Tu as l'impression que tu n'es pas à ta place, songes que tu aurais mieux fait de rester à la pension plutôt que de venir ici. C'était une erreur, clairement. Même lorsque tu t'es retrouvée à Exilar, coincée dans ces tunnels souterrains pour ce "test", c'était moins pire que ça. Là, tu sais pas dire pourquoi, mais tu as l'impression que tu es un boulet. Ca te fait mal de penser ça. Tu es persuadée qu'ils préféreraient tous que tu ne sois pas là, au fond. En tout cas, que tu y sois ou pas, c'est du pareil au même. Tu n'apportes rien au groupe. Ce n'est pas parce que tu as eu l'idée de la brume et de la neige que tu es utile. Alors, pour une fois, tu gardes le silence, parce que c'est sans doute mieux comme ça. Tu les laisses décider pour toi et, finalement, Edgar décide de vous diviser en deux groupe, te laissant avec Ethan et Akiza. C'est bien ça, son nom? Tu ne sais plus. De toute façon, tu as tendance à déformer tous les noms un peu compliqués à retenir. Alors bon. Tu hoches la tête en regardant Edgar et les garçons s'éloigner. Maintenant, vous devez vous débrouiller comme vous pouvez, seuls et sans secours.
"Bon.... On entre là, du coup? J'ouvre la porte, si vous voulez."
Aussitôt, tu joins le geste à la parole. Tu ne sais pas à quoi t'attendre. A rien de mal, sans doute. Enfin... Peut-être une alarme incendie si la porte est protégée, mais non. Rien. Tu es peut-être trop naïve dans une telle situation. Toi, tu n'as pas vécu ce que les autres semblent avoir subi. Toi, tu ne penses pas à mal. Tu avances, juste, profitant de la chaleur qui règne dans ce couloir. Parce que c'est bien de ça qu'il s'agit. Et si tu es un peu nerveuse de te retrouver là, tu te sens rapidement en confiance parce que les gens qui s'y trouvent déjà ne semblent vous prêter aucune attention. Tu te tournes, un peu triomphante, vers tes compagnons d'aventure, alors que l'odeur de café effleure tes narines. Mmmh... Tu ferais bien un détour par la salle d'où il provient, histoire de te réchauffer. Tu n'en fais rien, cependant, et tu avances dans le couloir, espérant que personne ne vous demandera ce que vous faites là.
Parce que tu n'es pas idiote, tu sais que pour sembler à ta place ici, il ne faut pas que tu trébuches. Alors du fais attention à l'endroit où tu poses tes pieds. Ce serait ballot de vous faire repérer pour ça, quand même.
"Vous voulez commencer par où?" demandes-tu dans un souffle. "On monte, ou vous voulez voir le rez-de-chaussée?"
Le problème à explorer le rez-de-chaussée, c'est qu'il y a des gens. Et qu'ils finiront par vous repérer et vous demander d'où vous venez. Mais c'est plus près de la sortie. Le problème de monter, c'est qu'on ne sait pas ce qu'il y a au dessus. Mais toi, ce serait sans doute ta solution préférée, commencer par le haut.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
résumé:
Sasha ne se sent pas à sa place, parce qu'elle n'a pas vécu ce que les autres ont vécu et qu'elle se sent un peu inutile. Pour compenser, elle propose d'être celle qui ouvre la porte du bâtiment central dans lequel Akiza, Ethan et elle vont entrer. Elle leur demande par où ils veulent commencer. Elle, elle préférerait l'étage, car il y a des gens en bas.
Quelque chose cloche… depuis votre arrivée, vous avez réussi à tout faire sans vous faire remarquer : trouver la base, vous en approcher et maintenant, vous vous apprêtez à y pénétrer, mais encore personne ne vous a remarqué, et aucun Pokémon surveillant la place n'a encore même froncé les sourcils, ni même bougé un poil pour trouver ces six personnes inconnues. Six personnes qui tentent de s'infiltrer, et pourtant personne n'a rien remarqué. Tu te mords l'intérieur de la joue, l'air pensif. C'est trop facile… sommes-nous en train de tomber dans un piège ?. Cette pensée, tu la gardes pour toi, voulant éviter d'alarmer les autres, mais si tu te fies à la centrale… quand c'est trop facile, ça n'augure rien de bon. Et alors que tu avais cru que ton idée de vous séparer n'était pas la meilleure, Edgard semble penser le contrôle. Un peu surpris, tu hoches néanmoins la tête, ne cherchant pas à t'interposer à la volonté du leader du groupe. Après tout… c'est vrai que â fait moins suspect si nous sommes un petit groupe, et non un grand groupe de six individus. Soit, vous explorerez les bureaux. Quand Sasha parle d'ouvrir la porte, Ethan ne peut s'empêcher d'émettre un commentaire :
« Fais attention… nous ne savons pas ce qui peut se cacher derrière. » Dis-tu d'un ton sérieux, te donnant clairement l'air d'un parano.
Pourtant, s'il y a bien une chose que tu as retenu de la centrale, c'est de prendre des précautions. Elle tourne la poignée, et tu détournes les yeux un instant, t'attendant à une alarme, ou quelque chose du genre dès que la porte est entrouverte, mais… rien, si ce n'est qu'un léger grincement. Tu regardes la porte, clignant des yeux quelques fois avant de te gratter l'arrière de la nuque d'un air mal à l'aise. Toi ? En faire trop ? Jamais.
« Bon… euh… c'était facile. »
Pour éviter de continuer le léger malaise qui commençait à s'installer, tu prends la Pokéball de Sparkle et lui indique qu'elle retourne à l'intérieur avant d'actionner le mécanisme. Elle te serait utile, mais… disons que niveau subtilité, il vaudrait mieux demander l'aide de Belzébuth pour surveiller les alentours, et de venir les avertir s'il y a quoi que ce soit. Tu suis donc le groupe dans le petit bureau, entendant bien rapidement les nombreuses voix qui venaient des différentes salles qui sont liées au couloir. Tu figes un instant, entendant le commentaire sur le fait que le froid était désagréable. Niveau subtilité, toi et les autres n'êtes pas mieux que le renard aux neuf queues. Malgré tout, personne ne semble vouloir venir vous voir et vous poser des questions, donc c'est bon signe. Tu écoutes Sasha et tu hoches la tête. Car oui, tu es d'accord qu'il vaudrait mieux commencer par en haut.
« Il faudra se faire silencieux, et peut être avoir un guet pour nous assurer d'être avertis si quelqu'un s'en vient. »
Une idée pas très bête, surtout si le Pokémon reste près du début de l'escalier et monte silencieusement pour vous avertir. Sinon, il y a toujours l'option de faire diversion avec deux personnes pendant que l'autre personne fouille seule en haut… mais dans tous les cas, tout ce que tu cherches, c'est un document qui pourrait vous en apprendre plus sur la mission et le but de cet endroit étrange. Si possible, sans devoir avoir recours à un affrontement quelconque. Seule Akiza devait donner son opinion maintenant, c'est pourquoi tu te retournes vers elle.
Résumé
Ethan trouve que c'est trop facile et qu'ils sont peut être en train de se faire piéger
Il dit a Sasha de faire attention avec la porte
Il entre avec les deux filles après avoir rangé Sparkle dans sa balle
Il veut aussi allez en haut essayer de trouver des documents
L’air chaud du bâtiment gifle, fouette le visage blanchâtre de la chanteuse lorsque ses premiers pas écrasent le tapis de l’entrée. Ses joues se mirent à rougir par le changement de température et aussitôt la Rose frotte ses gants en laine par simple réflexe pour tenter d’avoir encore un peu plus chaud. Soufflant à l’intérieur de ses mains gantées, son regard dévie furtivement sur un radiateur posé près de l’entrée. Il est bouillant et automatiquement Kyoko pose ses doigts sur l’objet agissant à la manière d’une bouillotte, voire aussi d’une cheminée. Elle soupire de bonheur, savourant ce petit plaisir au moment où des picotements agressent les extrémités de sa peau recouvrant ses doigts. Au bout de dix secondes, Akiza se recule du radiateur pour pouvoir essuyer ses bottes contre le tapis. Ni trop court ni trop longtemps pour éviter d’attirer l’attention. Silencieuse, ne disant aucun mot, elle se contente d’adresser un faible sourire à Ethan et Sasha. Les autres ne sont pas ici car vous vous êtes séparés en deux groupes de trois. Au moins, ça paraîtra moins suspect tout en améliorant les chances de trouver des indices sur cet endroit et sur la disparition des Pokémons.
Au moment où le claquement de la porte relâche un son jusqu’à l’autre bout du couloir, la chanteuse peut y entendre la plainte d’une personne qui doit se situer dans la pièce à gauche. Le froid, le courant d’air et la position de la porte d’entrée/sortie sont la cause de ce petit râlement. Elle aimerait pouvoir en rajouter une petite sauce sur cette merveilleuse idée de l’architecte mais préfère se taire. Disons que Kyoko pourrait être assez reconnaissable sur deux points. De son physique et de sa voix. Pourquoi ? Car c’est une chanteuse professionnelle. Si des gens dans cet endroit aiment ses musiques, elle sera alors facilement reconnaissable. En fait, c’était vraiment une idée débile de les accompagner pour se la jouer discret, mais heureusement que la Rose est loin d’être à la même marche que certains champions coordinateur ou artiste célèbre à Lumiris…
Évitant donc de retirer son bonnet pour ne pas dévoiler sa tignasse rose, Akiza retire de la poche de son blouson un étui à lunettes. D’un geste rapide, la rockeuse enfile ses lorgnons de repos qu’elle utilise tout le temps pour lire. À la télévision, on la voit tout le temps sans lunettes donc ça pourrait lui donner un peu de transparence. Du moins espérons. L’odeur du café provenant de la salle de repos donne soudainement une petite faim à la demoiselle. Et si elle prenait le risque de se payer une boisson chaude ? Après-tous les employés travaillant dans cet endroit semblent ignorer le groupe. De plus, un geste comme celui-là pourrait potentiellement attirer encore moins l’attention sur eux. Soucieuse de faire une bêtise, de compromettre cette filature, Aki ne tente rien de stupide, suivant le groupe tout en retirant ses gants pour laisser la chaleur enlacer ses mains beaucoup trop sensibles par le froid.
« Je suis d’accord pour jeter un œil en haut. » chuchote de sa voix douce et non grave comme celle d’une rockeuse à ses collègues. « Je peux faire le guet si vous voulez… » propose la chanteuse à Ethan puis en déviant ses orbes maritimes sur Sasha. « Je pourrais simplement prendre un café, rester vers l’escalier tout en attendant que vous fouillez le premier étage. » Elle finit par hausser les épaules. « Je n’ai vu aucun Pokémon ici, en laisser un près des escaliers pourrait être…suspect…non ? » demande Akiza qui avait eu subitement l’idée de faire appel à Pichu mais préférait ne rien dire à ce sujet, craignant que ce soit une proposition bien stupide. « J’ai joué dans des films amateurs, le jeu de rôles ne m’est pas inconnu. » avoue-t-elle en pouvant très bien mentir aux gens qu’Akiza est nouvelle et vient d’arriver. Mais bon, si Sasha ou Ethan refuse, la chanteuse respectera leur volonté, ne souhaitant aucunement s’opposer à eux. Déjà que la situation est assez tendu, inutile d’être une nuisance ou autres qui pourraient mettre en péril la petite exploration…
Résumé:
Petit résumé où Akiza (ayant mis des lunettes) acquiesce pour l'exploration des archives, de l'étage supérieur. Cependant, elle propose de servir de guet pour Sasha et Ethan. Pensant que laisser un Pokémon pourrait être suspect vu qu'il y en a aucun dans le bâtiment visiblement.
Si jamais Ethan et Sasha sont d'accord, Akiza ira chercher un café dans la salle de repos et surveillera par la suite l'escalier. Comme elle le précise, jouer le rôle de quelqu'un comme un simple employé peut être dans ses cordes vu qu'elle a déjà joué dans des films amateurs.
Si jamais le groupe refuse, elle les accompagnera en haut.
Damien Delaunay
Dresseur Nova, Champion d'Arène & Administrateur
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On se sépare. Qu'importent les inquiétudes, et qu'importe la médisance dans la voix d'Edgard lorsqu'il crache presque les syllabes de mon prénom. Tous ces inconnus retourneront à l'état de vagues connaissances dont j'oublierai probablement le nom et le visage une fois retournés à nos vies – sains et saufs, tous. L'objectif est clair : comprendre ce qui se trame ici et, quoiqu'il arrive, rentrer chez nous sans dommages. J'ai jamais eu la prétention d'être appréciable ou apprécié par des gens que je ne reverrai probablement jamais quand tout ça sera terminé.
Je rappelle Rhapsodie à sa Pokéball – aussitôt, son absence me bouscule. Je me sens seul et désarmé quand il n'est pas à mes côtés. Mais Arya est là – sa présence, centre de gravité d'un satellite à la dérive. J'observe comme les autres s'éloignent, et puis j'emboîte le pas à notre guide du jour en direction du bâtiment mystérieux dont la façade ne trahit rien de ce qu'il dissimule. À chaque pas, je crains d'entendre une voix ; qu'on nous interpelle, qu'on nous arrête – que les autres aient des ennuis et qu'on ne soit pas là pour les aider. Mais rien. Rien ne vient pour nous condamner.
J'inspire.
La porte est atteinte sans accroc. Je demeure une seconde de trop immobile, presque sonné par la facilité avec laquelle on a traversé l'allée – je ne saisis pas tout de suite que le bourdonnement que j'entends vient de l'autre côté de l'enceinte des murs et pas d'un coin de ma tête. On y est. La porte est poussée, et le bruit est assourdissant – grondements, roulements, souffles, tout s'entremêle dans une cacophonie terrible qui filerait presque la migraine. Les yeux plissés, j'essaie de comprendre le paysage étrange qui nous entoure tandis qu'on avance à l'intérieur – là où l'on ne s'entend même plus penser. J'ai chaud – il fait chaud. Tant et si bien que même respirer devient pénible.
La voix d'Edgard porte à peine par dessus le tumulte des machines – et je l'observe disparaître avant de me tourner en direction d'Arya, l'air confus, désemparé. Et puis, je me rappelle brusquement qu'avec lui, le bruit n'est pas une barrière ; les mots pas une nécessité. Je retire un gant, pour signer plus librement. « J'imagine qu'on... » Prisme, blottie contre ma nuque, s'agite brusquement, rappelant par le contact froid de sa peau de spectre contre la mienne sa présence à ma mémoire. Au même instant, dans mon dos, une voix – ou ses bribes – me fait sursauter, et me force à me retourner. Les battements de mon cœur s'accélèrent dans l'instant quand je constate les trois présences qui nous font face – barrage entre nous et la sortie. « Euh, on... » Je m'interromps, réalisant l'inutilité de ma tentative de conversation dans un endroit pareil. Ce sont eux qui nous désignent la sortie et, dociles, on leur emboîte le pas. J'adresse à Arya un regard inquiet – signe, d'une seule main discrète « Je gère. » (même si je ne gère rien du tout). Je frémis lorsque je sens Prisme quitter mon épaule, et se glisser dans nos ombres, hors de la vue de nos interlocuteurs pour s'en aller je ne sais où. Je laisse faire – plus confiant en l'instinct Pokémon qu'en l'instinct humain.
Dehors, le froid est encore plus vif qu'auparavant – le choc thermique me ferait claquer des dents si l'on était resté à l'intérieur plus longtemps. Viennent les remontrances, les suspicions sans doute – que foutent deux jeunots dans un endroit pareil et sans le moindre équipement ? « Je… On… Désolés. » Je souffle, bégaie, avant de me confondre dans un rire un peu nerveux, ponctué d'un sourire gêné, ma main non-gantée glissée sur ma nuque. « On n'est pas encore très au fait du fonctionnement, ici, on… On finissait notre pause au réfectoire et on s'est un peu pris le nez avec un grand brun bourru, là, et il nous a envoyés balader par ici en disant qu'on avait peut-être besoin de nous ou je sais pas trop quoi. » J'hésite – comme si je réalisais brusquement que le récit de nos petites chicaneries personnelles n'étaient pas forcément ce que nos interlocuteurs attendaient. « Euh, oui, bref. Du coup, euh, y'a un vestiaire dans le bâtiment, ou…? Des casques à disposition ici, des chaussures de sécurité ou faut aller demander ailleurs ? Enfin, je– Pardon, je sais qu'on vous a déjà fait perdre du temps mais, fin, au pire on va se débrouiller mais… » Cette histoire commence vaguement à me rappeler mon stage d'observation professionnelle au collège… « S'il vous plaît ? » Toujours faire preuve de bonne volonté face à son employeur quand il s'agit d'apprendre, m'a-t-on dit, un jour – j'aurais jamais cru que c'était dans des circonstances pareilles que j'y aurais trouvé utilité.
(Pendant ce temps – mais ça, Damien l'ignore –, la petite Fantyrm, qui a fait de son mieux, grâce à son petit gabarit et sa nature spectrale, pour échapper à toutes les attentions, s'en est allée chercher Edgard par là où il s'en est allé. Mauvaise pisteuse, mais de bonne volonté, elle espère bien le trouver et lui faire entendre que quelque chose semble ne s'être pas tout à fait déroulé comme prévu.)
résumé | Lorsque les trois individus viennent à eux, Damien estime que le mieux à faire c'est de les suivre sans faire d'histoire et de jouer leur jeu. Il improvise donc une petite histoire de type "on est nouveaux et pas très familiers, donc si vous pouvez nous guider ce serait giga sympa et un gain de temps pour tout de monde" en espérant que son bluff passe. Prisme, sa Fantyrm, est toujours dans le bâtiment, partie en quête d'Edgard même si elle n'a pas le meilleur des sens de l'orientation.
Dusk
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Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
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Premièrement, le groupe dans le bâtiment des bureaux. Personne ne vous remarque ou alors on ne se formalise pas de votre présence. Pour ceux qui sont déjà allés dans les bureaux des Finances Publiques, c’est un peu l’ambiance qui règne ici. C’est studieux, calme, et on fait attention à son environnement proche, à savoir son bureau et c’est tout. Personne ne lève la tête quand vous passez devant les portes.
Vous montez les escaliers et avez l’impression que vos membres fondent doucement. Aucune sorcellerie ou piège, c’est juste qu’il fait très bon dans le bâtiment. C’est très agréable. Ethan et Sasha, vous arrivez dans la salle contenant des rangements, des classeurs, des piles de feuilles blanches, une imprimante qui fit aussi scanneur mais surtout… un FAX ! qui utilise encore des fax de nos jours. Bref, vous pouvez commencer à chercher des informations. Tout est très bien rangé, étiqueté et daté.
La date la plus ancienne est d’environ un an et demi, mais il y a assez peu de document. Il s’agit surtout de plan de construction. Comme supposé, vous êtes dans un bâtiment qui devait et sert de bureaux et de petit atelier. Le bâtiment de gauche est en effet un entrepôt mais aussi le réfectoire, vestiaire, cuisine… tout ce qui faut pour vivre tranquillement. Il y a même un dortoir, assez vaste pour que tout le monde puisse y dormir en prenant des tours.
Le dernier bâtiment selon les plans est un mystère. Il s’agit juste d’une boite de béton. Il y aura un trou dedans, comme si on voulait y mettre un parking souterrain mais sans plafond.
C’est quelques documents plus loin qui vous trouvez des éléments plus techniques. Des plans de réseaux, tuyaux et montages mécaniques montrent un ensemble compliqué de tube dont certains sortent du bâtiment avec comme indication Entrant et Sortant, parfois l’indication de chaud, froid, échangeur thermique. Une annotation indique plusieurs turbines.
Jusqu’à présent, les titres et cartouches des documents ne sont pas clairs et ni explicites.
Dans un autre classeur, marqué d’un tampon rouge ANNULE, vous découvrez les plans d’une machine complexe, servant manifestement à gérer des flux de chaleur. En revanche, il y a un symbole et un nom qui apparait pour la première fois et que vous pouvez reconnaitre sans difficulté.
MISTRAL.
Chaque document de ce dossier mentionne Mistral.
Des éléments de comptabilité parle d’apport financier, pour la construction et le démarrage de la base, de Mistral, puis d’individus privés clairement reconnu comme appartenant au groupe terroriste. D’importants capitaux ont été injectés dans cette immense structures dont vous ignorez encore l’utilité.
Plus loin, dans le temps, les classeurs s’épaississent. Depuis octobre, plusieurs classeurs sont nécessaires pour contenir toutes les informations mensuelles et les classeurs sont clairement séparés en thématique : comptabilité, intendance, personnel, production, recherche, matériel, communication.
Pas le temps d’approfondir avant que des bruits de voix se fassent entendre dans le couloir.
Akiza, alors que tu fais le guet dans le couloir, tu vois les deux personnes, un homme et une femme, qui prenaient leur café remonter à leur bureau et monter l’escalier. Elles t’aperçoivent et te saluent de la tête avant de te passer devant.
Puis l’homme s’arrête et revient sur ses pas.
Tout va bien ? Vous cherchez quelque chose ? On peut vous aider ?
La jeune femme le rejoint et fronce les sourcils.
Je ne vous connais pas. Tu la connais ? Vous êtes nouvelle ici ? Dans quelle équipe êtes-vous ?
L’homme prend un air méfiant et te dévisage, sa main glisse doucement vers sa poche.
MAIS…
Passons au second groupe.
Damien, Arya, il n’y a aucun signe d’Edgard. Impossible de savoir s’il a vu que vous avez été interpelés. En revanche, le personnel ne semble pas l’avoir remarqué. Il vous emmène dehors et quand la porte se reforme, vos oreilles bourdonnent encore du tumulte intérieur. La femme vous regarde avec un air sévère et derrière vous, les deux autres employés n’ont pas l’air satisfait non plus. Elle vous demande des explications et Damien, tu remplis les vides. Son expression passe du mécontentement à la colère. Vous craignez un bref moment pour votre vie et les deux hommes derrière bouge. Vous ne le voyez pas, mais ils sont très mal à l’aise d’un coup.
La jeune femme porte la main à sa ceinture où sont accrochées des Pokéballs, mais elle attrape un Talkie-Walkie à la place et vous foudroie du regard. Elle va certainement appeler la sécurité. Vous avez été découvert. Votre infiltration est un échec.
Un grand brun et bourru, hein. Il va m’entendre. C’est encore un coup de Philippe. Lance-t-elle à ses deux collègues. Il va sérieusement falloir qu’on est tune discussion. Son comportement est inadmissible et c’est toujours pareil. Il n’est que conducteur de travaux, pas chef de service. Il n’a pas en envoyé les gens comme ça n’importe où, parce qu’il n’a pas le temps de les former. Et vous avez été embaucher quand ? ça aussi, va falloir arrêter. Parce qu’il embauche sans en parler, et après c’est nous qui gérons les nouveaux. Damien, amène-les aux vestiaires et file leur des EPI. Puis essaye de voir où est-ce qu’ils sont cessés être. C’est une centrale ici, pas un jardin public.
Un des hommes vous fait signe de le suivre vers le bâtiment de gauche, pendant que sa cheffe rumine encore.
Un léger tremblement de terre se fait ressentir, trop léger pour que vous puissiez le sentir, mais suffisamment fort pour faire tomber la neige de quelques arbres hors de la base.
Vous entrez dans l’entrepôt plein de vie puis dans un vestiaire. A cette heure il est vide et Damien ouvre une armoire, sortant un casque, une paire de chaussure et une veste haute visibilité pour chacun de vous.
Du côté de ta Fantyrm, elle rrive à trouver Edgard qui se faufile entre les turbines et les tuyaux, étudiant les éléments. Modération Le groupe bureau découvre que le bâtiment est très récent. Il aurait été construit avec le soutien financier de Mistral. Des plans d’une autre machine (ceux qui ont fait l’évent du volcan et participer à l’arrêt de la machine de froid, la reconnaitront) ont été trouvé, mais classés comme annulés.
Les deux personnes en pause retournent à leur bureau et interroge Akiza avant que les deux autres ne puissent fouiller dans des documents plus récents.
Le mensonge de Damien marche parfaitement et lui et Arya sont escortés jusqu’au vestiaire, pendant que la cheffe contacte le grand brun et bourru responsable de cette méprise.
Edgard s’est introduit dans le bâtiment mystérieux.
Les mains dans ses poches, désormais seule après avoir laissé les deux autres jouer le rôle d’enquêteur, de détective que la Rose déteste tant à cause de son passif avec son paternel qui travaille dans ce domaine, la Pléiade décide au final de ne pas se rendre à la salle de repos pour prendre un café, comme elle l’avait précisé. Étant donné qu’elle n’est pas une employée, que son visage est tout à fait inconnu, il vaut mieux ne pas trop jouer au feu. Alors, dans le silence, Kyoko attend. De manière patiente bien que son palpitant tambourine d’une grande inquiétude sur cette situation. Elle regrette une nouvelle fois d’être venue. D’avoir accepté de rejoindre ce groupe. Jamais ô grand jamais la chanteuse pensait se retrouver dans une telle situation. Ses mains à l’intérieur de ses poches sont toutes moites, transpirantes, car elle est stressée et surtout affreusement effrayée. Avalant difficilement sa salive ce qui provoque un léger bruit gênant, la jeune femme dépose pendant un moment son regard sur la Pokéball de sa Dracaufeu qui est accrochée à sa ceinture, comme-ci l’objet représentait un banal porte-clé. Si jamais le grabuge survient, sa dragonne va devoir se battre… Si jamais elle est blessée…Akiza ne pourra plus se regarder dans un miroir, elle aurait bien trop honte. Les combats Pokémon, les arènes, les défis, la Ligue Pokémon, ce sont des choses que la demoiselle ne digère pas du tout…
L’audition délicate de la musicienne l’avertit que des pas se rapprochent de sa position. À cet instant, son corps se paralyse à la manière d’une Cage-Eclair provoquée par un Pikachu ou un Dynavolt. Plus la distance se réduit et plus la jeune femme se met à trembler de frayeur. Fermant ses paupières, se mettant un instant dos aux individus qui sont un homme et une femme, elle inspire grandement puis expire dans un silence légendaire. Son rythme cardiaque se réduit, un tantinet et la Rose arrive à reprendre ses moyens. Tout va bien. C’est comme dans un concert. C’est pareil que dans un plateau de tournage. Elle se regarde un moment sous le reflet de la vitre puis prend son courage à deux mains pour faire face au danger. D’un regard innocent, d’un sourire chaleureux, Akiza hoche la tête aux deux employés pour répondre à la salutation très formelle.
S’ils tiennent un café à la main, que leurs directions sont en commun orienté à l’étage alors mieux vaut ne pas dire d’âneries en leur présence. Ils bossent dans les bureaux à cause de leurs tenues légères, un peu chics, bref pas des employés de seconde zone. L’un des deux s’est plaint tout à l’heure de l’architecture de la porte d’entrée se trouvant près de la salle de repos. Était-ce la femme ou l’homme ? Peu importe, sa boîte musicale refuse de donner une mélodie à ce sujet. Dans tous les cas, la situation devient très compliquée lorsque ces derniers débutent leur ascension dans les escaliers. Aki serre fortement ses poings dans ses poches, ne sachant quoi dire pour tenter de les ralentir, de les stopper avant qu’ils découvrent Sasha et Ethan. Au final, l’homme finit par s’arrêter ce qui fait hausser les sourcils de la chanteuse. Oh ? A-t-il oublié quelque chose ?
Une question, puis une deuxième et enfin une troisième provenant de l’homme sont adressées à la chanteuse qui se rapproche d’elle. Son palpitant rate un battement puis un deuxième par la suite au moment où l’autre femme renchérit après son collègue. Oulà, le petit doigt d’Aki se dit que c’est sûrement la dame agacée qui s’est plaint du courant d’air de tout à l’heure. Aux finales six questions et une affirmation contre la coordinatrice. Subitement, en lisant la méfiance de l’homme par l’expression de son visage puis de sa main qui se glisse vers l’une de ses poches, une très mauvaise sensation électrocute Akiza Kyoko.
« Je… » elle se coupe dans le début de sa phrase lorsque Kyoko fait tomber par mégarde (ou pas) son gant de sa poche au moment où la chanteuse retire ses mains de la couverture de son manteau. De son action, de ce fait, la demoiselle se baisse et fait tomber ses lunettes de repos. L’homme est méfiant ? Autant la retirer en jouant le rôle d’une maladroite qui ne fera pas de mal à une mouche. Kyoko tâtonne alors le sol pendant quelques secondes tout en riant nerveusement de sa petite boulette. « Je suis désolée…mes lorgnons et moi ça fait deux. Grr…je vais encore devoir aller chez l’opticien pour resserrer ses fichues montures… »
Se redressant, toujours avec un sourire chaleureux. Akiza Kyoko renfile ses lunettes contre son nez puis rejoint ses mains sous forme de prière. « Non. On ne se connaît pas. » répond tout enthousiaste la petite actrice qui fige un instant son regard bleu océan sur celui de la femme puis sur celui de l’homme. « En vérité, je commence mon premier jour dans cet endroit, je suis nouvelle et aussi perdue... » ment Kyoko en tentant de n’émettre aucune boulette dans l’intonation de sa voix pour éviter de trahir sa mélodie. Être chanteuse à un point fort, la demoiselle arrive à contrôler au mieux les muscles de ses cordes vocales. « Comment vous dire que… » elle fixe désespérément sa montre puis dévoile cette désespérément la petite horloge sur son poignet aux deux inconnus. « On m’a dit au dernier moment que je devais me présenter ici, à cette heure, pour commencer mon travail. J’ai fait au mieux pour ne pas être en retard. » Soupirant désespérément, elle pointe le secrétariat ou se trouve un secrétaire visiblement énervé depuis tout à l’heure. « J’ai n’ai pas voulu le déranger…monsieur semble assez en colère depuis tout à l’heure… »
Se souvenant des autres questions qui doivent être répondues, Akiza croise ses bras, remonte ses lunettes par l’intermédiaire de son index et sourit beaucoup plus, comme-ci ses prochaines paroles allaient venir du fond de son cœur. « Je suis de renfort pour l’équipe informatique. Et vous ? Vous travaillez aussi dans ce domaine ? » demande la Pléiade en montant un peu plus l’intonation de sa voix pour prévenir à ses collègues en haut…qu’y a du monde. Bien entendu, ils entendront une Akiza tout heureuse de pouvoir débuter son job. En espérant que ça marche…
Résumé:
Jouant la comédie, Aki décide de mentir par ses jeux d'acteur en tant que nouvelle employée devant bosser dans le service informatique en renfort. Elle joue une demoiselle maladroite et assez contente de pouvoir parler à l'homme et à la femme. Elle tente de ne montrer aucun signe suspect sur son rôle de guet. De ses dernières paroles, elle hausse un peu la voix de façon enjouée, très passionnée en parlant de l'équipe informatique afin d'avertir Sasha et Ethan que y'a des petits ennuis...
Le fait d'être entré à l'intérieur réchauffe l'atmosphère, et l'odeur de café qui emplie tes narines te fait légèrement grimacer. Tu n'en bois pas, tu préfères le chocolat chaud. Si ce n'était pas du fait que vous étiez, de base, non-invités dans le bâtiment, tu serais probablement tenté par l'idée de t'asseoir un petit cinq minutes et boire un petit breuvage chaud, réconfortant, comme tu le fais souvent au refuge depuis ton congé de maladie. De toute façon, tu as déjà proposé aux deux autres ce que tu croyais être plus logique est ça semble faire consensus. Bien, de toute façon, tu ne crois pas que vous ayez beaucoup de temps pour défendre chacun votre point et votre opinion sur où, quoi, et comment. Devant l'évidence que vous allez vous diriger à l'étage, tu hoches la tête et tu approches du couloir où se trouve l'escalier avant d'entendre Akiza dire qu'elle ferait le guet. Tu lances un regard en sa direction, puis vers Sasha avant d'hausser les épaules. Tu n'allais pas t'interposer, et puis, il fallait bien que quelqu'un se sacrifie à la tâche moins trépidante, mais pourtant très importante. C'est pourquoi tu réponds :
« Moi ça me convient, fais-nous savoir si quelqu'un approche, et si tu n'arrives pas à les stopper de monter, nous tenterons de faire diversion »
Tu regardes Sasha, te disant que cette dernière avait sûrement un Pokémon qui saurait aider si la diversion allait être une option. Silencieusement, tu commences à monter et à regarder les quelques pièces qui sont à l'étage. Celle qui attire ton attention possède plusieurs classeurs et boîtes qui semblent classées par dates et différents titres.
« Bingo. »
Murmures-tu avant d'entrer dans la salle et de prendre une boîte au hasard pour commencer à fouiller. Plus que tu fouilles, moins que tu sembles trouver de choses intéressantes. Des factures, des échéanciers, quelques plans peu clairs de machines et inventions que tu ne reconnais pas… bref, tu as l'impression que fouiller les boîtes n'est pas la meilleure des options. C'est pourquoi tu décide de te retourner vers le classeur qui sera peut-être un peu plus prometteur. Si tu suis la logique de ton classeur à toi, tout y est organisé de façon logique, que ce soit par date, ou par sujet et catégorie de document. Un bâtiment comme celui-là doit forcément avoir une personne qui s'occupe d'archiver tout ça d'une manière structurée. Tu es plutôt habitué de voir des bases de données plutôt que pleins de papier de la sorte, mais en même temps… comment serait-il possible d'avoir un réseau puissant dans un lieu aussi reculé dans une forêt désormais vide de toute vie ? Logique que tout soit fait papier. Alors que Sasha semble regarder aussi, tes yeux passent au-dessus de ce mot. Le mot que tu aurais préféré ne pas rencontrer en cet endroit. Celui de Mistral. Tes mains saisissent rapidement le document, et les quelques autres qui les suit pour pouvoir en voir plus. Tu ne sais pas ce que tout ces dessins et mots sont supposés représenter mais ça n'augure rien de bon.
« Je crois que… nous sommes dans une unité de production pour Mistral. En d'autres mots, je pense que nous devrions foutre le camp bien- »
Des voix se font entendre en bas du couloir, et tu fermes silencieusement le classeur, foutant quelques portes documents avec les plans de Mistral dessus dans ton manteau ainsi que le plan qui semblait représenter le bâtiment, avec un dortoir… enfin, tout ce qui te semble utile, et qui ne paraîtra pas sous cette couche de plusieurs vêtements. Tu saisis la balle de Belzébuth puis le sort silencieusement de cette dernière. Il te regarde en poussant un grognement, les bras croisé et tu roules des yeux, te tournant vers Sasha.
« Si Akiza n'arrive pas à les faire redescendre… on pourrait essayer de faire diversion avec nos Pokémon le temps que l'on arrive à sortir. »
Tu avais murmuré très bassement pour ne pas être entendu, prêt à réagir le cas échéant. Tu es stressé, et les battements de ton cœur se font plus rapide… mais tu sauras te battre si le besoin se présente. Si Sasha à d'autre idées pour vous sauver la mise… tu ne diras pas non.
Résumé
Ethan laisse Akiza faire le guet.
Il monte à l'étage avec Sasha pour fouiller les archives.
Il fouille les portes documents avec Mistral dessus
Il prend le plus de document possible dans son manteau et replace rapidement.
Il prépare Belzébuth si ils ont besoin de faire diversion
(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
Sasha Brown
Dresseur·euse Nova
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Ton coeur bat trop fort. Tu as l'impression que tout le monde va vous entendre alors que vous montez l'escalier jusqu'au bureau tout en haut. Tu as peur et es toute excitée à la fois. Lorsqu'Akiza propose de faire le guet, tu es soulagée. Ce n'est tellement pas quelque chose qui serait dans tes cordes. Bien trop maladroite pour ça! Tu hoches donc la tête avant de suivre Ethan à l'intérieur du bureau. Là, tout comme lui, tu commences à fouiller dans les tiroirs et les classeurs. C'est un peu du chinois pour toi, tout ce qui est écrit à l'intérieur. Bon. Tu comprends qu'il s'agit de Mistral, le fameux groupe contre lequel votre guide et tes compagnons se sont insurgés plus tôt. Mais c'est tout. Autant pour ton "ce sont peut-être des gens biens" de tout à l'heure.
Tu redresses la tête lorsqu'Ethan commence à parler avant de s'interrompre, Akiza ayant été repérée d'après les voix que vous entendez. Oh merde... songes-tu. Tu paniques, attrapes le classeur contenant les plans d'un truc très complexe. Quelqu'un d'autre saura déchiffrer ça. Votre guide, par exemple. Pour le dissimuler, Elladora se trouvant dans ton sac à dos, tu fais sortir Easter de ton anorak et y glisse le classeur alors qu'Ethan a fait sortir son pokemon de sa pokeball. Toi, tu tiens ton togepi dans tes mains, à présent, alors que la petite Evoli reste bien blottie dans ton sac à dos.
"Mes pokemon ne se sont jamais battus..." souffles-tu au jeune homme. Mais c'est visiblement quelque chose qui ne va pas durer.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
résumé:
Sasha a peur, mais elle imite Ethan et fouille le bureau. Dans la panique, elle prend le classeur avec les plans de la machine compliquée avant de dire à Ethan qu'elle et ses pokemon n'ont jamais affronté personne.
Damien Delaunay
Dresseur Nova, Champion d'Arène & Administrateur
Messages : 1289 Née le : 29/12/2002 Age : 21 Région : Hoenn Pokédollars : 763 Stardust : 4132 Stardust utilisés : 3405 Equipe pokemon : Aventure
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Etincelle de colère dans les yeux de la jeune femme, et sa main se pose sur un talkie-walkie qu'elle porte à sa bouche, dans un geste qui m'apparaît tout à la fois si lent que je vois notre heure arriver, et si rapide que je n'ai pas le temps de réfléchir à la moindre parade que… « Un grand brun et bourru, hein. Il va m’entendre. C’est encore un coup de Philippe. » Elle poursuit, mais moi, je n'entends plus rien d'autre que les battements de mon cœur jusque dans mes tympans. Ça a fonctionné. Ça a vraiment fonctionné ? Je cherche dans les yeux d'Arya à mes côtés, une réponse à ces questions que je ne peux pas formuler. Je n'ose pas signer, je n'ose plus même respirer. Ça a vraiment fonctionné ? « Et vous avez été embaucher quand ? » Je cligne des yeux et reporte mon attention sur elle, un rire nerveux au bord des lèvres. « Y'a p... » Phrase à tout jamais inachevée, elle poursuit et c'est mon prénom qu'elle prononce – mon souffle se coupe une nouvelle fois, et puis je comprends que ce n'est pas à moi qu'elle s'adresse, mais à l'un des types qui l'accompagnent, et à qui l'on s'apprête à emboîter le pas.
Et puis… Et puis un mot, un seul. Centrale. Deux syllabes qui m'immobilisent malgré moi – un frisson remonte le long de mon échine, mon regard se perd dans le vague et, sur l'immaculé de la neige, je revois se dessiner les images d'un écran sur lequel clignotaient des lettres d'un rouge vif. Prêtes à nous condamner. Comme on s'est arrêtés pour m'observer, suspicion dans les yeux, je balaie les questions d'un revers de la main (tremblante), en pressant le pas pour qu'on ne perde pas plus de temps. J'ignore combien il nous en reste – parce que si cette femme contacte ce fameux Philippe, je ne paie pas cher de nos peaux. J'ignore où on est – je ne sais pas même si Edgard a la moindre idée du fait qu'on n'est plus là-bas à l'attendre. Je ne peux rien faire d'autre que jouer le jeu, et espérer que Prisme se fasse comprendre – prier pour qu'il n'arrive rien. Au pire des cas, on finira au commissariat le plus proche pour avoir pénétré sur un chantier interdit au public, right ?
Avant que je m'en rende compte, on nous a refourgué l'accoutrement du parfait petit employé de l'endroit, que j'enfile sans broncher, après avoir remercié mon homonyme d'un « Merci » discret ponctué d'un sourire gêné. Je suis occupé à lacer mes chaussures (adieu, probablement, mes vieilles chaussures de marche héritées de papa, c'était pour la bonne cause) que j'en profite pour poursuivre mon rôle – glaner toutes les infos possibles tant qu'il en est encore temps. « Ouais, du coup, j'ai pas pu répondre tout à l'heure, mais on vient juste d'être affectés ici, genre y'a pas quarante-huit heures j'dirais ? Du coup, fin… On a eu le p'tit topo avant d'arriver, mais on nous a dit que vous seriez plus à même de nous former qu'eux qui connaissent mieux la paperasse que le terrain, quoi. » Je hausse les épaules, profitant de l'excuse de mes lacets pour baisser la tête et reprendre une inspiration. « Du coup, c'est quoi le boulot, concrètement ? Pas trop répétitif, j'espère, j'leur ai déjà dit que la routine c'était pas mon délire. » J'allais finir par prendre goût à jouer avec le feu.
(De son côté, Prisme avait fini par mettre la patte sur Edgard. Littéralement. Sa petite patte toute froide s'en été allée se coller contre la joue de l'homme de main d'Hestia pour attirer son attention. Virevoltant en tous sens, elle avait tenté de lui faire comprendre, d'une façon ou d'une autre, que quelque chose ne tournait pas rond, effectuant des esquisses d'allers-retours entre lui et les escaliers. Sans doute aurait-elle bien aimé savoir parler l'humain.)
résumé | Damien phase violemment quand il entend le mot "centrale", c'est son syndrome de stress post-traumatique qui le secoue. Il essaie de donner le change malgré son angoisse, ses mains qui tremblent et sa gorge nouée. Il se doute que leur temps est compté, parce qu'ils vont bien finir par comprendre la supercherie, mais il essaie de se rassurer comme il peut en se disant qu'ils ne risquent, au pire, rien de plus qu'un petit tour au commissariat. Il s'équipe avec le matériel fourni par son homonyme, et en profite pour l'interroger sur le travail à fournir dans l'espoir d'en apprendre le plus possible sur l'endroit. Fantyrm, pendant ce temps, essaie de faire comprendre à l'Edgard retrouvé que quelque chose cloche du côté des garçons.
And sometimes, I feel like I'm broken inside and it hurts so bad
Le silence de la forêt.
Comme la dernière fois ; je poste avec l'autorisation de Capucine mon résumé et tenterait de remettre au propre les choses bientôt
résumé:
-Arya est inquiet par la situation ; il préfère se terrer dans son mutisme et rester derrière Damien, les yeux à l'affût, pendant que celui-ci continue de s'occuper de la discussion avec la dame et les deux hommes -Il est profondément étonné que la supercherie marche, bien qu'il sache que ce n'est qu'une question de temps (il répond à Damien par un hochement de tête et un faible sourire, même s'il est pas très rassuré intérieurement) -Il bug un peu en entendant la mention du mot de Damien, lui adressant un regard confus avant de comprendre qu'il s'agit d'un des hommes accompagnant la femme, et non pas d'une désignation envers le Damien qui l'accompagne -Il s'équipe avec le matériel fourni même s'il galère un peu à l'enfiler -Des questions lui brûlent les lèvres depuis que la femme a fait mention d'une centrale ; comptant sur Damien, il va oser prendre la parole avec une assurance feintée et signer rapidement, espérant que même s'ils comprennent ils ne soient pas assez loquaces pour comprendre ses gestes (et Damien est habitué à la rapidité des signes d'Arya) -Il va prononcer très exactement ces mots ; "Je suis muet, j'espère que ça pose pas de problèmes." puis "Si je puis me permettre, pourquoi avoir choisi d'installer cette centrale en plein milieu de la forêt ? Ça doit être pénible pour l'accès... On a pas été briefés sur grand chose à l'arrivée, mis à part le topo général comme il l'a dit. Et ça empiète pas trop sur l'écosystème, que ça soit situé ici ?" -Arya est définitivement trop curieux et Damien a tout a fait le droit de modifier ses propos
Ft. Groupe F
-Arya signe en italique -Arya écrit en gras -Arya pense entre « »
Les deux ingénieurs sont perplexes. Devant le temps que tu prends pour leur répondre, la femme s’agace encore un peu plus et l’homme fronce les sourcils. Ton histoire de lunettes ne les intéresse pas, et donne l’impression que tu veux gagner du temps parce que tu n’as rien à faire ici. Ce qui est le cas, n’oublions pas.
La suite de ton excuse n’a pas l’air de les convaincre plus. Ils se regardent puis regarde vers le bureau du secrétaire, toujours occupé à crier au téléphone sur un fournisseur en retard.
Quant à ton dernier mensonge, il chasse la perplexité de leur trait pour une expression de méfiance et de colère. Ça se voit qu’ils savent que tu mens et leur réaction ne va pas se faire attendre. Cela va barder pour ton grade.
Mais des bruits dehors viennent troubler tes interlocuteurs, on se met à hurler dehors, et un branle-bas se fait sentir. Des frissons te remontent le dos alors que la tension devient palpable et l’odeur du stress t’arrive aux narines.
Les lumières ont des chutes de tensions et oscillent en intensité. Une sonnerie se déclenche dans le bâtiment.
Ethan, alors que tu charges des documents dans tes poches, une feuille s’échappe, et atterrit au sol, devant toi. Tu y vois l’entête de la ville de Feranium. Cette lettre est adressée au directeur de l’endroit et dit ceci.
Monsieur le Directeur,
Le conseil municipal et moi-même tenons à vous remercier pour le secours que votre centrale à apporter à la ville et sa région. Grâce à vos efforts et à ceux de vos équipes, la panne électrique générale causée par la destruction de la Centrale de Voltapolis a pu rapidement réparer. L’apport en énergie permanent issu de vos recherches offre à nos concitoyens un confort et une sécurité pérennes. De plus, votre transparence et votre honnêteté font de votre collaboration un appui sur lequel la ville peut compter pour son développement.
Dans l’attente de voir votre site achevé, veuillez agréer ma considération distinguée.
C’est après cette lecture que tu te mets en place, attendant la réaction des ingénieurs aux mensonges d’Akiza. Mais le vent de panique à l’extérieur se fait alors sentir, même pour toi et Sasha.
Les lumières ont des chutes de tensions et oscillent en intensité. Une sonnerie se déclenche dans le bâtiment.
Damien et Arya, le temps de vous équiper est assez rapide. Mais vous n’avez pas vraiment le temps d’avoir des réponses. Damien, l’étranger, n’a pas réagit à ce que Damien lui dit. Il a plutôt l’air pressé de partir pour reprendre son poste.
Alors qu’Arya signe, un Ursaring apparait dans l’encadrement de la porte. La surprise passée, vous découvrez qu’il s’agit en réalité d’un grand brun et bourru. Le regard de l’homme est inflammé de colère.
Qu’est-ce que c’est que c’est histoire de nouvelles recrues que j’aurai recruté et envoyé balader. Il vous toise du regard et parle à l’autre Damien. Je peux t’assurer que des artistes comme ça, je m’en souviendrai et que je les aurai pas pris. Je ne sais pas ce qu’ils font ici, mais ils n’ont rien à y faire.
Sa voix sonne comme un moteur de tracteur. Il finit à peine de parler que la cheffe de tout à l’heure apparait derrière lui, avec deux agents de sécurité, un arcanin, un Lougaroc diurne, un Voltali et un Feunard d’Alola. Ils ne sont pas là pour vous faire des câlins.
Une sonnerie se déclenche dans le bâtiment.
Tout le monde tourne la tête vers l’extérieur, en direction du bâtiment de droite, celui où règne le grand bruit.
Vous deux, vous vous occupez de ces intrus. Crie la femme, avant de se mettre courir vers bâtiment, suivi de Damien, Philippe, et de cinq ou six autres techniciens.
La centrale se met à fourmiller alors que la sonnerie continue de résonner.
Sabotage est l’un des mots qui vous vient aux oreilles dans les cris des techniciens qui se préparent. Il n’y a aucune raison que ça disjoncte ou encore il y a quatre redondances, ça ne peut pas être ça vous parviennent aussi aux oreilles. Mais vous avez d’autres chats à fouetter, car les deux agents de sécurité sont bien décidés à vous mettre dehors, et certainement pas en demandant poliment.
Du côté de la Fantyrm, Edgard, en la sentant, la chasse brutalement. Il a trouvé une grosse clé et a entrepris de dévisser plusieurs boulons, à différents tuyaux. C’est alors que la pression à forcer les jonctions affaiblies entre les tronçons et de l’eau bouillante s’est mise à fuiter en jet de haute-pression. Malgré le bruit de turbine, le bang provoquait par la rupture d’un tuyau à résonner dans le bâtiment.
Modération Le mensonge d’Akiza ne fonctionne pas. Sans alerte, elle aurait pu apprendre qu’il n’y a pas de service informatique dans ce lieu et que le secrétaire avec certainement autre chose à faire s’occuper du recrutement. Mais la sonnerie d’alarme et la chute de tension a été autrement plus urgente.
Ethan trouve une lettre du maire de Ferranium destinée au directeur des lieux et Sasha n’aura pas à se battre pour l’instant.
Contrairement à Damien et Arya, qui vont certainement avoir plusieurs bleus dans le meilleur des cas.
Mais une panique contrôlée règne dans les lieux, peut-être pourrait-elle jouer en votre faveur.
Que faire ?
Bon courage.
Sasha Brown
Dresseur·euse Nova
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Tu as peur qu'Akiza ne puisse pas les retenir. Vous les entendez, trop proches à ton goût. Tu regardes Ethan, angoissée. Ils n'ont pas l'air de la croire. Vont-ils venir sur vous? Tu ne l'espères pas. Tu espères vraiment qu'ils ne vont pas approcher. Les bêtements de ton coeur s'accélèrent. Tu n'as pas envie qu'il arrive quelque chose à Akiza, même si tu ne la connaissais pas avant cette expédition. Tu te rapproches d'Ethan, qui semble avoir trouvé quelque chose d'intéressant, en prenant garde à ne rien renverser pour ne pas faire de bruit. Il ne manquerait plus que ça! Votre position est assez vacillante ainsi.
"Il faut qu'on aide Akiza." murmures-tu au jeune homme avant même de lui demander: "Tu as trouvé quoi?"
A ce même instant, les lumières commencent à osciller, à être erratiques. Il se passe quelque chose de pas très net, clairement. Ta main agrippe le poignet d'Ethan.
"Il faut partir d'ici. Je crois qu'il y a un problème." lui glisses-tu.
Clairement, il faut récupérer Akiza et partir d'ici d'une façon ou d'une autre. D'autant qu'Edgar et les garçons sont quelque part dehors. Tu n'es pas tranquille, Sasha, d'être ainsi séparés les uns des autres. Mais pour pouvoir sortir, il vous faut une diversion. Sinon, ceux qui sont avec Akiza vont vite comprendre que vous n'avez rien à faire là, que vous êtes des intrus et que vous fouillez dans ce qui ne vous regarde pas.
Et puis l'alarme. Sans Easter dans tes bras, tu aurais clairement porté tes mains à tes oreilles. Mais tu sens le petit pokemon s'agiter - de même qu'Elladora dans ton sac à dos - et tu crains que le Togepi ne lance une attaque pour manifester la souffrance de ses oreilles et sa peur, aussi.
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Sasha a peur pour Akiza. Elle se rapproche d'Ethan, lui disant d'abord qu'il faut aider Akiza avant de lui demander ce qu'il a trouvé. Son empressement à partir redouble avec les lumières qui fluctuent. Elle songe qu'il faut une diversion lorsque l'alarme retentit et s'attend au pire. Elle veut sortir de là et retrouver les autres.
Damien Delaunay
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Aucune réponse – mon homonyme paraît plus intéressé par l'idée de retourner à son poste que celle de répondre à nos questions. Impossible de lui décrocher la moindre information – il ne s'avère pas des plus coopératifs. Je jette un regard en biais en direction d'Arya, peu serein quant à la suite. Je n'aurais de toute façon pas le loisir de m'interroger sur l'avenir plus de quelques minutes puisqu'avant même qu'on ait eu le temps de quitter le vestiaire, des ombres se dessinent dans l'entrée, et je comprends avant même que le grand brun à l'air bourru n'ait prononcé le moindre mot que c'en est fini de notre couverture.
Je me redresse, main portée à l'instinct à ma taille où se trouvent mes Pokéballs tandis que s'alignent en face de nous une armée de créatures à l'air hostile. Mais, avant que le moindre des ordres ait pu être lancé, une alarme tonitruante résonne depuis l'extérieur et fait lever le nez à tous les présents – moi compris. Les sourcils froncés et le cœur en chamade folle, je m'interroge brusquement sur la situation des autres. Ethan, Sasha et Akiza ; ou même Edgard. Est-ce que tout va bien de leur côté ?
Capharnaüm d'ordres et de cris – s'en vont les autres et nous abandonnent à deux hommes et à leur petite armée. Le plus succinctement possible, je signe à l'attention d'Arya. « Ferme les yeux, après tu cours. » Je n'hésiterai pas – je n'hésiterai plus. C'est la promesse que je me suis faite, le jour où j'ai réalisé que j'avais survécu à la menace d'implosion d'une centrale. La promesse que j'ai répétée, encore et encore, quand j'ai vu les autres avancer, alors que moi je demeurais immobile et terrifié. Qu'importe ce qu'il m'en coûte à partir d'aujourd'hui – je répondrais au chaos par le chaos.
Roulent au bord de mes doigts deux Pokéballs qui libèrent des camarades qui, s'en avoir tout à fait fini de se matérialiser dans l'espace, répondent déjà à mes ordres. « Ombrage, désoriente-les ! » Ondes Folies et Rafales Psy à la chaîne et de toutes parts en direction des adversaires – son rire est glaçant ; la menace des adversaires ne l'atteint pas. « Zeph, les casiers ! » Une fraction de secondes avant qu'il comprenne et, déjà, l'air se charge en électricité. Brusquement, je repousse Arya loin des cases en ferraille où se heurte un coup de tonnerre presque aussi assourdissant qu'aveuglant – même les yeux fermés, le flash était éblouissant, fulgurant. La main fermement saisie d'Arya entre mes doigts, je m'élance sans plus réfléchir, Zephiriel sur les talons et Ombrage dans les airs qui, elle, n'en a pas fini de tourmenter nos adversaires.
Le plan est simple : sortir du vestiaire, et courir, courir, et… et retrouver Edgard, où qu'il soit, et puis les autres. Parce qu'on a dit qu'on laisserait personne derrière.
résumé | Oopsie le pot-aux-roses est découvert, what a surprise lmao
Du coup Damien improvise un plan à la va-vite : - Ombrage [Magirêve lv52] est chargée de désorienter Pokémon & dresseurs adverses à coup d'Ondes Folie et de Rafales Psy balancées de parts et d'autres dans leur direction - Zephiriel [Luxray lv50] lance un Tonnerre sur les casiers métalliques pour provoquer un flash puissant dans l'espoir d'aveugler dresseurs & Pokémon
Il a fermé les yeux et demandé à Arya de faire de même (en langue des signes) puis, le flash passé, il l'attrape et court pour sortir du vestiaire
Si c'est un succès, il tâchera de rejoindre Edgard en suivant le flair de Luxray (qui suivra la piste de la Fantyrm qu'il connaît, vu qu'il connaît son odeur mais pas celle d'Edgar)
Fantyrm, elle, ne fait rien d'autre que suivre Edgard sans plus l'ennuyer vu qu'elle s'est faite envoyer bouler :c
Plus le temps avançait, plus la situation semblaient désespérée. Tu étais pris à l'étage avec une femme que tu connais à peine et tu ne peux pas descendre pour le moment, à risque de vous faire remarquer. Après avoir entendu le bluff d'Akiza au rez-de-chaussée, tu avais espéré que ce serait avalé, et que la distraction soit suffisante pour vous permettre de descendre en toute tranquillité avec un minimum de possibilité de combat. En te dépêchant à sortir Belzébuth de sa Pokéball, ton regard rencontre une feuille qui semble être tombée des différentes filières désormais cachées dans ton manteau, que tu t'empresses de ramasser. Alors que tu t'apprêtes à la plier grossièrement dans le simple but de la remettre avec les autres documents, tu remarques le titre qui te laisse comprendre qu'il serait judicieux de le lire avant tout pour en savoir plus sur les intentions de cette mystérieuse « base secrète », nom de ton cru que tu apprécies particulièrement. Une lecture rapide et brève te fait savoir que cet endroit aussi reclus et perdu dans la forêt utilise une technologie qui t'es toujours inconnue pour fournir Ferranium en électricité. Est-ce que ça a un lien avec la disparition des Pokémon dans les environs ? Tu n'as pas trop le temps d'y penser car Sasha t'interpelle, et puis tu hoches la tête. Dans aucun cas tu laisserais quelqu'un qui est arrivé avec toi dans cet endroit qui possède encore beaucoup trop de secret, et qui n'a toujours pas fait savoir son innocence sur le phénomène de migration de la faune. Quand Sasha te demande ce que tu as trouvé, tu lui tends rapidement la lettre, écoutant d'une oreille ce qui était dit à l'étage du dessous alors que tu résumes rapidement en chuchotant :
« Une lettre du maire de Ferranium… il semblerait que cet endroit utilise une technologie particulière pour fournir en électricité la ville. J'espère juste que ce n'est pas de l'énergie tirée par les Pokémons de la forêt. C'est on jamais ce que ces recherches cachent. Dans tous les cas… je pense qu'il serait plus prudent d'éviter la confrontation, et essayer de fuir. »
Rare sont les moments ou fuir te semble être une bonne solution, mais tu es dans une situation ou tu n'as aucune idée de ce qui t'attends. Probablement que les Pokémons ici sont des Pokémons entraînés à la défense de cette centrale. Et s'ils sont plusieurs, serez vous capable tous les trois de vous défendre contre ces gens ? Il faut essayer de faire distraction, c'est la première chose qui te vient en tête. Le poignet de Sasha sur toi te rassures une fois qu'il semblerait que ta prière ait été entendue quand les lumières se sont mises à bouger, puis l'alarme a commencé à sonner. Tu aurais crû que tout ce grabuge aurait été suffisant pour faire partir les gens vers l'endroit en question mais tu entends toujours du bruit là où était Akiza. Bon, il faudra trouver autre chose, te dis-tu. Et tu dois essayer de trouver rapidement. Niveau équipe, tu as Belzébuth qui est le plus discret, puis Toshinori et Sparkle qui pourraient être pratiques avec leurs nombreuses capacités. Le but ? Rapidité à sortir du bâtiment et faire une distraction suffisante pour vous donner le temps de faire quelque chose. En voyant la panique du Togépi, tu trouves rapidement la solution.
« Sasha, assieds-toi sur Toshinori, vite. Et attache ton manteau, il va faire froid. »
Dis-tu , prenant de nouveau la lettre que tu caches avec le reste des documents, sortant ensuite la Pokéball du Lokhlass et laissant ce dernier sortir. Voyant la panique installée, il comprend rapidement qu'il a un rôle à jouer. Ton Dimoret s'avance dans les escaliers et il s'élance sur le lustre qui pend au-dessus de l'escalier avant de sauter à la prochaine lumière qu'il croise, utilisant Vive-Attaque pour se déplacer rapidement. Il commence son grabuge, passant ses griffes aiguisées contre le faux plafond et faisant tomber quelques parties des tuiles qui le compose pour faire diversion. Tu autres sur le dos de Toshinori, derrière Sasha avant de lancer.
« Maintenant, Tosh ! »
Travail d'équipe efficace, le Dimoret lance plusieurs Blizzard, refroidissant rapidement la température dans la pièce, et sans plus attendre, Toshinori lance un pistolet à O' qui gèle presque instantanément l'escalier, le rendant assez glissant. Tu serres ton manteau, les dents claquant quelques peu. La soudaines rafale de neige, couplée au vent, rend la visibilité plus difficile, ce qui peut jouer à votre avantage, mais aussi l'inverse. Toshinori se laisse donc glisser sur les paliers de l'escaliers, essayant tant bien que de mal d'éviter les murs et de se diriger rapidement vers la sortie. De justesse, tu réussi à attraper le bras d'Akiza et à l'attirer sur le dos de on Lokhlass avec toi. Les combinaisons pistolet à O' et Blizzard vous permette de vous arrêter à la porte par laquelle vous êtes entrés.
« Vite, nous n'avons pas beaucoup de temps. »
Tu dégaines rapidement ta Pokéball pour y faire entrer ton Lokhlass, et tente aussi d'en faire de même avec le Dimoret, qui est désormais en train d'essayer de faire tomber le lustre. S'y balançant de droite à gauche avec ses griffes autour du fil, ces dernières finissent par transpercer la paroi de caoutchouc et à passer à travers les micro-fil. Le lustre se détache de son embranchement électrique et vient s'écraser en plein centre de l'escalier dans un son assez fort. Quelques morceaux virevoltent ici et là.
« Bel, assez ! »
Dis-tu en réalisant que le Dimoret semblait plutôt dédier à foutre le bordel un peu partout. Un cri agacé se fait attendre alors que la neige et le vent commencent à se calmer, te laissant l'opportunité de quitter et de retourner à l'extérieur, suivit ensuite par le Belzébuth qui est toujours aussi énervé. Vous l'avez échappé belle… heureusement que tu as tenu les documents contre toi, sinon, tout ça aurait été inutile.
« Je suggère que l'on rejoigne les autres. »
Dis-tu en essayant d'approcher le bruit de l'alarme dans le seul but de t'éloigner du bâtiment administratif.
Si dans les films les mensonges sont une arme, dans la réalité ils ne sont d’aucune aide. Une tentative bien désespérée qui au final montre à la coordinatrice que sa carrière ne se tournera pas dans le cinéma. Non. Son rôle c’est de chanter du rock. Puis bon, la demoiselle n’est visiblement pas très douée pour mentir. C’est une des choses dont elle a horreur et quelle erreur d’avoir commis un tel acte. Une goutte de sueur froide perle le long de sa tempe. L’envie de sortir Alexstrasza est bien trop tentante. Seulement voilà. Il faut du temps pour agir. La Dracaufeu apparaîtra, c’est un fait mais les deux autres personnes auront le temps de rappliquer. C’est comme dans les films de Western. Le plus rapide gagne la partie. Serrant fortement sa mâchoire quitte à presque se mordre la langue, la Lady du Rock espère en tout cas que sa petite conversation avec les fauteurs de troubles aura un impact favorable pour ses deux coéquipiers en haut. Elle serait vraiment dégoûtée que ses compagnons n’aient pas eu le temps de trouver quoi que ce soit. Ce ne sera nullement de leur faute mais celle de la chanteuse qui n’a pas été à la hauteur de sa tâche.
Que faire ? Un éclair de Pichu pourrait être une petite solution. Seulement c’est aussi à double tranchant. Le bébé souris peut se blesser en usant de son attaque, lui qui contrôle pas vraiment son électricité à cause de son manque d’expérience. Sinon, les exercices de boxe enseignés par Innocent Larchen pourraient être utile ou bien ses cours de kendo avec sa mère (mais il lui manque un sabre en bambou pour ce domaine). Pliant légèrement ses genoux, fronçant ses sourcils, Akiza s’apprête à passer à l’offensif. Malheureusement une autre contrainte survient. Des bruits à l’extérieur retentissent, troublant ainsi les interlocuteurs de Kyoko. Un manque d’attention, une occasion pour riposter. Les lumières vacillent, manque de s’éteindre puis un éclair d’Anduin surgit dans la salle pour s’abattre sur l’homme et la femme qui auraient dû poursuivre leur attention sur la chanteuse. Malheureusement, comme le pensait Aki, la souris électrique s’électrocute en même temps à cause de ce stress aussi soudain, de cette situation vraiment pas ordinaire.
Récupérant l’être mis KO par son propre sort, la température du bâtiment qui venait déjà de se refroidir est désormais encore plus gelée lorsque les escaliers menant à Sasha et Ethan se transforment en toboggan de glace. À peine le temps de se soucier du secrétaire gueulard qui pourrait être un autre obstacle que la chanteuse est prise au bras par Ethan qui se trouve sur un Lokhlass. Montant sur le dos de l’être magnifique qui donne une grande envie à la coordinatrice d’avoir également ce genre de créature, elle déverrouille la Pokéball de sa Dracaufeu puis la dépose dans sa poche, de manière provisoire pour s’armer au cas où. « Merci infiniment ! » dit-elle à Ethan en lui souriant chaleureusement.
Désormais à l’extérieur, heureuse de plus entendre la sonnerie d’alerte du bâtiment qui donnait un son très désagréable et ridicule comparé à ses nombreux concerts de rock, Akiza tente de retrouver d’un regard rapide, mais surtout extrêmement stressé, le bâtiment où devait se diriger le second groupe. « Je suis d’accord. » répond dans l’immédiat la demoiselle après qu’Ethan souhaitait rejoindre les autres coéquipiers. « Ils sont peut-être encore dans le bâtiment… Si c’est le cas, y entrer sera peut-être facile mais en ressortir beaucoup moins… »
Résumé:
Profitant de la situation de l'alarme du bâtiment, du grabuge à l'extérieur, elle demande à son Pichu qui sera sortie de sa Pokéball (le bruit devrait de la Pokéball devrait être camouflé par l'alarme) d'envoyer une attaque éclair sur l'homme et la femme qui ont troublé ces derniers. Je prend en compte que dans cette situation stressante, peu habituel pour Pichu, il s'électrocutera en même temps. Akiza sauvée par Ethan, le remercie chaleureusement et acquiesce pour aller chercher le reste du groupe.
Dusk
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L’agitation règne dans l’enceinte de la Centrale. Le chaos s’organise lorsque les chefs d’équipes prennent les choses en main. On cesse de courir dans tous les sens, on ouvre des casiers pour prendre des outils, on se dirige vers les salles de contrôle, on s’équipe de protections et d’éléments de détection.
Comme une machine huilée, les hommes et les femmes s’organisent pour trouver la source de l’alarme.
Du côté de Damien, c’est assez mal parti. Les attaques en furie de ton Magirêve forcent les gardiens à se cacher derrière les murs, laissant l’accès à la porte libre pour vous. Mais avant de se mettre à couvert, un Feunard d’Alola utilise Pouvoir Lunaire, ce qui déstabilise ton Pokémon, suffisamment longtemps pour qu’une attaque Lame de Roc du Lougaroc finit de le mettre hors combat. Les autres vont passer à l’action lorsque que ton Flash Bang improvisé explose.
Aveuglés par l’attaque, vos adversaires sont déboussolés un bref instant, suffisamment pour que vous puissiez sortir de la salle et même du bâtiment. Courant à vous en arracher les poumons, vous voyez sortir du bâtiment central Ethan, Sasha et Akiza.
En effet, pendant que vous échappiez aux vigiles, Akiza agressait violement deux ingénieurs, profitant de la panique et du fait qu’ils ne regardaient pas pour les électriser, alors que le Dimoret d’Ethan faisait chuter la température, permettant à son Lockhlass de faire un tombant de glace dans l’escalier. Le trio a pu donc sortir par la porte principale sans encombre, sous le fracas du lustre d’apparat qui tombe dans la cage d’escalier.
C’est un saccage gratuit contre des gens qui n’ont rien fait, mais ce n’est pas grand-chose comparé au choc que vous ressentez jusque dans votre cœur. Dans le bâtiment de gauche, celui qui contient les turbines, la porte vient d’être soufflée par l’attaque d’un Galeking, envoyant voler des employés qui voulaient entrer dans le bâtiment. Edgard sort en trombe, et vous rejoint en courant.
Il ne prend même pas la peine de vous dire de le suivre ou de courir, il voit bien que vous êtes assez intelligent pour avoir cette idée tout seul.
Vous vous engagez dans la forêt pour essayer de semer vos potentiels pousuivants, pendant qu’une voix féminine crie : Passez sur la production auxiliaire. Alimentez le réseau sur batterie et surtout… La suite se perd dans votre course.
Modération Vous parvenez à vous rejoindre tous, après vous être défendus ou avoir agressé des gens. Des poursuivants se lancent à vos trousses, il va falloir les semer dans les bois.
Votre aventure touche à sa fin, mais sera-t-elle bonne ou mauvaise ? Cela ne tient qu’à vous.
La fuite était visiblement la meilleure et sage décision pour Akiza qui s’empressait déjà de descendre dans les bois silencieux. En effet, après avoir rejoint le restant du groupe et être témoin de l’apparition de l’impressionnant Galeking, Kyoko ne souhaitait absolument pas rester une minute de plus dans ce véritable cauchemar. Surtout qu’elle a dû ordonner à sa petite souris électrique d’agresser violemment deux personnes avec sa capacité éclair. Peut-être que cet homme et cette femme sont au final des bonnes personnes. Des gens innocents qui ne sont pas responsables de la disparition des Pokémons qui habitent dans la forêt silencieuse. Le remords est en elle, des pincements de son cœur la tiraillent, son cerveau qui est sa boîte musicale interne n’arrête pas de lui remontrer cette terrible scène de violence. Elle qui déteste devoir encourir à ce genre d’action voilà que la Rose ne respecte pas ses propres engagements. Pourtant, c’était pour permettre à Ethan et Sasha de découvrir des informations utiles. Mais fallait-il vraiment passer par ce chemin contre les deux gêneurs ? Elle serre ses deux poings, se fichant pas mal que ses ongles sont en train de torturer sa peau frêle. C’est en sentant une vive douleur aux paumes de ses mains que la chanteuse décide de se stopper et de revenir à la réalité. Son visage est blanc, comme-si la rockeuse venait d’attraper une vilaine maladie. Elle est sur le choc de sa propre action passée ? C'est fort possible...
Entendant des bruits de pas au loin, sûrement des poursuivants, l’adrénaline sécrétée par les glandes surrénales et le système nerveux central de Kyoko l’oblige à déraper dans la neige, à la manière d’un dérapage pour se retourner face aux poursuivants encore au loin. De sa poche, Akiza attrape une Pokéball et la lance dans les airs. De son geste, la petite boule se déverrouille pour cracher une forme bien plus impressionnante qu’une souris électrique. Alexstrasza, la Dracaufeu chromatique de la coordinatrice rugit de férocité faisant tomber quelques morceaux de neiges qui reposaient sur les feuilles des arbres. « Alexstrasza ! » interpelle Akiza qui n’a toujours pas digéré d’avoir commis des violences volontaires. « Lance Brouillard pour perturber l’avancée de nos poursuivants. » ordonne d’une voix autoritaire l’amoureuse de la musique. La voyant hocher la tête et cracher une petite flammèche de sa gueule, la Dracaufeu prend son envol pour prendre un peu d’altitude et échappe de son impressionnante mâchoire le brouillard pour couvrir la fuite du groupe.
Une fois l’action terminée, la chanteuse qui manquait de tomber la tête la première dans sa fuite en regardant derrière elle et non devant elle, finit par être rattrapée par sa Dracaufeu qui l’oblige à monter sur son dos. Alexstrasza se met à grogner de mécontentement, peu satisfaite de se retrouver dans une telle situation. Ainsi, la voilà planant près du groupe en transportant sa petite gaffeuse de coordinatrice. Silencieuse, mais aussi mort de trouille, Akiza ne dit pas un mot. Ses mains tremblent comme des feuilles, son palpitant ne cesse de courir à très grande vitesse. Même si elle déteste les combats Pokémons, parfois la vie ne laisse pas vraiment le choix… Si les poursuivants sont intelligents, ils arriveront à continuer la poursuite et si c’est le cas, la chanteuse est certaine que sa dragonne n’hésitera pas une seule seconde à cracher ses flammes…
Résumé:
Durant la fuite, Akiza fait apparaître sa Dracaufeu et lui ordonne d'utiliser brouillard pour couvrir la fuite du groupe. Son état à elle est disons...choqué par sa propre action en se rendant compte que maintenant qu'elle vient d'agresser violemment et volontairement deux personnes avec l'éclair de son Pichu. Akiza n'a jamais agressé de personnes, c'est sa toute première fois. Elle est ensuite sur le dos de sa Dracaufeu qui plane en rase-motte près du groupe.
Damien Delaunay
Dresseur Nova, Champion d'Arène & Administrateur
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Dans une main, celle d'Arya – poigne ferme et je ne te lâcherai pour rien au monde dans cette course folle qui fait battre à mon cœur une chamade folle – et dans l'autre, Pokéball d'Ombrage tombée au combat. Je cours à la déraison, par instinct de survie, sans même savoir tout à fait où me mènent mes pas. Je cours, je cours – et il n'y a, pour me distraire, que trois silhouette dans l'angle de mon champ de vision, qui sortent du bâtiment d'en face. Une, deux, trois foulée ; BANG dans mon dos et j'ai tout juste le temps de jeter un œil par dessus mon épaule que j'aperçois Edgard à notre suite – et Prisme qui s'en vient se lover contre ma nuque sans réclamer son reste. Pas un mot, pas d'ordre, rien qu'un silence entendu et notre course nous porte tous dans la même direction : celle de la forêt d'où l'on vient.
Zephiriel s'élance en avant – fauve et prédateur qui saura suivre mieux que nous les traces que nous avons laissées en arrivant ici pour retourner sur nos pas. Je trébuche dans la neige, vacille mais poursuit tant bien que mal dans la poudreuse épaisse qui voudrait nous retenir. À nos côtés, Akiza lâche sa Dracaufeu et lui intime de brouiller les pistes de nos poursuivants. Poussé par son élan, j'intervertis les Pokéball à ma hanche, et range maladroitement celle d'Ombrage pour libérer Eden – déjà familier à l'endroit qu'il a arpenté à l'aller. « E... Eden, couvre-nous... Utilise Blizzard derrière nous ! » L'Absol au pelage sombre s'ébroue puis, tandis qu'on continue d'avancer, une vague de froid qui effleure ma nuque (et qui n'est pas Fantyrm) m'informe de l'offensive lancée.
À grandes foulées, le Pokémon s'en revient à nos côtés – tumulte de nos pas qui font crisser la neige et de nos souffles courts. « C'était quoi ce bordel ?! » – le froid brûle mes poumons à chaque inspiration mais peu importe, on continue.
On finira bien par s'en tirer. Au moins, on n'aura laissé personne derrière.
résumé | La fuite est entamée, Damien suit le mouvement sans lâcher Arya. Il récupère sa Fantyrm quand elle sort en même temps qu'Edgard. Luxray part en avant pour faire du repérage et essayer de guider le groupe vers des chemins plus sûrs / praticables. Absol [lv50] lance Blizzard dans leur dos pour accompagner le Brouillard du Dracaufeu d'Akiza.
Sasha Brown
Dresseur·euse Nova
Messages : 459 Née le : 14/11/1998 Age : 25 Région : Galar Pokédollars : 2856 Stardust : 1402 Stardust utilisés : 758 Equipe pokemon : Icone :
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Ethan fait bientôt sortir un Lohklass de sa pokeball et tu restes devant le pokemon glace à l'admirer pendant quelques instants au lieu de faire ce que le jeune homme t'a demandé de faire: monter sur le dos du pokemon. Ce n'est que lorsque la température descend encore que tu réagis enfin. Ton manteau est déjà fermé sur le classeur que tu as récupéré et tu serres ton Togepi contre toi pour qu'il n'ait pas trop froid.
"Ella, ça va?" demandes-tu.
Pour te rassurer, la petite Evoli sort la tête de ton sac à dos pour te chatouiller l'oreille de la sienne. Elle se rebaisse ensuite rapidement tandis qu'Ethan vient se mettre derrière toi. Ton coeur bat la chamade, mais c'est bien parce que tu es ultra nerveuse car tu crains que vous ne vous en sortiez pas. Et pourtant. Après avoir formé son toboggan de glace, le Lohklass vous entraine vers l'escalier où Akiza est passée en mode attaque. Tu écarquilles d'horreur devant cette violence gratuite et ton coeur de soigneuse voudrait aller à leur secours. Même si ce n'est pas le moment et même si ce ne sont pas des pokemon. Mais vous n'en avez pas le temps, fort heureusement. Grâce au toboggan, vous êtes déjà dehors, Akiza - que tu ne regardes plus du même oeil - volant à côté de vous sur sa Dracofeu. Est-ce que tu as peur d'elle à cet instant? Oui, carrément. Toi et la violence, ça fait un peu quarante douze mille. Alors oui, elle t'effraie.
Heureusement, vous retrouvez tout le monde, après que la porte du bâtiment dans lequel étaient partis Edgar, Arya et Damien ait été soufflée avec violence. Accrochée au Lohklass, tu trembes, Sasha. Tu n'as qu'une hâte, sortir de là et retourner chez Yokoss, même si tu n'es pas blessée. Damien demande à son pokemon de lancer Blizzard, toi, tu as une autre idée. Est-ce que tu veux être utile pour couvrir votre fuite? Oui. Est-ce que tu veux combattre? Non. Alors tu continues tes demandes passives:
"Elladora, utilise jet de sable pour contribuer à les désorienter." demandes-tu à ton Evoli qui, à l'appel de son nom, sort la tête de ton sac à dos pour répondre à ta demande.
Avec Jet de sable, tu sais que tu ne blesseras personne. Mais allié à l'attaque Blizzard de Damien, ça peut être très utile pour couvrir votre fuite.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
résumé:
Sasha est montée sur le Lohklass d'Ethan pour prendre la fuite. Lorsque Damien demande à son Absol d'utiliser Blizzard, elle demande à son Evoli d'utiliser Jet de sable pour aider à désorienter leurs éventuels poursuivants. Sasha a peur d'Akiza, maintenant.
Si on t'avait dit que ce serait ça, la fin de ce plan, tu aurais cru qu'on te ment. Tu aurais dit quelque chose du genre « Mais nous ne sommes pas dans un film d'action, c'est la vraie vie ! ». La vraie vie peut donc encore te surprendre, c'est ce que tu retiens de cette expérience. Tu continues ta course sur le dos de ton Lokhlass jusqu'à ce que tu réalise que le fait d'être sur son dos n'aide pas sa tâche, et pour continuer de fuir, il vaudrait mieux débarquer. C'est ce que tu fais dès que vous arrivez à rejoindre les autres, qui semblent aussi paniqués et surpris que vous.
« Tout le monde va bien ? Nous avons peu de temps pour converser, je pense qu'il vaudrait mieux repartir. Sasha, tu peux rester sur Toshinori si tu veux. Pas vrai mon grand ? »
Le concerné tourne son doux visage vers toi et tu ne peux t'empêcher de lui sourire avant de le remercier d'une tape dans le dos. Et sans plus attendre, vous voilà tous de nouveau en train de courir vers un autre horizon qui t'es encore inconnu. Les bruits de poursuite continuent toujours, mais les différentes alarmes commencent peu à peu à se dissoudre dans ce brouhaha de course à travers la neige. Damien demande à son Pokémon quelque chose et te voilà de nouveau en train de claquer des dents, pris dans cette grosse tempête qui s'ajoute au climat déjà peu favorable. Vient ensuite la tentative de ralentissement de Sasha, qui utilise Jet de Sable. Un geste simple, qui n'a pas vraiment beaucoup d'avantages ni de résultats, mais l'intention est là. Profitant de ce petit moment de diversion, tu laisses Sparkle sortir de sa balle et se faufiler à travers la neige et les arbres pour utiliser son entrave à elle : Avalanche. Lançant une tonne de neige sur les gens qui vous suivent, elle revient fièrement après en courant, courant désormais avec vous. Une main gantée toujours appuyée contre ton ventre et ton torse, tu te rends compte que tu n'as pas encore eu la chance d'expliquer tout ce qui est contenu dans ces porte-document, ou du moins en partie. Tu es essoufflé, tu es fatigué, tes dents n'ont pas arrêté de claquer, et pourtant, tu trouve tout de même la force de commencer à dire ce que tu as trouvé.
« Je ne veux pas faire peur à personne… mais j'ai des documents étampés au nom de Mistral. Des plans visiblement abandonnés. Il y avait aussi une sorte de lettre du maire de Ferranium. Apparemment, cette centrale a produit de l'énergie d'urgence pour la ville. Quoique cet endroit pourrait être inoffensif, je reste sceptique… sans oublier que nous n'avons pas trouvé ça cause de la disparition des Pokémons. »
Encore une conversation qui semblait terminer dans une sorte de brouillon dans ta tête, et dans laquelle tu finis par simplement murmurer à toi-même des choses que tu ne comprends pas vraiment non plus. Tu secoues la tête et t'arrêtes au bout d'un moment pour reprendre ton souffle. Journée épuisante qui pourtant t'en réserve peut-être plus que tu penses…
Résumé
Ethan demande à Toshinori de garder Sasha sur son dos.
Il le félicite d'une rapide tape dans le dos.
Il sort Sparkle de sa Pokéball.
Il utilise Avalanche pour contribuer aux entraves.
Tout en coursant, il essaie d'expliquer brièvement ce qu'il a vu.
Il tient les documents contre lui pour ne pas les perdre.
(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
Dusk
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Messages : 14946 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 9999 Stardust : 57508 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
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Les gardes gardant le portail sont surpris d'abord par l'alarme. Ils se sont mis sur le qui-vive, regardant l'agitation d'un air désabusé. Ils ont eu peur un instant de tout ce remue-ménage, avant de se rendre compte qu'il s'agissait d'un problème technique. Ils n'en ont pas moins peur, mais ils sont rassurés que le problème ne vienne pas d'eux. En revanche, la présence d'intrus sous l'identité de Damien et d'Arya ne leur plait pas. Ils ont envoyé leur deux agents les moins délicats pour régler ce problème, les autres surveillant les environs à la recherche d'un groupe qui attendrait à l'extérieur.
Lorsque les alarmes ont résonné donc, ils ont été inquiets, puis soulagés puis surpris.
Puis tout s'est enchainé très vite. Un Locklhass a surgi des bureaux, un Galeking a défoncé la porte du bâtiment de production, et deux individus sont sortis en courant pour rejoindre ses deux groupes d'assaillants.
La grille d'entré n'a pas résisté et la course-poursuite a été lancé. Un blizzard, des chutes de neige ont non seulement effacé les traces, mais aussi blesser deux des gardiens et quatre Pokémons. Des traces de sable ont aussi été retrouvé en faible quantité dans la neige.
En tout cas, pour vous, la course se poursuit encore un peu. Essoufflés, car quelque soit votre condition physique, tout ceci fut éprouvant, vous vous arrêtez finalement.
Edgard vous regarde et hoche la tête en voyant que tout le monde est là.
Je ne sais pas quel est leur plan, mais ça ne peut pas être bon. Une Centrale au pied du Volcan, aussi reculer, ça cache quelque chose.
Il consulte les documents qu'Ethan à trouver.
Je vais garder ça, mes équipes pourront les étudier en détail.
Vous n'avez plus qu'à attendre qu'on vienne vous chercher ou rentrer chez vous.
Modération Ceci conclu votre exploration. Vous pouvez continuer à poster des réponses, et je pourrais continuer à modérer si vous le désirez. Vous avez peut-être encore des questions, un besoin de debriffer, c'est le moment.
Oh, et au passage, Edgar vous remercie. Il vous remet à chacun un petit paquet.
Ethan, Akiza et Sasha, vous récupérez 300 p$ et 25 SD. De plus, vous avez des informations supplémentaires sur ce mystérieux bâtiment, que vous pouvez décider de partager ou d'approfondir (il suffit de demander;) )
Damien, tu récupères une superbe tenue haute visibilité, un casque et des chaussures de sécurité, ainsi que 300 p$ et 25 SD. Arya, tout comme Damien tu as des équipement de sécurité, mais 150 p$ et 15SD.
J'espère que cela vous a plu. Si vous avez des remarques, n'hésitez pas à les faire remonter
Sasha Brown
Dresseur·euse Nova
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Vous êtes parvenus à fuir, tous ensemble. Vous n'avez aucun blessé à déplorer et c'est énorme. Elladora fait ce qu'elle peut pour aider à désorienter vos poursuivants. Toi, de ton côté, tu gardes bien Easter contre toi, prenant garde à ce que le classeur que tu as subtilisé ne glisse pas également, tout en t'accrochant au Lohklass pour ne pas tomber. Il ne manquerait plus que ça! Tu as hâtes que vous ralentissiez et que vous finissiez par vous arrêter pour faire le point. Et puis tu as bien envie de comprendre ce qu'il s'est passé et ce qu'il y avait dans le bâtiment où étaient Edgar, Damien et Arya.
Enfin, Edgar donne le signal pour vous arrêter et tu descends du pokemon glace d'Ethan après avoir remercié le pokemon à grand renfort de caresses sur la tête et dans le cou. Edgar s'empare assez rapidement des documents récupérés par Ethan et tu hésites un peu avec le classeur que tu as sur toi. Mais bon. Si tu veux des réponses, et tu en veux, clairement, tu n'as pas vraiment le choix. Alors...
"J'ai trouvé ça, moi aussi. Il y a des plans, on dirait, et je sais pas trop quoi."
Tu ouvres ton anorak et en sors le classeur entier que tu tends à Edgar.
"Comme je savais pas ce qui était utile ou pas... Et puis on commençait à entendre des voix dans le couloir où nous attendait Akiza alors... J'ai paniqué et j'ai tout embarqué. J'espère qu'il y aura quelque chose d'utile dans le lot." ajoutes-tu parce que tu n'as pas envie d'être totalement inutile.
"Il s'est passé quoi dans votre bâtiment, d'ailleurs? C'était quoi cette explosion?" demandes-tu en regardant l'homme et les deux jeunes gens tour à tour.
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résumé:
Lorsque la troupe s'arrête et après avoir remercié le Lohklass de l'avoir portée, Sasha dévoile le classeur qu'elle a volé et le donne à Edgar. Elle demande également à Edgar, Damien et Arya ce qu'il s'est passé et ce qu'était l'explosion.
Courir, courir jusqu'à en perdre le souffle. Courir jusqu'à ce que ta tête t'élance et te supplie d'arrêter. Courir au point ou le froid ne fais plus partie de toi. C'est ton seul but, courir, t'éloigner de cet endroit dans lequel tu n'aurais pas dû mettre les pieds depuis le début. Une nouvelle journée ou Ethan Thetford se met les pieds dans les plats, te dis-tu alors que le groupe semble ralentir doucement dans sa folle course. Tu prends le temps de reprendre ton souffle, et t'assure que tous tes Pokémon sont de retour dans leur Pokéball, sains et sauf. Une fois que le balayage visuel des alentours est fait, tu peux te permettre de tendre les papiers à l'homme et de retourner Toshinori dans sa Pokéball après encore milles remerciement pour sa grande aide pour els sortir du pétrin. Tu laisses Sasha parler en premier et donner ses documents avant de te rapprocher d'Edgar à nouveau, plusieurs questions te trottant en tête.
« Edgard, je suis curieux de savoir… est-ce que vous pensez que la présence de cette nouvelle centrale est la raison qui auraient poussé la faune à se déplacer ? Le bruit des livraisons, et la vie qui anime la centrale elle-même… c'est une condition nouvelle qui a dû en effrayer plus d'un, selon moi. Qu'est-ce que vous en pensez, vous ? »
La partie qui t'inquiétait le plus là-dedans, c'est le fait que tu ne sais pas où sont rendus tous les Pokémons et que le fait qu'ils aient migrés ailleurs n'est pas forcément une bonne chose. Peut-être que certains ne sauront pas s'adapter à la condition à laquelle ils seront soumis ailleurs. Ça pourrait, pour certain, être fatal, et ce n'est pas vraiment quelque chose que tu souhaites. Et c'est pour ça que tu poses la prochaine question :
« Ma dernière question est… comment pouvons-nous rejoindre Hestia ? La cause pour laquelle vous travaillez est celle que j'aimerais défendre à mon tour et… je ne veux plus revivre les cauchemars que Mistral met en place. »
Tu es presque gêné de demander ça comme ça, mais c'est quelque chose qui t'intéresse réellement, et comme toute bonne chose, il faut bien commencer quelque part, pas vrai ?
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Tu as l'impression que tu n'es pas à ta place, songes que tu aurais mieux fait de rester à la pension plutôt que de venir ici. C'était une erreur, clairement. Même lorsque tu t'es retrouvée à Exilar, coincée dans ces tunnels souterrains pour ce "test", c'était moins pire que ça. Là, tu sais pas dire pourquoi, mais tu as l'impression que tu es un boulet. Ca te fait mal de penser ça. Tu es persuadée qu'ils préféreraient tous que tu ne sois pas là, au fond. En tout cas, que tu y sois ou pas, c'est du pareil au même. Tu n'apportes rien au groupe. Ce n'est pas parce que tu as eu l'idée de la brume et de la neige que tu es utile. Alors, pour une fois, tu gardes le silence, parce que c'est sans doute mieux comme ça. Tu les laisses décider pour toi et, finalement, Edgar décide de vous diviser en deux groupe, te laissant avec Ethan et Akiza. C'est bien ça, son nom? Tu ne sais plus. De toute façon, tu as tendance à déformer tous les noms un peu compliqués à retenir. Alors bon. Tu hoches la tête en regardant Edgar et les garçons s'éloigner. Maintenant, vous devez vous débrouiller comme vous pouvez, seuls et sans secours. 
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