Elisabeth Newton
Feat Violet Evergarden de Violet Evergarden
23 ans25 AoûtSunyraFémininBarista au Velvet CaféMétéore
DéfautsGourmandeÉmotiveTimideNaïveAnxieuse
QualitésMinutieuseAttentionnéeIntelligenteJovialePoli
DéfautsGourmandeÉmotiveTimideNaïveAnxieuse
Description
Grand-Mère disait toujours que ce n'était pas un hasard si ton premier Pokemon était un type vol. En effet, tu avais une peur bleu des Pokemon de type insecte, d'après toi, une créature avec autant d’œils ou de pattes ne pouvait-être que repoussante pour ne pas dire une erreur de la nature. Grand-mère se riait de toi chaque fois qu'elle te voyait hurler d’effroi devant des Chenipans ou des Mimigals sauvages qui arpentaient les jardins du manoir. Surement un traumatisme dû à une piqûre de Dardargnan dans ta jeunesse.
Lorsque tu ne te donnais pas en spectacle devant des types insecte, tu aimais prendre soin de toi. Toujours en robe élégante accompagnée d'une coiffure sophistiquée qui te prenais plusieurs heures de préparation chaque matin au réveil, après une bonne douche bien rafraîchissante pour illuminer ton doux visage. Tu cachais très souvent ton bras d'argent dans une paire de gants en cuir assortit à tes bottines à talon. Cependant malgré tout cela, tu ne t’encombrais pas de chose futiles, aussi tu n'emmenais avec toi, au boulot ou ailleurs, que ton Brindibou et une petite valise dans laquelle tu avais quelques outils pratiques tels que des Pokeballs, des potions de soins ou encore quelques baies pour Emerald et toi à l'heure du déjeuner. Très ponctuelle, tu veillais à ne jamais avoir de retard à tes rendez-vous quels qu'ils soient et tu t'efforçais d'être agréable même dans tes mauvais jours, n'aimant pas décevoir. Le regard des autres avait beaucoup d'importance pour toi et tu voulais qu'ils gardent le meilleur souvenir d'une rencontre avec toi, c'est pourquoi tu leur offrais souvent ton plus beau sourire.
Emerald
BrindibouMasculinToujours très joyeux et pleins d'entrain, Emerald est un Brindibou fidèle et loyal, mais qui à tendance à se vexer facilement. Il défendra toujours sa dresseuse, même si cela devait lui en coûter la vie, après tout, elle avait sauvé la sienne par le passé. Il passe le plus clair de son temps à dormir, surtout en journée, lorsque Elisabeth ne sollicite pas son aide pour une quelconque tâche et bien qu'il ne soit pas un Pokemon diurne, il aime se prélasser au soleil quand il en a l'occasion. Une fois la nuit venue, il veille sereinement sur le sommeil de sa dresseuse endormie jusqu'au petit matin. Aussi gourmand que cette dernière, Emerald aime à se goinfrer des baies fraîchement cueillies, que ramasse régulièrement Elisabeth. Mais ce qu'Emerald aime par dessus tout, c'est trôner fièrement sur l'épaule d'Elisabeth lors de ses promenades en ville ou en campagne. En effet, le Brindibou n'est que très rarement dans la Pokeball qu'Elisabeth lui à conçue. Non pas qu'il ne l'apprécie guère, mais bien qu'il préfère sentir le vent soulever sont doux plumage.
Histoire
Il était encore tôt, pourtant le soleil semblait déjà à son zénith tant il chauffait ta peau au travers des carreaux de la fenêtre. Tu venais de naître en cette belle journée d'été, mais l’événement ne suffisait pas à faire sourire ton père. Ce que l'on aurai pu prendre pour des larmes de joie, n'était en fait que tristesse et colère. Quant à toi, tu restais sans pleurs, comme si le drame de la scène t'avait atteint toi aussi. Tandis que ton père qui semblait inconsolable, hurlait de douleur, lui qui venait de perdre celle qu'il aimait, tu observais toujours en silence. Les larmes perlaient à torrent sur sa joue. Et lorsqu'il prit la main pâle de son être cher, cette dernière ne réagit pas, il était trop tard. La fièvre qui l'avait gagné durant l'effort avait eu raison d'elle. C'est ainsi que débute ton histoire.
La solitude envahie bien vite l'esprit de ton père qui s'adonnait toujours plus à la boisson et à la cigarette. Au fil des années, il ne semblait pas te pardonner la mort de sa femme, pour laquelle il te tenait pour responsable du fait de ta venue au monde. Il ne manquait jamais une occasion de te punir, cherchant à te faire culpabiliser. Les coups de ceinture souvent non justifiés survenaient régulièrement pour corriger un écart de comportement ou parfois même quand les tâches ménagère étaient mal réalisées. Du fait de ton jeune âge, tu ne comprenais pas pourquoi tout ceci t'arrivais, mais au fond de toi tu pensais normal de subir un tel châtiment, convaincu que tout était de ta faute. Tu t’efforçais d'obéir aux ordres, mais tu manquais bien souvent d'expérience, t'excusant sans relâche de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Mais rien n'était jamais suffisant pour lui. Il n'existait rien qui puisse lui rendre ta mère. Un soir, saoul et fatigué, dans excès de colère, il décida de te punir sous prétexte que sa soupe était froide. Mais la sentence fut plus violente que les fois précédentes. Couteau à la main, dans un geste maladroit, il te priva à tout jamais de ton bras droit. L’hôpital, n'avait put recoudre les tendons, trop profondément touchés et n'avait eu d'autre choix que d'’amputer et de panser la plaie pour éviter la gangrène.
Tu avais huit ans quand le cancer emporta ton père. Tu était présente à l'enterrement, mais aucun sentiments ne venait à son égard. Tu n'étais ni heureuse, ni malheureuse, mais simplement libre. S'en était enfin finit de son harcèlement quotidien. Suite à quoi, le juge te plaça dans dans un l'orphelinat de Sunyra. La directrice du pensionnat prenait grand soin des enfants qu'elle accueillait et veillait à ce qu'ils aient une bonne étiquette en vu d'une éventuelle adoption. Tu fit élevée et éduquée en bonne et due forme, étudiant dans tous les domaines qu'il t'était donné d'apprendre et possible de faire sous ta condition. Tu passais tes soirées à lire des livres, développant une passion pour les romans à l'eau de rose.
L'année de tes douze ans fut surement pour toi, la meilleure. Une vieille dame était venue à l'orphelinat ce jour là, dans le but d'adopter une jeune fille pouvant l'aider dans ses tâches ménagères au quotidien. Ton handicape toucha énormément le pauvre cœur fragile de la vieille dame, qui décida de te prendre sous son aile. Elle était venu te chercher quelques jours plus tard, afin de préparer au mieux ton arriver, après avoir signer la paperasse administrative obligatoire. C'était une personne de fortune, vivant seule dans un immense manoir à Sunyra. Dès ton arrivé dans sa demeure, ta surprise n'en fut pas moindre. Un artisan était là et t'attendais. Il déballa d'un tissu, un bras mécanique en argent. Une prothèse réglable sur mesure afin que tu puisse de nouveau vivre normalement. Plusieurs mois t'avais été nécessaire pour maîtriser ton nouvel outils, mais tu étais finalement parvenue à l'utiliser aussi naturellement qu'un vrai bras. Principalement chargée des courses et de la cuisine, tu passais également beaucoup de temps en compagnie de celle que tu appelais désormais Grand-Mère, prenant soin d'elle comme de ta vraie famille. Elle était d'une gentillesse infinie, elle qui n'avait jamais eu d'enfant te considérais comme sa fille et te chérissais. Te démontrant son amour et sa gratitude par de nombreux présents tels que des peluches ou encore des fleurs.
Un soir de grand froid, alors que tu prenais l'air dans les jardins, un bruit t'interpella. Un jeune Brindibou blessé se trouvait au pieds d'un arbre. Il avait du tomber de son nid en essayant de prendre son envole contre le vent glaciale et c’était brisé une aile et une patte. Tu le pris délicatement dans tes bras et l'enroula dans ton écharpe avant de l'emmener à l'intérieur pour lui procurer les premiers soins afin qu'il passe la nuit, bien au chaud au coin du feu. Dès le lendemain, Grand-Mère fit venir une infirmière Pokemon qui le prit en charge durant trois longues semaines. Tu appelais tous les jours pour prendre de ses nouvelles, jusqu'à ce qu'enfin tu puisse le récupérer, sain et sauf. Très heureuse, tu décida de lui concevoir une Pokeball sur mesure. Tu te reconnaissais en ce Brindibou et tu souhaitais à ton tour rendre la chandelle en lui offrant la chance d'une vie meilleure. Emerald, de son nouveau surnom, devint rapidement ton nouvel ami. Ton meilleur ami.
Alors qu'enfin tu atteignais ta majorité, tu venais d'être officiellement embauchée comme barista au Velvet Café, un café vintage de Mirawen. Assisté par Emerald, tu étais très doué pour faire le café, après tout c'est Grand-Mère qui t'avais appris à le faire et de la meilleure façon qui soit, c'est à dire à l'ancienne. Très fière, tu tenais à lui raconter tes journées. En effet, tu faisais les trajets en train tous les jours, préférant rentrer auprès de Grand-Mère plutôt que de prendre une maison loin d'elle.
Aujourd'hui encore, rien n'a changé. Tu mène une vie tranquille et bien méritée, profitant de tes vacances pour voyager et visiter un peu cette superbe île qu'est Lumiris.
La solitude envahie bien vite l'esprit de ton père qui s'adonnait toujours plus à la boisson et à la cigarette. Au fil des années, il ne semblait pas te pardonner la mort de sa femme, pour laquelle il te tenait pour responsable du fait de ta venue au monde. Il ne manquait jamais une occasion de te punir, cherchant à te faire culpabiliser. Les coups de ceinture souvent non justifiés survenaient régulièrement pour corriger un écart de comportement ou parfois même quand les tâches ménagère étaient mal réalisées. Du fait de ton jeune âge, tu ne comprenais pas pourquoi tout ceci t'arrivais, mais au fond de toi tu pensais normal de subir un tel châtiment, convaincu que tout était de ta faute. Tu t’efforçais d'obéir aux ordres, mais tu manquais bien souvent d'expérience, t'excusant sans relâche de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Mais rien n'était jamais suffisant pour lui. Il n'existait rien qui puisse lui rendre ta mère. Un soir, saoul et fatigué, dans excès de colère, il décida de te punir sous prétexte que sa soupe était froide. Mais la sentence fut plus violente que les fois précédentes. Couteau à la main, dans un geste maladroit, il te priva à tout jamais de ton bras droit. L’hôpital, n'avait put recoudre les tendons, trop profondément touchés et n'avait eu d'autre choix que d'’amputer et de panser la plaie pour éviter la gangrène.
Tu avais huit ans quand le cancer emporta ton père. Tu était présente à l'enterrement, mais aucun sentiments ne venait à son égard. Tu n'étais ni heureuse, ni malheureuse, mais simplement libre. S'en était enfin finit de son harcèlement quotidien. Suite à quoi, le juge te plaça dans dans un l'orphelinat de Sunyra. La directrice du pensionnat prenait grand soin des enfants qu'elle accueillait et veillait à ce qu'ils aient une bonne étiquette en vu d'une éventuelle adoption. Tu fit élevée et éduquée en bonne et due forme, étudiant dans tous les domaines qu'il t'était donné d'apprendre et possible de faire sous ta condition. Tu passais tes soirées à lire des livres, développant une passion pour les romans à l'eau de rose.
L'année de tes douze ans fut surement pour toi, la meilleure. Une vieille dame était venue à l'orphelinat ce jour là, dans le but d'adopter une jeune fille pouvant l'aider dans ses tâches ménagères au quotidien. Ton handicape toucha énormément le pauvre cœur fragile de la vieille dame, qui décida de te prendre sous son aile. Elle était venu te chercher quelques jours plus tard, afin de préparer au mieux ton arriver, après avoir signer la paperasse administrative obligatoire. C'était une personne de fortune, vivant seule dans un immense manoir à Sunyra. Dès ton arrivé dans sa demeure, ta surprise n'en fut pas moindre. Un artisan était là et t'attendais. Il déballa d'un tissu, un bras mécanique en argent. Une prothèse réglable sur mesure afin que tu puisse de nouveau vivre normalement. Plusieurs mois t'avais été nécessaire pour maîtriser ton nouvel outils, mais tu étais finalement parvenue à l'utiliser aussi naturellement qu'un vrai bras. Principalement chargée des courses et de la cuisine, tu passais également beaucoup de temps en compagnie de celle que tu appelais désormais Grand-Mère, prenant soin d'elle comme de ta vraie famille. Elle était d'une gentillesse infinie, elle qui n'avait jamais eu d'enfant te considérais comme sa fille et te chérissais. Te démontrant son amour et sa gratitude par de nombreux présents tels que des peluches ou encore des fleurs.
Un soir de grand froid, alors que tu prenais l'air dans les jardins, un bruit t'interpella. Un jeune Brindibou blessé se trouvait au pieds d'un arbre. Il avait du tomber de son nid en essayant de prendre son envole contre le vent glaciale et c’était brisé une aile et une patte. Tu le pris délicatement dans tes bras et l'enroula dans ton écharpe avant de l'emmener à l'intérieur pour lui procurer les premiers soins afin qu'il passe la nuit, bien au chaud au coin du feu. Dès le lendemain, Grand-Mère fit venir une infirmière Pokemon qui le prit en charge durant trois longues semaines. Tu appelais tous les jours pour prendre de ses nouvelles, jusqu'à ce qu'enfin tu puisse le récupérer, sain et sauf. Très heureuse, tu décida de lui concevoir une Pokeball sur mesure. Tu te reconnaissais en ce Brindibou et tu souhaitais à ton tour rendre la chandelle en lui offrant la chance d'une vie meilleure. Emerald, de son nouveau surnom, devint rapidement ton nouvel ami. Ton meilleur ami.
Alors qu'enfin tu atteignais ta majorité, tu venais d'être officiellement embauchée comme barista au Velvet Café, un café vintage de Mirawen. Assisté par Emerald, tu étais très doué pour faire le café, après tout c'est Grand-Mère qui t'avais appris à le faire et de la meilleure façon qui soit, c'est à dire à l'ancienne. Très fière, tu tenais à lui raconter tes journées. En effet, tu faisais les trajets en train tous les jours, préférant rentrer auprès de Grand-Mère plutôt que de prendre une maison loin d'elle.
Aujourd'hui encore, rien n'a changé. Tu mène une vie tranquille et bien méritée, profitant de tes vacances pour voyager et visiter un peu cette superbe île qu'est Lumiris.
Elunciel22 ans (2020)FémininSaône-et-LoireSans emploi
Comment a-tu découvert le forum ? Grâce à Reira lors de sa création, je suis une revenante moi Ton pokémon préféré : Goupix <3As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : La réponse D /PAFUn dernier mot ? Sucre