Lise Rotorfiel
Feat. Original art de Sam Yang
22 ans
Baroudeuse
18.03.2000
Aucune Faction
Unys (Vaguelone)
Habite Port-Corail
Elle
Nébuleuse
Souriante
Positive
Simple
Opportuniste
S'emporte vite
Têtue
Une coupe afro au vent, le sourire face aux vagues : voila ce qui me caractérisent le mieux. Certaines personnes diront que je ne suis qu'une fille paumée qui ne sait rien faire d'autre de ses journées que de regarder l'océan. Dans un sens, ils n'auraient pas tout à fait tord. Mais que voulez-vous, la mer est si belle, et le son des vagues sur les rochers si exaltants
Vous savez, je suis quelqu'un de simple, il ne me faut pas grand chose pour que je sois heureuse bien que dans la même veine, un rien me fait rager. Mais chut, cela il ne faut pas le dire. On pourrait dire que je suis quelque peu excessive ou très émotive. Non, je suis juste quelqu'un qui ne cache pas ce qu'il ressent. Et pour dire vrai, quand j'essaie, cela est ridicule tellement on lit sur mon visage comme dans un livre ouvert.
J'aime la simplicité, ou plutôt je n'aime pas me prendre la tête, que ce soit dans le choix des mes habits ou de mes relations. Je n'aime pas que ce soit compliqué. On pourrait me prendre pour une hypocrite à me voir me défiler face à mes "amis" qui ont un gros soucis. C'est juste que je ne sais jamais comment réagir face aux problème et j'avoue préférer la solution de facilité. Je sais, ce n'est pas très glorieux, mais que voulez-vous, je suis comme ça, même si je travaille sur ce point. Je ne veux juste plus me prendre la tête.
On attend de moi que je sois prudente, d'éviter les situations qui pourraient me mettre en danger. Et tout ça à cause de quoi ? D'un simple petit soucis de santé. Il est vrai que ma voie me fait défaut, d'ailleurs cela s'entend : on dirait que j'ai continuellement un miaouss dans la gorge, à croire que j'ai attrapé froid. Non, juste des cordes vocales atrophiées qui m'empêche de pouvoir chanter comme la Castafiore et qui font penser que je fume comme un pompier. Donc juste sous prétexte que je ne peux élever la voie en cas de danger, on m'oblige à rester au calme et de ne pas faire de choses "stupides".
Mouais ... c'est bien beau tout ça. Mais moi, j'ai envie d'autre chose que de passer ma vie à rester bloquer au même endroit.
Vous savez, je suis quelqu'un de simple, il ne me faut pas grand chose pour que je sois heureuse bien que dans la même veine, un rien me fait rager. Mais chut, cela il ne faut pas le dire. On pourrait dire que je suis quelque peu excessive ou très émotive. Non, je suis juste quelqu'un qui ne cache pas ce qu'il ressent. Et pour dire vrai, quand j'essaie, cela est ridicule tellement on lit sur mon visage comme dans un livre ouvert.
J'aime la simplicité, ou plutôt je n'aime pas me prendre la tête, que ce soit dans le choix des mes habits ou de mes relations. Je n'aime pas que ce soit compliqué. On pourrait me prendre pour une hypocrite à me voir me défiler face à mes "amis" qui ont un gros soucis. C'est juste que je ne sais jamais comment réagir face aux problème et j'avoue préférer la solution de facilité. Je sais, ce n'est pas très glorieux, mais que voulez-vous, je suis comme ça, même si je travaille sur ce point. Je ne veux juste plus me prendre la tête.
On attend de moi que je sois prudente, d'éviter les situations qui pourraient me mettre en danger. Et tout ça à cause de quoi ? D'un simple petit soucis de santé. Il est vrai que ma voie me fait défaut, d'ailleurs cela s'entend : on dirait que j'ai continuellement un miaouss dans la gorge, à croire que j'ai attrapé froid. Non, juste des cordes vocales atrophiées qui m'empêche de pouvoir chanter comme la Castafiore et qui font penser que je fume comme un pompier. Donc juste sous prétexte que je ne peux élever la voie en cas de danger, on m'oblige à rester au calme et de ne pas faire de choses "stupides".
Mouais ... c'est bien beau tout ça. Mais moi, j'ai envie d'autre chose que de passer ma vie à rester bloquer au même endroit.
Comme on s'attendrait d'un nigosier, Karl est un pokemon stupide. Ou du moins, c'est ce qu'il fait croire. En fait, c'est un vrai génie ! Ou plutôt, il l'est quand il s'agit de son confort. Il est prêt à toutes les ruses pour se remplir la panse ou pour avoir la meilleure place pour dormir. Il n'est pas du genre partageur. Mais je sais qu'au fond, c'est pokemon sur qui je peux compter.
Karl
Nigosier
Mâle
Dégobage
Ma vie n'est pas très trépidante. Elle est même plutôt plan-plan. Il faut dire que depuis toute petite, je passe ma vie entre ma maison et l'hôpital. Vous la sentez la vie hyper aventureuse pleine de péripéties. Et tout ça à cause de quoi ? D'une p*t**n de malformation des cordes vocales ! Pas comme ci ma vie était en danger en permanence. Mais apparemment cela est assez grave pour que mes parents décident de tout plaquer pour aller vivre dans un endroit calme et surtout non loin d'un hôpital.
Bonjour la vie à rester cloitrer à la maison. Je faisais tout de là, l'école, le divertissement et mes soins pour un jour espérer pouvoir parler comme tous les enfants. Autant vous le dire, j'ai eu beau avoir d’innombrables traitements pour adoucir ma voie, encore et toujours, j'aurais ma voie rocailleuse. Mais je l'aime bien moi. Elle fait que je suis différente des autres. Bon ok, c'est pas très féminin de ne pas avoir une voie cristalline. Mais est-ce qu'on s'en foutrait pas un peu. Bon le seul hic, c'est que je ne peux pas crier. Donc ne comptait pas sur moi pour crier à l'aide ...
Il n'y a pas que des inconvénients que de vivre toujours chez soit. Premièrement, on n'est pas déçu des gens. Surtout parce qu'on ne se fait jamais de nouvelles rencontres. Deuxièmement : on n'a jamais d'ennuis avec qui que ce soit, autre que ses parents. Parce qu'on ne voit jamais personne d'autre. Et troisièmement : tu es couvert de cadeaux, qui montrent que mes parents m'aiment et qu'ils font en sorte que je manque de rien.
Mouais ... Cela ne m'a pas empêcher de commencer à faire des fugues dés mon adolescence. J'aime mes parents, mais leur amour et leur surprotection m'ont toujours étouffé. Petite, je m'y faisais bien. Il faut dire que je ne connaissais que ça. Mais en grandissant, j'ai appris en parlant avec des enfants de mon âge à l'hôpital que la vie, ce n'était pas que la maison et les soins, même quand on n'est pas comme tout le monde. Je ne suis jamais partie très loin de chez moi quand je fuguais. D'ailleurs on me retrouvait toujours à errer sur la plage. Un endroit que je chérie depuis ma plus tendre enfance. Il faut dire que ma fenêtre de chambre donne sur la mer. Normal que je veuille y aller.
C'est lors d'une de mes "fugues" que j'ai rencontré Karl, mon nigosier. Je vous avoue, il m'a tapé dans l'oeil dès le départ ... Non mais vraiment ! J'étais assise un soir sur la plage, les pieds dans l'eau, lorsqu'il est apparu de nul part. Je n'avais jamais vu un tel pokemon, que ce soit physiquement que dans son air si stupide. Même un ramolosse a l'air plus intelligent ! Je l'ai fixé un moment. Il dérivait presque au bord de l'eau, regardant de droite à gauche jusqu'à ce qu'il me remarque à son tour. Et là d'un coup, voilà qu'il me crache un pokemon a la figure avant de me courser littéralement. Bonjour la scène épic ! Moi, courant au crépuscule le long de la mer, suivit de près par un volatile complétement barge qui crie tout en faisant claquer son bec ! Et bien sûr impossible de crier à l'aide ... Elle est pas belle la vie.
Comment je m'en suis sortie ? Grâce à la bouffe ! Dans ma fuite de ce pokemon, j'ai réussi à retourner à mon sac dans lequel se trouvait quelques provisions, et dans un élan qui s'est mélangé à un trébuchement, je lui ai lancé à mon tour un pokemon, sauf que le mien était une confiserie avec de l'haricot rouge à l'intérieur. Il le goba littéralement, ce qui eu pour effet de l'arrêter net. Il n'a plus bougé d'une plume jusqu'à ce que je me mette à bouger. A chaque pas que je faisais, ce dernier en faisait deux vers moi. J'ai pris peur et par réflexe, j'ai couru chez mes parents, me refaisant poursuivre par cet oiseau de malheur, dont j'ignorais encore ce qu'il était à ce moment.
Une fois chez moi, ce dernier n'a plus quitté la porte d'entré ou les fenêtres. Et dès qu'il me voyait, il se mettait à brailler. Autant vous dire que mes parents étaient joie de ce pokemon dans notre vie, surtout qu'il était complètement inconnu dans notre région. Après plusieurs jours de recherche, à partager la photo de ce débile sur les réseaux, ont a enfin eu une réponse : il s'agissait d'un nigosier, un pokemon de Galar. Que faisait-il aussi loin de chez lui ? Aucune idée. Certainement que ce pokemon était assez stupide pour se laisser porter par les courants jusqu'à Unys ... Même si la réponse la plus probable c'était que c'était un pokemon d'une personne en vacance à Vaguelone, notre ville, et qui l'avait soit perdu ou abandonné. Vu son air d'abritu, cela n'aurait pas été étonnant ...
Il restait campé dans notre jardin pendant prés d'un mois. Dés qu'une personne approchait de la maison, il la chassait. Tous les soirs, il se mettait à taper aux fenêtres pour avoir à manger. Et quand venait le moment pour moi d'aller à un rendez-vous médical, il coursait derrière la voiture pour nous suivre, et faisait de même au moment du retour. Puis au bout d'un moment, voyant qu'on ne pouvait pas se débarrasser de lui, mon père m'a donné une pokeball pour que je puisse le capturer. Incroyable ! Je n'en revenais pas ! Jamais mes parents m'avait autorisé à avoir un pokemon, d'ailleurs eux même n'en avait pas, de peur que les poils ou les plumes ne fassent trop de poussières, et donc vienne encore plus altérer ma voie. Alors qu'ils me laissent capturer celui-là ! Bon, ce n'est pas le pokemon le plus mignon et encore moins le plus badass du monde, mais ça restait un pokemon. Cela voulait dire beaucoup pour moi et surtout une chose : pouvoir sortir en ayant un compagnon pour être sans danger. C'était ce que désirait le plus mes parents : me savoir en sécurité. Et même si ce compagnon était un nigosier, cela restait un pokemon capable de se faire entendre et courir vite au cas où.
C'est ainsi que Karl est entré dans ma vie dans l'année de mes 17 ans.
La vie a suivi son court normalement, un volatile débile en plus. Il a vite pris de la place dans ma vie. Il n'aime pas trop être dans sa pokeball, il est gourmand, voleur en plus de prendre toute la place dans mon lit ... Le pokemon parfait ! Mais par contre, il a vite rempli son rôle de protecteur. Déjà que je n'ai pas beaucoup d'ami, avec lui, impossible que qui que ce soit m'approche. Direct, il se met à claquer du bec, ou bien il crache ce qu'il a e bouche sur les gens. Très classe ... Quant à faire le mur avec lui, on oublie. Il est tellement maladroit qu'il aura fait tomber trois pots de fleurs et deux cadres avant d'avoir réussi à sortir de la maison. Au final, mes parents étaient bien contents de ce pokemon. C'était encore mieux qu'un système d'alarme.
Puis le temps passa et passa. Et mon envie d'aventure grandissait en moi. Certes, maintenant je pouvais sortir plus librement grâce à la présence de Karl, mais je ne devais jamais aller plus loin que les abords de la ville. Il fallait que je parte. Mais où et pour faire quoi ?
La question de mon futur était présente depuis un petit moment maintenant. Qu'est-ce que je voulais faire dans ma vie ? Je ne compte plus les fois où mes parents m'ont posée cette question. Je n'ai jamais réussi à y répondre. J'aime l'océan, j'aimerais voyager, rencontrer des gens et pourquoi pas même me faire des amis. Que des réponses insuffisantes pour mes parents. Mais qu'attendaient-ils de moi ? Que je leur donne réellement une vraie réponse alors que je n'ai jamais vécu au de-là des murs de cette ville balnéaire ? C'était tout bonnement impossible ! Il me fallait d'abord que je fasse ma propre expérience de la vie, la vraie avant de pouvoir leur fournir cette réponse.
C'est donc à 22 ans, après une vie entière à ne rien faire, en étant complètement paumée dans ma vie que je prends enfin les choses en main !
Après plusieurs mois de préparation en cachette, réunissant toutes mes économies, et bon dieu que j'en avais, merci les parents, il était temps de réellement fuguer ! Mais est-ce vraiment une fugue à mon âge ? Non, c'est voler de ses propres ailes !
J'ai attendu le soir, qu'il n'y ait plus de bruit dans la maison pour faire mon sac avec juste le stricte minimum et surtout le plus important : mon dossier médical et surtout un billet de ferry qui me conduirait dans une autre région, loin de mes parents pour être sûr que cette fois-ci, ils ne me retrouvent pas, ou du moins pas tout de suite.
Je leur ai tout de même laissé une petite lettre indiquant je partais, mais que je reviendrais dés que j'aurais la réponse à leur question.
Direction Lumiris !
Bonjour la vie à rester cloitrer à la maison. Je faisais tout de là, l'école, le divertissement et mes soins pour un jour espérer pouvoir parler comme tous les enfants. Autant vous le dire, j'ai eu beau avoir d’innombrables traitements pour adoucir ma voie, encore et toujours, j'aurais ma voie rocailleuse. Mais je l'aime bien moi. Elle fait que je suis différente des autres. Bon ok, c'est pas très féminin de ne pas avoir une voie cristalline. Mais est-ce qu'on s'en foutrait pas un peu. Bon le seul hic, c'est que je ne peux pas crier. Donc ne comptait pas sur moi pour crier à l'aide ...
Il n'y a pas que des inconvénients que de vivre toujours chez soit. Premièrement, on n'est pas déçu des gens. Surtout parce qu'on ne se fait jamais de nouvelles rencontres. Deuxièmement : on n'a jamais d'ennuis avec qui que ce soit, autre que ses parents. Parce qu'on ne voit jamais personne d'autre. Et troisièmement : tu es couvert de cadeaux, qui montrent que mes parents m'aiment et qu'ils font en sorte que je manque de rien.
Mouais ... Cela ne m'a pas empêcher de commencer à faire des fugues dés mon adolescence. J'aime mes parents, mais leur amour et leur surprotection m'ont toujours étouffé. Petite, je m'y faisais bien. Il faut dire que je ne connaissais que ça. Mais en grandissant, j'ai appris en parlant avec des enfants de mon âge à l'hôpital que la vie, ce n'était pas que la maison et les soins, même quand on n'est pas comme tout le monde. Je ne suis jamais partie très loin de chez moi quand je fuguais. D'ailleurs on me retrouvait toujours à errer sur la plage. Un endroit que je chérie depuis ma plus tendre enfance. Il faut dire que ma fenêtre de chambre donne sur la mer. Normal que je veuille y aller.
C'est lors d'une de mes "fugues" que j'ai rencontré Karl, mon nigosier. Je vous avoue, il m'a tapé dans l'oeil dès le départ ... Non mais vraiment ! J'étais assise un soir sur la plage, les pieds dans l'eau, lorsqu'il est apparu de nul part. Je n'avais jamais vu un tel pokemon, que ce soit physiquement que dans son air si stupide. Même un ramolosse a l'air plus intelligent ! Je l'ai fixé un moment. Il dérivait presque au bord de l'eau, regardant de droite à gauche jusqu'à ce qu'il me remarque à son tour. Et là d'un coup, voilà qu'il me crache un pokemon a la figure avant de me courser littéralement. Bonjour la scène épic ! Moi, courant au crépuscule le long de la mer, suivit de près par un volatile complétement barge qui crie tout en faisant claquer son bec ! Et bien sûr impossible de crier à l'aide ... Elle est pas belle la vie.
Comment je m'en suis sortie ? Grâce à la bouffe ! Dans ma fuite de ce pokemon, j'ai réussi à retourner à mon sac dans lequel se trouvait quelques provisions, et dans un élan qui s'est mélangé à un trébuchement, je lui ai lancé à mon tour un pokemon, sauf que le mien était une confiserie avec de l'haricot rouge à l'intérieur. Il le goba littéralement, ce qui eu pour effet de l'arrêter net. Il n'a plus bougé d'une plume jusqu'à ce que je me mette à bouger. A chaque pas que je faisais, ce dernier en faisait deux vers moi. J'ai pris peur et par réflexe, j'ai couru chez mes parents, me refaisant poursuivre par cet oiseau de malheur, dont j'ignorais encore ce qu'il était à ce moment.
Une fois chez moi, ce dernier n'a plus quitté la porte d'entré ou les fenêtres. Et dès qu'il me voyait, il se mettait à brailler. Autant vous dire que mes parents étaient joie de ce pokemon dans notre vie, surtout qu'il était complètement inconnu dans notre région. Après plusieurs jours de recherche, à partager la photo de ce débile sur les réseaux, ont a enfin eu une réponse : il s'agissait d'un nigosier, un pokemon de Galar. Que faisait-il aussi loin de chez lui ? Aucune idée. Certainement que ce pokemon était assez stupide pour se laisser porter par les courants jusqu'à Unys ... Même si la réponse la plus probable c'était que c'était un pokemon d'une personne en vacance à Vaguelone, notre ville, et qui l'avait soit perdu ou abandonné. Vu son air d'abritu, cela n'aurait pas été étonnant ...
Il restait campé dans notre jardin pendant prés d'un mois. Dés qu'une personne approchait de la maison, il la chassait. Tous les soirs, il se mettait à taper aux fenêtres pour avoir à manger. Et quand venait le moment pour moi d'aller à un rendez-vous médical, il coursait derrière la voiture pour nous suivre, et faisait de même au moment du retour. Puis au bout d'un moment, voyant qu'on ne pouvait pas se débarrasser de lui, mon père m'a donné une pokeball pour que je puisse le capturer. Incroyable ! Je n'en revenais pas ! Jamais mes parents m'avait autorisé à avoir un pokemon, d'ailleurs eux même n'en avait pas, de peur que les poils ou les plumes ne fassent trop de poussières, et donc vienne encore plus altérer ma voie. Alors qu'ils me laissent capturer celui-là ! Bon, ce n'est pas le pokemon le plus mignon et encore moins le plus badass du monde, mais ça restait un pokemon. Cela voulait dire beaucoup pour moi et surtout une chose : pouvoir sortir en ayant un compagnon pour être sans danger. C'était ce que désirait le plus mes parents : me savoir en sécurité. Et même si ce compagnon était un nigosier, cela restait un pokemon capable de se faire entendre et courir vite au cas où.
C'est ainsi que Karl est entré dans ma vie dans l'année de mes 17 ans.
La vie a suivi son court normalement, un volatile débile en plus. Il a vite pris de la place dans ma vie. Il n'aime pas trop être dans sa pokeball, il est gourmand, voleur en plus de prendre toute la place dans mon lit ... Le pokemon parfait ! Mais par contre, il a vite rempli son rôle de protecteur. Déjà que je n'ai pas beaucoup d'ami, avec lui, impossible que qui que ce soit m'approche. Direct, il se met à claquer du bec, ou bien il crache ce qu'il a e bouche sur les gens. Très classe ... Quant à faire le mur avec lui, on oublie. Il est tellement maladroit qu'il aura fait tomber trois pots de fleurs et deux cadres avant d'avoir réussi à sortir de la maison. Au final, mes parents étaient bien contents de ce pokemon. C'était encore mieux qu'un système d'alarme.
Puis le temps passa et passa. Et mon envie d'aventure grandissait en moi. Certes, maintenant je pouvais sortir plus librement grâce à la présence de Karl, mais je ne devais jamais aller plus loin que les abords de la ville. Il fallait que je parte. Mais où et pour faire quoi ?
La question de mon futur était présente depuis un petit moment maintenant. Qu'est-ce que je voulais faire dans ma vie ? Je ne compte plus les fois où mes parents m'ont posée cette question. Je n'ai jamais réussi à y répondre. J'aime l'océan, j'aimerais voyager, rencontrer des gens et pourquoi pas même me faire des amis. Que des réponses insuffisantes pour mes parents. Mais qu'attendaient-ils de moi ? Que je leur donne réellement une vraie réponse alors que je n'ai jamais vécu au de-là des murs de cette ville balnéaire ? C'était tout bonnement impossible ! Il me fallait d'abord que je fasse ma propre expérience de la vie, la vraie avant de pouvoir leur fournir cette réponse.
C'est donc à 22 ans, après une vie entière à ne rien faire, en étant complètement paumée dans ma vie que je prends enfin les choses en main !
Après plusieurs mois de préparation en cachette, réunissant toutes mes économies, et bon dieu que j'en avais, merci les parents, il était temps de réellement fuguer ! Mais est-ce vraiment une fugue à mon âge ? Non, c'est voler de ses propres ailes !
J'ai attendu le soir, qu'il n'y ait plus de bruit dans la maison pour faire mon sac avec juste le stricte minimum et surtout le plus important : mon dossier médical et surtout un billet de ferry qui me conduirait dans une autre région, loin de mes parents pour être sûr que cette fois-ci, ils ne me retrouvent pas, ou du moins pas tout de suite.
Je leur ai tout de même laissé une petite lettre indiquant je partais, mais que je reviendrais dés que j'aurais la réponse à leur question.
Direction Lumiris !
Pourquoi les Nébuleuses ?
Je ne me connais pas moi-même, c'est pour cette raison que je fais ce voyage à Lumiris. Alors devoir choisir un groupe ... Il me faut d'abord explorer ce que me propose la vie et qui sait, je pourrais me fixer plus ou moins vite. Mais surtout, je veux en découvrir un maximum avant de me positionner.
Pseudo(s): Shiynmey
Âge: 30 ans
Localisation: Quelques part en bretagne
Pronom(s): Elle
Âge: 30 ans
Localisation: Quelques part en bretagne
Pronom(s): Elle
Comment nous as-tu trouvé ? // Cela fait longtemps que je connais le forum, je suis une ancienne qui a décidé de revenir après quelques années de pause de RP
Ton Pokémon préféré ? // y en a tellement ^^"
As-tu un parrain ? // aucun
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Reprendre le rp en douceur dans un univers dont je suis fan et dont le forum m'avait énormément plu à l'époque
Un dernier mot ? // mot ...
Ton Pokémon préféré ? // y en a tellement ^^"
As-tu un parrain ? // aucun
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Reprendre le rp en douceur dans un univers dont je suis fan et dont le forum m'avait énormément plu à l'époque
Un dernier mot ? // mot ...