coté d'Even, celui-ci avait renoncé à se battre contre le Mistral, enfin pas tous à fait. Le Pléaide utilisa son agilité naturelle ainsi que ces entrainements pour foncer sur son adversaire qui pensait surement essuyer un nouveau coup. Mais à la place, l'artiste plongea vers l'avant en faisant une élégante roulade, échappant à toute riposte physique éventuel, puis toujours accroupi contre le sol, il balaya les jambes du sbire d'un habile mouvement de jambes. Le Pléaide se releva pour crier ces instructions à son partenaire.
"-Utilise Tonnerre sur Mega-Scarabrute ! Puis concentre toute ta puissance sur le Beldeneige avec un Rayon Gemme, il faut créer une ouverture!"
Sentant une main aggripant sa cheville, Even dû donner un nouveau coup pour s'extraire de l'emprise du Mistral qui ne voulait rien lacher. Pendant ce temps, Magirêve s'exécuta, de son accessoire il lança une puissante attaque Tonnerre en direction du Méga-Insecte qui la reçu de plein fouet de par sa bonne précision. Son type Vol allait le faire souffrir pour le coup, surtout en prenant en compte le précédent Rayon Chargé qui à augmenter la puissance des attaques spéciales de Magirêve. Et Bateleur ne tapait presque dans l'attaque Spécial. Il dirigea ensuite sa baguette contre le bel insecte d'une blancheur pure et tira sans vergogne un rayon couleur rubis dans sa direction. Le spectre avança tout en continuant de frapper le pokémon avec son rayon pour que ce dernier s'écrase contre le mur qui commence à céder sous la pression de l'attaque. En un sens, Magirêve se venge pour Even qui à dû encaisser une attaque de type glace à cause de ce pokémon qui l'a prit en traître. La baguette du Magicien touche maintenant le corps du Beldeneige enfoncer dans le mur, et Bateleur prépare une Ball'Ombre à bout portant. Qu'il tir pour faire céder le mur tout en envoyant son adversaire au tapis.
Even se précipite vers le Spectre qui à créer une sortie de laquelle s'échappe déjà quelques pokémons captives. Sans un regard pour le Mistral ou pour le pokémon Méga-Evoluer, Even fonce à la suite de Magirêve pour quitter la pension. Il commence à courir dans les couloirs à la même allures que la lévitation de son Magirêve.
"-Alaric à dit qu'on devait se retrouver où on savait. Direction la salle de Navigation, Bateleur. On à encore du pain sur la planche avec ces Mistrals ..." dit-il au Magirêve qui sembla d'accord avec lui et l'affirma par un hochement de tête.
Even ne connaissait pas l'architecture du bateau et ne savait même pas ou il avait débouler grâce à la sortie que Magirêve avait créer en cassant un mur mais ce qu'il savait c'est qu'il devait mettre de la distance entre lui et la pension. Ainsi que de trouver un moyen de trouver la salle de navigation. Pour cela le Pléiade regarda partout autour de lui dans sa course à la recherche d'un indice, un signe ou une indication qui lui montrerait la voie de la salle de navigation. Il regardait partout, sauf devant lui.
Codage modifié par K pour Dusk Lumiris
Action:
-
Dusk
PNJ
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Identité du dresseur
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Vous êtes libres, toutes les deux. C’est super ! Continuez comme ça, c’est toujours mieux que crever après tout. Maintenant, la salle de navigation ? Un couteau à la main, ça pouvait toujours vous être utile.
Lyanora, c’est bien. Tu décides de te lancer sur les autres gardes. Enfin, de lancer la planche. Cette planche retombe sur la tête d’un des gardes qui est sonné, sur le coup et tu t’es bien faite remarquer. Un deuxième garde décide de te courir après en effet, mais les deux autres gardes demeurent devant la porte… même si l’un d’eux n’était pas vraiment en état de réagir à quoi que ce soit. L’autre est sur ces gardes, il essaie de voir si l’impertinente n’a pas un ami quelconque pour les déranger encore plus. Lise, tu peux agir, mais y’a quand même deux gardes. C’est risqué. Même pour toi.
Alaric… tu as voulu te venger, n’est-ce pas ? Il va donc te falloir assumer le fait que tes mains seront tâchées d’un sang qui ne s’en ira plus jamais, alors qu’Even parvient à fuir – les pokémons qui l’attaquaient brillement mis K.O – à l’aide de ce propre pokémon spectre et des trous que tu as décidé de faire. Pensez-vous rembourser les dommages ? Parce qu’ils sont immenses quand même, les dommages. C’est triste, un si beau bateau.
Revenons-en à Even et tous les pokémons qui sont maintenant libres sur le bateau. Ils suivent Even, c’est toujours mieux qu’être seuls. Even, tu peux en effet trouver une carte sur le coin du bateau qui t’indique clairement que la salle de navigation est : aller au bout du couloir, tourner à droite, puis tourner à gauche encore au bout du couloir. Pas de temps à perdre !
Et toi Alaric ? L’ambiance se calme soudainement. Les pokémons ennemis ont donné tout ce qu’ils pouvaient et le sbire ne bouge plus, gisant sur le sol. Muet pour toujours. On peut dire que tu as vengé ce pokémon. À ton tour de fuir pour retrouver Even. À quelques reprises sur les murs, y’a des plans pour aider les employés, tu devrais trouver le chemin pour la salle de navigation assez rapidement.
Lise & Lyanora sont libres de leurs gestes.
Lyanora se fait poursuivre par un garde après en avoir "assommé" légèrement un avec la planche (aïe), mais celui-ci et son autre ami continuent de faire le guet.
Les pokémons ennemis sont K.O, Alaric et Even peuvent rejoindre la salle de navigation.
Bravo Alaric, il est muet pour toujours le Sbire ! /pan
Vous avez jusqu'à dimanche 16 août, 2h AM pour répondre
Je me relève en apposant le bout de robe que me tend Lyanora sans relever ce qu'elle me dit, si je suis trop faible pour bouger ? Elle va continuer de se rebeller longtemps celle là ? La douleur commence à s'estomper, le saignement avec. Je garde le couteau de la sbire dans ma main de libre alors que nous rejoignons le couloir pour accéder à la salle de navigation. On dirait bien que les trois sbires n'ont pas envie de bouger. Nous nous cachons derrière un renfoncement de mur pour essayer de trouver quoi faire. Avant que Lyanora ne décide de passer de nouveau à l'attaque.
« Fais attention à toi, merci. »
Je la laisse s'éloigner en serrant mon couteau dans ma main. Son assaut lui a permit d'attirer un des trois sbires, celui qui s'est fait assommer par la planche a du mal à se relever et l'autre semble vraiment sur ses gardes. C'est à moi de jouer. Je passe tranquillement au milieu de la pièce avant de foncer vers le garde blessé, l'autre a seulement le temps de sortir son couteau que me voilà déjà, tenant son collègue, mon arme sous sa gorge.
« Lâchez votre arme et laissez moi entrer. »
Le sbire me rit au nez alors que son collègue semble commencer à se débattre, je sens sa jambe qui se décale, il la lève alors et cherche à me donner des coups pour que je le lâche. Merde ... j'ai vraiment pas envie de ça. Ma lame est repoussée, il se tourne ensuite vers moi, nous nous échangeons quelques coups et dans la panique ... ma lame que je voulais utiliser seulement pour le menacer, viens se planter dans sa jambe. Un cri de douleur s'extirpe alors de sa bouche. Il s'effondre en continuant de hurler. Je retire la lame en tremblant légèrement, légèrement pâlie, le sbire me rie au nez avant de faire tourner son couteau sur son index.
Le second sbire me lance alors son couteau en plein visage, mon adrénaline et ma voix intérieure me hurlent de bouger. J'ai juste la force de m'accroupir, le couteau filant se planter dans un mur derrière moi. Je relève alors seulement la tête que le genou du sbire me frappe violemment au visage. Je roule sur quelques mètres avant de me relever. Lise ... bouge toi ! Ces enflures ont ce qu'ils méritent. Mes bras cessent alors de trembler, le sbire court dans ma direction et va pour me donner un coup en plein visage, ma main droite se redresse pour planter d'un geste vif ma lame dans son pied. Il s'éloigne en titubant et en lâchant des insultes que je ne relève pas.
Je me redresse alors en pointant l'arme blanche face à lui, sourcils froncés, légèrement décoiffées, je suis toujours apte à me défendre. Alors que le sbire commence légèrement à reculer, des bruits de pas me font me retourner complètement vers là d'où je venais. Je ressens l'aura de Lucario, les autres doivent être avec lui. Je reprend alors mon souffle en souriant.
« Even ! Alaric par ici ! » Dis-je d'une voix forte pour les guider vers ma voix, toujours le couteau serré dans ma main droite.
Citation :
Lise remercie Lyanora. Elle passe en catimini derrière le sbire sonné pour se servir de lui comme otage. Le sbire se débat et tente de frapper Lise, dans tout ça, elle lui plante malencontreusement la jambe. Elle reste quelques secondes choquée et incapable de bouger. L'adrénaline l'empêche de se prendre un couteau en pleine tête, elle perd seulement quelques cheveux dans son mouvement. Elle combat le dernier sbire mais reste troublée, elle se fait frapper, puis finie par planter le pied du sbire avec son couteau. Lise hausse le volume pour appeler Alaric et Even et les guider vers sa position.
Lyanora M. Caelum
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
« Non ! Lâchez-moi ! » beuglais-je, regrettant soudainement ce geste qui m’avait valu cette escapade sur les ponts. Si j’avais gambadé au début, je courrais maintenant. Je courrais à toute jambe espérant échapper à cet homme. Il était hors de question que l’on me prenne en otage encore. Je ne voulais pas être, à nouveau, cette figure faible de laquelle on se moquait. Pas après m’en être sorti une fois. Serais-je seulement capable de me défendre contre cet autre homme ? Serais-je seulement capable de lui tenir tête, de le blesser, de lui faire peur. J’en doutais. Associant davantage ma réussite précédente au hasard qu’à un réel talent de ma part. Tout n’avait qu’une pure succession de conditions hasardeuses que j’avais pu analyser et esquiver parce que j’avais été suffisamment bénie par les cieux. C’est tout ce que j’étais. Bénie. Pas talentueuse. Pas courageuse. Pas athlétique. Si j’avais pu écrire cette histoire, j’aurais bien omis d’y raconter mes larmes, j’aurais omis d’y dire que je n’avais même pas essayer d’empêcher la femme de ma prendre, j’aurais omis de dire que l’instant d’une seconde j’avais pensé que la vie me quitterait, laissée pour compte sur une croisière où j’aurais cru m’amuser, où j’aurais cru profiter du temps qui s’arrête avec l’homme qui partageait mon quotidien.
Je courrais sans trop savoir dans quelle direction aller. C’était une partie du plan que je n’avais pas réfléchie. Ça ne me semblait pas nécessaire… et pourtant. Partout ici, il y avait des membres de ce groupe qui nous retenait sur le navire. Partout. Ces gens en qui j’avais confiance, qui m’avait offert le plus merveilleux des services étaient maintenant des ennemis, des gens qui en voulaient à ma vie, et je luttais avec ma personne pour chasser ces pensées positives que j’avais eues à leur endroit, des jugements mélioratifs, contemplatifs de leur merveilleux travail. Si j’avais su. Si j’avais su à ce moment, que la gentille dame qui m’avait servi des gaufres seraient susceptibles de vouloir me poignarder plus tard, je ne lui aurais pas laissé un aussi généreux pourboire, ni n’aurait insisté pour qu’Alaric lui sourisse et cesse de bouder et maudire l’entièrement de la croisière Ariwa.
De la même façon, si j’avais pris le temps d’étudier le navire davantage, de trouver un plan d’évacuation dessinant chaque point, j’aurais su quelle direction prendre, j’aurais su où tourner pour me dérober à la vigilance de mon poursuivant. Au lieu de ça, j’espérais un miracle en lui hurlant de me lâcher. Comme si c’était possible. Comme si soudainement il allait se dire qu’il était plus sage de me laisser courir librement et de retourner garder avec ses pairs une porte qui était susceptible de nous aider, nous les dresseurs lumiriens, à prendre la fuite et se dérober au plan d’Hyouga.
Je sentais la panique me gagner tranquillement, dominer mon être et, lentement, m’apporter quelques larmes, incertaine d’où je me trouvais, d’où se trouvait Alaric, de si j’allais seulement revoir mes Pokémons. Je continuais de crier, risquant davantage de me faire repérer que de réellement aider ma cause. Certes, nous étions quelques un, on aurait pu me trouver, mais j’avais assez peu d’espoir. À cette heure, nous avions probablement nos propres démons à gérer. Moi Chapo et ce garde qui me rattrapait probablement. Je commençais à m’épuiser. Quoi de plus normal, je n’avais pas l’habitude de ces longues courses, pour de courtes distances, j’y arrivais, mais jamais autant. Mes deux poursuivants, car oui, ils étaient deux maintenant, ne semblaient pas démordre… Chapo ? Je m’arrêtai. Réalisant qu’elle avait passé sous mon radar, réalisant que je n’avais que survoler sa présence sans m’y attarder. Si j’avais eu de l’avance sur le garde, elle était maintenant chose du passé. Je m’étais arrêtée pour voir si j’avais bien vu.
Oui.
C’était Chapo, la Ludicolo d’Alaric. Croisée sur un pont transversal, elle m’avait prise en chasse pour que je la rejoigne. « Ma-Madame Chapo ? Vous faites quoi ci ? Où est Alaric ? » Je commençai à sonder les horizons, le cherchant du regard. Si elle était là, c’est qu’il avait réussi à la libérer. Si elle était là, c’est que lui aussi était là. Mon cœur battait, voulant rompre mon thorax. Je sentais mon sternum se déloger tant le battement de mon cœur combiné à mon souffle haletant étaient infernaux. Je me sentais nerveuse. Nerveuse qu’il découvre ma plaie, nerveuse qu’il m’en veuille de ne pas être restée dans la salle de réception, nerveuse qu’il ne veuille pas que je reste avec lui alors que c’était mille fois plus rassurant que le décor macabre de la salle où nous avions mangé. « Monsieur Alaric ? » dis-je en entendant un craquement du sol, plus loin.
Il apparut.
Debout, le visage boursoufflé, lourdement blessé. Mes yeux se remplirent d’eau, un mélange de joie et de tristesse d’ainsi le découvrir. Que lui était-il arrivé ? Qu’était-il arrivé dans cette garderie ? Pourquoi était-il dans cet état ? Pourquoi Mayura était-il aussi amoché ? Mon cœur débattait encore plus, prêt à se ravir à ma garde. Je ne me retins pas. Je courus vers lui. Si j’avais l’habitude de me contenir en présentiel de Chapo, je n’eus pas ce respect cette fois, frappée par l’excès passionnel de mon amour. J’enroulai mes bras autour de sa taille et me réfugiai contre sa poitrine. « Monsieur Alaric ! Si vous saviez les choses horribles qu’ils ont fait. Ils ont tué monsieur Cirrus… et tout le monde s’est séparé… » En panique, sous le choc, j’en avais même oublié qu’il avait été témoin, lui aussi, de cet assassinat. Qu’il avait été de ceux qui s’étaient séparé. Qu’il m’avait sommé de rester sur place. L’émotion m’avait emporté. J’avais recommencé à pleurer, j’étais inconsolable, trop heureuse de le retrouver vivant, quoique abimé. « Et j’ai voulu vous suivre… et il y a une madame qui m’a capturé, elle tenait son coup sous ma gorge et madame Lise est arrivée et… » cette fois je m’interrompis. Je tournai la tête pour découvrir la source de cette interruption, de ce toussotement qui cherchait à reprendre son souffle. Il m’avait retrouvée.
Mon poursuivant était là.
Pas bien difficile de me retrouver, certains diront, j’en conviens, bruyante comme j’étais. Il n’avait eu qu’à suivre ma voix. « C’est un méchant. » dis-je en serrant mon fiancé toujours plus fort. C’était un méchant, oui. J’omettais bien de mentionner que j’avais lancer une planche en sa direction dans le but de le blesser. J’omettais bien de mentionner que je le fuyais depuis un moment, que j’avais frappé cette femme qui m’avait prise en otage. Je me contenais comme je pouvais, incapable de reprendre ma course sans Alaric. J’essuyai ma plaie contre son chemisier. N’arrêtant pas de la toucher, elle n’avait pas encore eu l’occasion de coaguler. Je me retournai pour me cacher derrière lui. « Dites à madame Chapo de me protéger… » chuchotai-je pour ne pas qu’elle m’entende, sachant qu’elle refuserait une demande de ma part, sachant qu’elle me méprisait.
actions:
- Lya court vraiment longtemps - Lya court toujours - Lya arrête de courir en réalisant que la Ludicolo de Alaric la suit - Lya voit Alaric et essaie de lui expliquer la situation en faisant ce qu’elle fait de mieux : pleurer - Lya geint - Lya entend le garde qui la poursuit - Lya demande l’aider d’Alaric
Je ne m’attendais vraiment pas à la voir ici, si loin de la salle de réception. Mais à vrai dire avec la situation, l’adrénaline et son câlin qui pressais mes cotes endoloris, je n’avais pas eu le temps de penser à tous ça et la gronder pour être parti à l’aventure seule, malgré le danger qui rode partout dans les couloirs de ce bateau. Mais pourtant je ne pouvais que sourire de la retrouver. C’était un réel réconfort de l’entendre pleurer contre moi, de ressentir les battements de son cœurs et le fracas de ses émotions contre ma peau. C’était dangereux, mais sa présence à mes coté me faisait du bien elle m’ôtait cette boule de stress permanente. Mais le câlin fut de courte durée, le récit des aventure dangereuse de Miss Lumiris en détresse fut interrompu par un nouvel épisode de Miss Lumiris en détresse. Avant de lever mon regard vers le poursuivant de ma dulcinée, mes yeux furent heurter par ce trait rouge perlant sur la joue de Lyanora. Alors elle avait été menacé, et cette blessure était une relique de sa lutte héroïque ? Contrairement à ce que pensait la demoiselle je n’avais rien besoin d’ordonner à ma ludicolo, ni même besoin de la regarder pour l’entendre se trémousser et voir une sphère verte se former au creux de ses paumes.
-Attend chérie, tiens ne bouge pas, juste un instant. Tu peux prendre Mayura ?
Fourrant l’oiseau dans les bras de Lyanora, tu te mis à chercher au fond de tes poches. Bingo ! Si tu ne te promenais pas avec des potion et des rappels dans tes poches, surtout dans une croisière de luxe, l’expérience t’avais fait prendre l’habitude de toujours avoir quelques pansement sur toi, n’est ce pas, Miss Lumiris et Mini Miss ?! Ainsi, tu sortis délicatement de ta poche le pansement Hello Skitty et le posa tendrement sur la plaie de la cadette de Caelum. Pas que ça résoudrais grand-chose, mais au moins ça évitera qu’elle pleure sur sa plaie et la touche constamment, ainsi la blessure pourra coagulé si elle est peu profonde, où au moins être un peu plus stérile si c’était plus grave. Avec un sourire, tu termina par une caresse sous l’œil de la demoiselle, dissipant les larmes, et lui déposant un baisé sur les lèvres tandis qu’une lumière verte envie la pièce et qu’un vent se leva, sur le passa de la sphère végétale, faisant courir nos cheveux en tous sens !
-Vient on y va ! J’ai vu des plan sur le chemin, Lise, Even et mes autres pokemon doivent nous attendre dans la salle de navigation !
L’adrénaline, faisait des miracles, plus de bégaiement, une assurance rare… Tu avais pris la main de ta douce sachant que Chapo protégerait tes arrières. De leur côté, Kirin, suivait Even, profitant de son long coup de girafe pour voir tout éventuel danger et épauler le blanc et les pokemon en fuite. Tandis que Nova arrivait déjà, tel un héros accompagnant les pokemon de Lise. L’émolga super héros, bondissais de mur en mur, le corps brillant de milles étincelle bleuté. L’éclair bleu de Konoha, j’vous jure ! Il arrivait pour mettre un kick contre le méchant qui menaçait Lise, rétablissant l’honneur et la liberté des pokemon ! BOOOM BITCH ON EST LA ! LE CRIME CESSE !
Bientôt tout le monde serait réuni mais serait-il si simple de reprendre le contrôle de ce navire ? Que nous attendait il derrière cette porte ?
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Even Ifllys
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Feat. Alaric, Lise & Lyanora <3Battle On, Round Three
Bien heureusement pour lui Even ne se retrouva pas seul avec son Magirêve dans les couloirs du bateau de croisière des Mistrals. Plusieurs pokémons l'avaient suivit formant ainsi une véritable cohorte de ménagerie pokémon qu'il se devait de guider. Mais le pléiade ne pouvait pas courir comme un dératé à travers tous le bateau pour que chaque pokémon rejoigne son dresseurs. De plus il ne savait pas ou se situer exactement la salle de navigation qu'il devait rejoindre. Ni si les autres de la salles de réception s'était diviser à travers le bateau comme il l'avait fait lui-même avec Alaric, ce qui était d'ailleurs le plus probable.
Dans sa course, il remarqua un écriteaux accroché au mur qui faisait offices de cartes. Il dut s’arrêter quelques secondes pour mémoriser le chemin car il n'avait pas la mémoire assez vive pour le faire tout en courant. Le chemin l'amenait donc au bout du couloir puis à droite puis ensuite à gauche et enfin jusqu'au bout du couloir dans lequel il débouchera pour arriver à la salle de navigation. Il n'y avait pas une seconde à perdre et Even repartis avec Bateleur et les autres pokémons à travers le couloir. L'avantage d'être aussi bien accompagné, c'était que si il croisait un sbire en chemin et bien les pokémons qui l'accompagnés pouvaient le défendre mais fort bizarrement, ils ne croisèrent pas grand monde dans les couloirs. Le pléaide aux cheveux blancs tourna à droite puis à gauche et s'engagea jusqu'au bout du couloir. C'est à ce moment là qu'il entendit la voix de Lise résonné, elle ne devait plus être très loin!
Even redoubla d'efforts et fut même dépasser par les pokémons de Lise courant à sa rescousse car quand le jeune homme arriva devant les portes de la salle de navigation, ce fut pour retrouver la star lumirienne en prise avec deux sbires mistrals. Le blandinet se stoppa et les pokémons qui l'accompagnèrent l'entourèrent.
"-Ça suffit! Dégagez maintenant ou les pokémons feront feu!" menaçât-il tout en songeant que c'était là une aussi bonne méthode pour défoncer la porte sans doute verrouiller de la salle de navigation.
Comme les simples mots n'étaient pas assez suffisant en guise de menace, il l'avait expérimenter avec le sbire précedent dans la pension, le Pléaide leva le bras poing fermés comme un chef d'escadron qui retenait ces artilleurs de fusillaient leurs cibles prématurément.
"-Les amis, chargez une attaque et en joug!"
Even pointa les mistrals ainsi que la porte du doigt en formant une gâchette, ce qui l'amusait un peu, est-ce que ça se laissait transparaître ?
"-A trois, on tire! Alors barrez-vous! 1! ... 2...!..." Even laissa planer le trois finale et fatale en espérant que sa ruse fonctionnerait.
Codage modifié par K pour Dusk Lumiris
Action:
- Even court dans les couloirs accompagné de son Magirêve et de quelques pokémons de la pension, ainsi que de quelques pokémons d'Alaric. -Even trouve une carte qui le mène vers la salle de navigation. -Il va au bout du couloir et tourne à droite. -Puis il tourne à gauche et va au bout du couloir où il entend Lise avant de la rejoindre. -Il menace ensuite les Mistrals avec les pokémons qui l'accompagne. Ces derniers chargent une attaque en fonction de leurs type, capacité et niveau et attendent le signal du dresseur pour tout lâcher sur les sbires.
Dusk
PNJ
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Identité du dresseur
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
Malheureusement pour toi Lise, si le premier couteau est évité, le deuxième… parvient à t’entailler l’épaule (pauvre épaule). Cependant, la douleur à la jambe du sbire et celle au pied de l’autre vont jouer en votre faveur lorsque les autres arriveront.
Alaric et Lyanora… vous n’avez pas trop le temps de parler. Enfin, votre pokémon prend les devants en attaquant le garde, l’envoyant valser sans que vous n’y prêtiez davantage attention. Vous avez raison, ça ne vaut pas la peine de s’attarder sur son existence. Vaut mieux rejoindre Lise et Even, non ? Parce que votre job ici est… très loin d’être terminée. Maintenant que le garde est hors d’état de nuire – Even peut témoigner, se prendre des attaques de pokémon n’est en rien agréable, vous pouvez rejoindre vos amis.
Even, c’est louable de ta part. Mais penses-tu vraiment que les sbires auraient pris des coups de couteau et resteraient là, prêts à attaquer Lise, si de simples menaces pouvaient les faire bouger ? Il va falloir faire feu… ce que tu fais. Ce qui est rapidement suffisant pour mettre hors d’état de nuire les sbires déjà affectés par un couteau (cc Lise). Au passage, la poignée de porte est brisée, et celle-ci s’entrouve… et une vague de froid vous prend.
Soudainement, la température autour de vous semble descendre, brusquement. Vous en avez presque froid. Avancez.. si vous osez.
Parce qu’un grognement fait presque trembler le sol sous vos pieds. Est-ce que tous vos pokémons seront suffisant pour ce qui s’approche ? Bonne question. Entrez, à vos risques et périls. Et vous entrez. Scénarium oblige, vous entrez dans la salle de navigation aux températures glaciales. De la glace se dépose partout, partout autour de vous, sur les machines qui auraient dû fonctionner. Tableau noir. Comment ça aurait pu fonctionner avec la glace ?
Et qui est-ce que vous ne voyiez pas ? Le capitaine du navire qui vous nargue de son sourire. Et bien entendu, des pokémons. Trop. Ils bougent trop vite pour être distingués. Un brouillard s’abat sur la salle de navigation, il est difficile de voir ce que vous faites. Vous allez devoir attaquer à l’aveugle.
Lise se prend une coupure à l'épaule.
Lyanora et Alaric se retrouvent, mettent K.O un sbire grâce à Chapo
Even retrouve Lise, ils sont rejoints par Lyanora et Alaric, Even envoie des attaques de pokémons pour éloigner les sbires, ce qui libère la porte
Vous entrez dans la salle qui est glaciale, vous avez le temps de voir le capitaine qui vous nargue avec son sourire avant que la brume apparaisse et vous empêche de discerner autre chose que vos coéquipiers (leur silhouette)
Vous avez jusqu'à dimanche 24 août, 2h AM pour répondre, love love
Une seconde d'innatention seulement et voilà qu'une arme blanche me fait à nouveau des dommages. L'entaille à l'épaule me fait lever la tête et serrer les dents, je tombe les deux genoux au sol en me tenant l'épaule.
« Merde ... non ... »
J'essaie de me relever mais alors que ma tête se lève péniblement, des attaques de pokémons viennent souffler les deux sbires en face de moi et vient même ouvrir la porte de la salle de navigation. Ni une ni deux je me retourne vers l'origine de tout ça avant d'apercevoir mes six compagnons qui se ruent dans ma direction. Et avec eux, il y a Even. Je me relève péniblement pour les prendre chacun dans mes bras avant de rejoindre mon ami en souriant légèrement, ça fait du bien de le revoir.
« Tu as l'air de t'être très bien débrouillé. Merci. »
Derrière lui, Alaric et Lyanora nous rejoignent, nous sommes donc au complet on dirait. Et nos pokémons sont avec nous, rien ne peut nous arrêter. Enfin c'était l'impression que j'avais en voyant notre équipe ainsi que nos compagnons. Mais un froid mordant me saisit alors, je me retourne en serrant mes mains sur mes bras, quelle est cette puissance ? Je me tourne de nouveau vers Alaric et Lyanora.
« Je suis contente que tu ailles bien Lyanora, tu as pris énormément de risque en attirant le sbire mistral avec toi. Encore merci. Et merci aussi Alaric, sans toi et Even nous n'aurions pas récupérés nos pokémons. Maintenant ... le tout est de reprendre les commandes de ce foutu bateau et vu le froid qui émane de cette salle ... ça ne m'annonce rien de bon. »
Lucario s'approche de moi pour utiliser Vibra Soin et calmer mes blessures les plus légères, je reste tout de même très faible mais il arrête au moins le saignement de mes plaies. Mes autres compagnons se rassemblent autour de moi.
« Gardevoir et Altaria, utilisez Zénith s'il vous plaît une fois à l'intérieur de la salle. Quant à toi Lugulabre, je te demanderais de lancer Surchauffe, n'y va pas trop fort, ce choc de température pourrait risquer d'endommager le système de commande du navire. Mais au vue du froid glacial qui en sort, il faut au moins ça. »
Nous entrons finalement, et nous faisons face au capitaine qui nous nargue avec un sourire qui ne m'inspire rien de bon, le froid est de plus en plus mordant, je m'empêche de grelotter en restant près de Lugulabre. Lucario me suit à la trace et alors que je me tourne vers mes camarades, une brume commence à nous empêcher de voir plus loin que le bout de notre nez. J'attrape instinctivement le poignet de Even.
« Ne t'éloignes pas ... »
Quelque chose m'inquiète, Lucario est tétanisé, est-ce par le froid ? Non on ne dirait pas, il y a autre chose ici qui le fait paniquer, mais quoi, et qu'était ce grognement effrayant ... Lise ne te laisse pas intimider. Le froid plus cette impression dérangeante n'aide pas à lui permettre d'aider mes pokémons à faire revenir la température à la normale. Alors que je pensais que nous étions dans une situation déjà assez délicate, des pokémons se mettent alors à se mouvoir dans la brume, nous ne pouvons pas attaquer à l'aveugle, une attaque mal visée risque de blesser un membre de l'équipe et ce n'est pas le but.
« N'essayons pas d'attaquer, avec cette brume et ce froid nous risquerions de nous blesser plus qu'autre chose. Draco ? Si tu m'entends tente d'utiliser Ouragan pour dissiper cette brume à l'extérieur de la salle. »
Je relâche alors le poignet de Even pour serrer mes poings.
« Capitaine ? Vous nous resituez ? Ou faut faire de nouveau les présentations ? Lise Gray, championne spectre enchantée, vous êtes effrayés par notre présence à ce point ? Il vous faut une brume pour éviter de vous chier dessus en nous voyant tous les quatre ? Quel est votre but ici ? Et qui êtes-vous ? Vous n'êtes pas qu'un simple capitaine, je me trompe ? » dis-je, les poings toujours serrés et le regard filant tout autour de moi. Je m'adresse alors à Lucario qui est derrière moi, en chuchotant.
« As ... ne panique pas ... je suis là ..., tente de percevoir l'aura du capitaine s'il te plaît. »
Citation :
Lise remercie Even / Alaric pour avoir sauvé leurs pokémons. Et Lyanora pour avoir fait diversion. Lucario apaise la douleur de Lise avec Vibra Soin. Le grognement + le froid mettent Lise & ses pokémons sur le qui-vive, mais ils décident d'entrer. Altaria & Gardevoir utilisent Zénith tandis que Lugulabre lance Surchauffe pour faire baisser la température. Draco tente d'utiliser un Ouragan pour dissiper la brume. Lise s'adresse au capitaine après avoir attrapé Even pour le garder près d'elle. Elle le provoque. Lise chuchote à Lucario apeuré par le froid + une aura intimidante, d'essayer de se concentrer pour percevoir l'aura du capitaine.
Lyanora M. Caelum
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1322 Née le : 02/12/1998 Age : 25 Région : Kanto Pokédollars : 3965 Stardust : 2996 Stardust utilisés : 2789 Equipe pokemon :
Quelle joie de le retrouver, lui qui savaot me rassurer même dans les pires moments. Il devait bien se douter qu’aujourd’hui était l’un de ces jours difficiles où j’espérais qu’il tiendrait ce rôle, qu’il me rende le sourire. Il le ferait. Je m’en étais douté dès l’instant où j’entendis derrière nous mon poursuivant couiner et que j’avais vu la lueur verte s’éteindre. Aussitôt, une partie de mon stress s’envola. Si Chapo me protégeait, ça voulait dire que j’étais sauve. Je serrai Alaric fort contre moi dans un premier temps, le laissai bander ma plaie et je lui souris. Les yeux imbibés de larmes de soulagement. Je m’en serais terriblement voulu s’il lui était arrivé quelque chose, après tout, j’étais celle qui l’avait forcé à venir ici, sur cette croisière. L’étreinte fut longue, tapissée par mes pleurs, mon inquiétude, mes remords. « J’ai blessé une madame, Alaric. Elle voulait me faire du mal. » Je pesais mes mots pour ne pas qu’il s’inquiète. Je ne voulais pas lui dire qu’elle avait voulu me tuer. Il s’en douterait bien assez vite ou quelqu’un lui dirait. C’était la première chose que je lui cachais vraiment volontairement. La première chose depuis que nous étions un couple que j’avais peur de lui révéler, craignant une représailles quelconque. Il ne m’aurait pas fait du mal. Il n’en aurait sûrement fait à cette dame, mais je ne voulais pas qu’il s’énerve, qu’il me rappelle qu’il m’avait demandé de rester à la salle de réception.
Pour qu’il ne me questionne pas plus, je pris sa main et commençai à rebrousser chemin pour l’amener vers Lise, vers l’endroit où je l’avais laissée seule avec deux gardes desquels elle devait se débarrasser. Répartition de travail équitable. J’en prenais un pendant qu’elle en prenait deux. Elle était plus puissante après tout. Non ?
Je n’avais visiblement pas eu tort de le penser. Le temps que l’on arrive. Elle était debout avec monsieur Even, attendant pour se faire un chemin dans la cabine. Nous allions donc entrer. Elle avait ouvert le chemin et j’avais ramené notre pilote. Le stress me prenait, j’étais terriblement nerveuse à l’idée de découvrir ce qu’il y avait de l’autre côté. Contrairement à mes trois alliés, je n’avais aucun Pokémon. Je n’avais aucune utilité. J’étais cette femme trop bien vêtue pour l’occasion qui n’avait nulle préparation. Ni Pokémon ni arme, j’avais lâché chacune des armes que j’avais pu trouver. Elles n’auraient pas suffi à combler ma crainte de toute façon.
Nous entrâmes.
Aussitôt le froid me gagna. Obstacle imperturbable à la liberté de mon fiancé, je pris sa main entre les deux miens et la portai à mon nez. Comme si sentir son parfum m’aidait à me sentir mieux. Comme s’il y avait quelque chose de rassurant à sentir la chaleur de son corps dans ce froid. Comme le sourire moqueur du capitaine qui disparut bien vite m’avait inquiétée. Comme si les ombres de ces Pokémons parcourant la pièce m’avait mise encore plus mal. Je me sentais démunie, inutile. Alors qu’eux avaient leurs Pokémons, moi je n’étais que la béquille qu’on devait se traîner. Je ne voulais pas perdre de vue le groupe et c’est pour ça que j’avais eu ce réflexe de me lier à Alaric. Pour ne pas être, à nouveau, prise en otage. Une fois m’avait suffi. « L’un de vous n’aurait pas une attaque pour réduire la vitesse des Pokémon… ça me stress ? » chuchotai-je en me retournant au passage d’une ombre sans que je puisse la discerner.
Je n’avais rien de plus à suggérer, aucune action supplémentaire à poser. Je ne pouvais rien faire. J’étais inutile. Cette fois, je l’étais réellement.
actions:
- Lya entre dans la pièce - Lya prend la main d’Alaric et propose de réduire la vitesse des Pokémons.
Lyanora attaché à ton bras tu était maintenant rassuré et apaiser. La colère et l’inconscience ne dominait plus ton corps et tes poings. Les retrouvailles furent douce, tel un bonbon, une petite pause dans l’amertume des saveurs de cette croisière. Tant qu’elle resterais prêt de toi, tout ce passera bien n’est-ce pas ? Pourtant il faut bouger. Ne pas rester là et se complaire dans cette douceur non, car elle n’est qu’éphémère, une petite récompense pour avoir survécu jusque-là, mais si on ne se bougeait pas, nous n’aurions plus de moment à deux. La brune le savait et ainsi prenant ta main elle t’attira dans la direction d’où elle venait, remontant en sens inverse sa fuite.
Finalement vous êtes rapidement retombé sur la salle de navigation, devant laquelle Lise et Even vous attendais accompagné d’une armée de pokemon, deux des mien dans le lot. Nova s’était perché sur la porte ouverte de la cabine passant sa tête de l’autre coté malgré le froid polaire qui en émanait tandis que Lise te remercie ? Wtf Lise qui dit merci, c’est bizarre mais ce n’est pas le moment de tergiverser.
-Ouai, ouai t’inquiète, on en parlera plus tard ! Le combat ne fait que commencer tu as raison !
Tu adresses un hochement de tête à Even voyant qu’il va bien et s’en est sorti avec des allié suite à la stratégie. Unes fois à l’intérieur Lise prend les devant en orchestrant un ballet enflammé avec son luggulabre et ses autres pokemon qui tente de réchauffer l’atmosphère gelé de la pièce. Et tandis qu’elle ordonne à son draco d’évacuer la brume à l’extérieur en déployant un ouragan, je pose une main sur l’épaule d’Even, et l’autre sur celle de Lise, ayant confié au préalable Mayura K.O à Lya qui restait collé à moi, portant mon oiseau de son bras libre.
-[colo=purple]Surtout ne bougez plus, Even, Lise, c’est peut être un piège ! Protégez nous, s’il vous plait.[/color]
Un regard vers girafarig et ludicolo qui se placèrent respectivement devant et derrière moi, lançant chacun abri et érigeant ensemble un large et puissant dôme protecteur englobant tout le groupe. En bon super-héros, Emolga entendant les plainte et la détresse de Lyanora décida d’agir, et dépit du froid et du soulèvement des vents, lançant de partout sa toile électrifié dès la fin de l’ouragan. Il pouvait ralentir, voir immobiliser les ombres malveillantes qui rodaient partout autour de nous dans la pièce. C’était son rôle en tant que héros, son devoir même et il comptait le tenir en engluant ses ennemis dans ses toiles électrique avant de les mettre k.O d’une rapide acrobatie dès qu’il en aurait l’occasion. Sa présence était comme une veilleuse dans la nuit une petite lueur bleuté dans le brouillard. L’espoir dans les ténèbres !
Spoiler:
On se retrouve devant la porte de la salle de navigation. Une fois à l’intérieur Alaric garde un contact physique avec ses coequipier pour être suffisament proche et ainsi permettre à girafarig et ludicolo d’ériger un abri en duo, cumulant leur technique pour en augmenter l’ampleur sur tout le groupe et rendre le bouclier plus résistant. Emolga quand à lui s’installe sur le dôme une fois l’ouragan passé et lance des toiles elek pour ralentir les ombres voir les paralyser, se tenant prêt à attaquer d’une acrobatie le moment opportun.
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Even Ifllys
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Identité du dresseur
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Icone :
Trophéespassez la souris sur les icones
Messages : 1152 Née le : 13/01/1993 Age : 31 Région : Kalos Pokédollars : 7523 Stardust : 4543 Stardust utilisés : 4386 Equipe pokemon :
Feat. Alaric, Lise & Lyanora <3Battle On, Round Three
Even avait dû prononcer le 3 final et déclencher une salve d'attaques sur les sbires et la porte qu'il gardaient pour aider Lise. Parmi les pokémons de la garderie il y avait l’entièreté de la team de la championne, ces sbires auraient du dégager, maintenant pas sûr qu'ils se relèvent ... Toutefois même si cela était le cas, ils avaient fait leurs choix en vouant leurs vies à la cause de Hyouga, Even pouvait se raccrocher à cette pensée.
Bien vite le groupe fut réunis et Lise nous félicita pour les actions d'Even et Alaric visant à libérer les pokémons prisonniers de la pensions, néanmoins Alaric était plus enclin à l'action, préférant en parler plus tard. Toutefois ce n'était pas le cas d'Even qui avant de rentrer dans la pièce dit à Lise à part.
"-C'était pas malin de foncer cheveux aux vents comme tu l'as fais Lise ..." Même si cela sonnait comme un reproche, il y avait plus de l'inquiétude chez le Pléiade puisque justement la Star lumirienne s'était retrouver blesser.
Dans la salle de navigation, en plus de l'obscurité, un froid mordant frappa le groupe tandis qu'une brûme tentait de les diviser et de les embrouiller. Oeuvre du capitaine qui souriaient avec malveillance en les voyant entrer, ainsi il se mettait lui aussi à l'abri et prenait l'avantage sur les quatre dresseurs. Mais justement c'était tous des dresseurs, et même si Lyanora se retrouvait sans pokémon puisque les pokémons était bloqués par le système Mistral, elle n'en restait pas moins une. Lise eut la rapide idée de tenter de combler l'écart de température avec deux attaques Zenith successif de deux de ces pokémons et une attaque Surchauffe de son Lugulabre qui dispensait ainsi de la chaleur autour de lui. Even ne voyait pas encore le malfaisant compagnon de Hyouga mais une telle atmosphère ne pouvait sentir que le Mistral. Bien vite ils se stoppèrent tous et Even sentit la prise de Lise sur son poignet, et sa voix lui intimant de ne pas s'éloigner. Puis se fut le contact d'Alaric qu'il sentit sur son épaule. Lui aussi sentait le piège et il préparait déjà une défense. Deux attaques Abri pour couvrir le groupe ainsi que l'Emolga qui tissait une toile Elek pour contrer les formes se déplaçant dans la brûme. Des pokémons sans doute.
Lise tenta de dissiper une partie de la brûme grâce à sa Draco mais ne réussit pas totalement, laissant au groupe par contre assez de visibilité pour entrevoir le Capitaine que Lise provoqua d'emblée tout en lui posant des questions. Des questions Even en avait aussi et se permit d'ajouter.
"-Pourquoi vous rangez du côté de ce malade de Hyouga et de sa Team Mistral ? Ces idéaux sont fous et ces plans font souffrir tellement de gens! C'est insensé."
Even et Magirêve ne pouvait pas rester inactif, Lise avait son équipe prête à l'attaque et empêchant le froid de nous faire tomber en pleine hypothermie tandis qu'Alaric assurait notre défense. Bateleur pouvait soutenir Mayura dans ces actions.
"-]b]Va aider Emolga, Bateleur. On va voir si ils aiment autant que ça jouer à cache-cache, tu me suis ?[/b]"
Le magicien spectrale du Pléiade lévita donc au dessus du groupe pour sortir de la barrière protectrice de l'abri pour venir prêter main forte au petit super-héros écureuil volant électrique qui avait préparer des pièges pour les pokémons qui nous attendait en embuscade dans la brume. Dos à dos avec le super-héros le Magicien chromatique leva son baton de Magicien et lança plusieurs attaques Feu Follet qui se dispersèrent dans la brume. Les Feux violets s'envolèrent à travers la pièce et bien que la précision n'était pas de mise dans cette situation cela pourrait permettre de localiser certains ennemis dans dissimulés et les désavantagés. Comme l'avait dit Lyanora quand elle proposa d'abaisser leurs vitesses, même si ce n'était pas tout à fait ce que faisait Magirêve. Après les feux follets, il envoya autant d'onde folie, petites sphères lumineuses, partirent à travers la brume. C'était littéralement une brouillard hantée que venait de créer le Magicien avec ces petites attaques.
Pour conclure Magirêve qui tenait toujours son accessoire en hauteur commença à le faire luire d'une lumière magique et féerique en total opposition avec son type plus obscur. Pourtant la lumière continuait de croître en puissant Éclat Magique qui éclaira la pièce et blessa les pokémons qui tentèrent d'approcher cacher dans les brumailles.
Codage modifié par K pour Dusk Lumiris
Action:
- Even court dans les couloirs accompagné de son Magirêve et de quelques pokémons de la pension, ainsi que de quelques pokémons d'Alaric. -Even trouve une carte qui le mène vers la salle de navigation. -Il va au bout du couloir et tourne à droite. -Puis il tourne à gauche et va au bout du couloir où il entend Lise avant de la rejoindre. -Il menace ensuite les Mistrals avec les pokémons qui l'accompagne. Ces derniers chargent une attaque en fonction de leurs type, capacité et niveau et attendent le signal du dresseur pour tout lâcher sur les sbires.
Rejoins la famille !
Accueil
Dernières images
Rechercher
S'enregistrer
Connexion
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Vous avez accès à vos pokémons et les capacités de vos pokémons évidemment !