Enfin arrivé à Artiesta, lieu où avait élue domicile Aulric, mon amie d'enfance au lycée, je ne put m'empêcher de penser que les voix chevaleresque que l'on m'avait appris risqué bien de se noyer dans la grandeur de cette ville. Enfin, rien ne pourrais détourner mon cœur et mon corps de ma quête d’apprentissage des arts militaires et sociaux... Surtout sociaux contemporain. Ainsi, arrivé à la bâtisse servant de lieu de vie pour mon ami, je ne put m’empêcher de ressentir une certaine inquiétude l'habité. Il me parla brièvement d'une histoire d'application téléphonique, sur laquelle il aurait obtenue un somptueux repas. Avant que je commence à douter de son inquiétude, il m'expliqua que cette application était une application de rencontre mais qu'elle aurait trop bien fait son travail et qu'en ce jours, il ne voulais ni ne pouvais assisté à un tel repas entremetteur. En effet, il avait lui même réservé sa soirée pour passez un merveilleux diner à la chandelle avec son nouveau compagnon. Bien évidemment, je comprenait à quel point il était important qu'il assiste à ce diner planifier par ses soins, mais je comprenais aussi sa détresse quand à sa volonté de ne pas vouloir laissé une pauvre personne seule lors d'un diner galant. Alors, sans hésiter, je lui indiquait ma volonté de prendre sa place. Le ticket étant anonyme, je pouvais prendre sa place sans crainte de représailles. Il me manquait seulement mes affaires, qui devait arriver par transport aérien dans les heures suivant mon arrivé chez lui.

Après une complexe logistique pour aller chercher mes vêtements, mes ustensiles et mes affaires personnelles, mon ami ne put que m'indiquer le chemin de l'hôtel et la table qui lui était assigné, m'indiquant que je serais surement en retard, le temps de m'habiller et de m'y diriger. Sachant déjà mon retard évident, je décidais alors de mettre ma plus somptueuse tenue, taillé pour mes lointains ascendants paternel, et tenue en état à travers les âges en temps que trésors de famille. Ce vêtement de goût était porté dans les plus somptueuses et importantes cérémonie de l'époque, et était adapter à ce type de rendez-vous galant. De même que mes manières, apprises en tant que base de l'éducation du bon chevalier. Certes, elle ne me servait pas dans la vie sociale quotidienne, mais nous parlons bien évidemment ici d'un important diner galant, alors, mes manières était plus que parfaites. Il ne manquait plus que de préparer la ceinture sur laquelle serait poser le fourreau de mon cher Azoth et enfin je fut prêt.

J’arrivai au pied de l'immense hôtel avec quelques menue minutes de retard. Je ne m'était pas privé d'une petite course au milieu de la ville, sous les yeux stupéfait des passants. Devant ma tenue, les serveurs de se majestueux établissement pensèrent d'abord que je me moquait d'eux en leur tendant le ticket, mais mon regard inchangé leur fit comprendre que je n'avais le temps pour leur observation sommaire. Un essaya même de me retirer Azoth, ce qui lui valut un simple regard lui indiquant que cette épée n'étais pas un jouet. Il sembla comprendre assez vite, vue la terreur dans ses yeux. Le fait de savoir qu'il avait faillit manquer de respect à un monorpale devait l'avoir effrayée à coup sûr ! Je fut donc escorter jusqu'au grand ascenseur en verre, depuis lequel je put admirer Lumiris. Un jours, lorsque j'aurais enfin le compagnon ailées que j'ai toujours espérer avoir, je pourfendrais ces même cieux, dans lequel je pourrais m'entrainer au combat aérien montée...

La salle de la réception était déjà remplie... il y avait femmes et hommes de tout âges et condition. Je vis même une demoiselle en fauteuil roulant ainsi qu'un homme qui ne semblait ne pas avoir eu le temps ou les moyens de mettre une tenue plus adapté au cadre. Mais tout le monde étais assis. J'avais presque oubliée qu'il s'agissait d'une simple soirée en tête en tête. Je n'aurais donc susurrement pas le loisir de voir les résultats de mes entrainements de l'étiquettes de la danse. Peu importe, il me fallait maintenant trouvé la table qui m'étais assigné. Je la trouvais, ainsi que la charmante demoiselle assis à cette dernière.


Avec une élégance et une maitrise de l'étiquette adaptée, je m'approchait de la table, m'approchant de la galante, saisissant son poignet avec douceur et gentillesse, et lui déposait un baisait sur le dessus de la main. Le vrai baisé du chevalier, pas celui recopier par les roturier pour se moquer de notre culture. Non, celui où les lèvres de celui qui tient la douce main ne salissent pas la chair de la galante, mais simplement le souffle, l'intention de gracier une personne de nos plus distinguer regard.


Dis-je, tandis qu'Azoth me tandis le-dit bouquet qu'il tenait depuis que je l'avais confectionner, sur le chemin. Il était assez coloré et les tiges, de tailles moyennes, était serrée ensemble par une mèche de mes cheveux noué ensemble, formant un fin liseré noir et argent, comme voulais la tradition galante. Enfin, je pris place à la table, sans manqué de montrer mon plus beau sourire.