Jenna Lloyd
Feat. Gumi - Vocaloid
20 ans
Chomeuse
31.07.2000
Aucune Faction
Sinnoh
Habite Sunyra
Elle
Nova
Bienveillante
Active
Joyeuse
Timide maladive
Trop bavarde
Effrayée
Tu en fais du bruit, Jenna.
Tu parles si fort, à longueur de journées. Tu parles beaucoup surtout pour ne rien dire, tu es bavarde comme pas deux, alors que tu ne dis que peu de choses sur toi. Mais tu as ce besoin de parler, c’est un fait, ou de pousser l’autre à parler de soi et pouvoir l'écouter. C’est que tu les aimes, les gens, tu as un amour pour autrui qui souvent te fais oublier que tous les humains ne sont pas bon. Ce n’est pas que tu es naïve, Jenna, ou peut être que si, un peu, mais tu as surtout envie de croire en l’autre, de leur laisser une chance sans te soucier de la première impression ou des "on dit".
Tu en fais du bruit, incapable de tenir en place, de rester à ne rien faire plus de cinq minutes. Tu as cette nécessité de bouger, quotidiennement, tu ne supportes pas de rester chez toi. Ce besoin, aussi, de connaître le monde, de voyager pour découvrir des paysages que tu croyais jusqu’à là inexistant. Tu rêves, tu as souvent milles projets en tête, alors tu te lances dans une activité que tu abandonnes tout aussi vite pour essayer autre chose. Pour le moment, seuls la pêche, étonnamment, et les Pokemon ont su te captiver suffisamment pour que tu en fasses des passions à plein temps.
Tu en fais du boucan, pour fracasser tes barrières. Tu es timide, beaucoup plus que tu ne parais l’être. Alors tu en fais trop, souvent, pour ne pas te retrouver enchaînée par tes propres démons. Ton problème, Jenna, c’est que tu manques de confiance en toi, et que souvent tu ne parviens plus à te sentir à ta place parmi le monde qui t’entoure. Que tu aimerais disparaître, d’un seul coup, que plus personne ne te remarques. Et puis, tu souhaites oublier, tu désires l’avoir cette place, alors tu pousses, tu fais du bruit et tu forces surement un peu.
Et tu souris à ce monde que tu trouves beau.
Joyeuse x Bavarde x Timide maladive qui en fait des caisses pour ne pas le montrer x Sujette aux vertiges x Mais si on ne la retient pas, elle est capable de grimper tout en haut d’un escabeau pour mettre ensuite dix minutes à en descendre x Casse-cou, elle en vient à se blesser régulièrement x Pas forcément douée pour réfléchir, elle dit souvent des bêtises plus grosses qu’elle x Sensible x Fleur bleue x Même si elle parle beaucoup, elle n’aime pas vraiment parler d’elle même et de ses ressentis.
Tu parles si fort, à longueur de journées. Tu parles beaucoup surtout pour ne rien dire, tu es bavarde comme pas deux, alors que tu ne dis que peu de choses sur toi. Mais tu as ce besoin de parler, c’est un fait, ou de pousser l’autre à parler de soi et pouvoir l'écouter. C’est que tu les aimes, les gens, tu as un amour pour autrui qui souvent te fais oublier que tous les humains ne sont pas bon. Ce n’est pas que tu es naïve, Jenna, ou peut être que si, un peu, mais tu as surtout envie de croire en l’autre, de leur laisser une chance sans te soucier de la première impression ou des "on dit".
Tu en fais du bruit, incapable de tenir en place, de rester à ne rien faire plus de cinq minutes. Tu as cette nécessité de bouger, quotidiennement, tu ne supportes pas de rester chez toi. Ce besoin, aussi, de connaître le monde, de voyager pour découvrir des paysages que tu croyais jusqu’à là inexistant. Tu rêves, tu as souvent milles projets en tête, alors tu te lances dans une activité que tu abandonnes tout aussi vite pour essayer autre chose. Pour le moment, seuls la pêche, étonnamment, et les Pokemon ont su te captiver suffisamment pour que tu en fasses des passions à plein temps.
Tu en fais du boucan, pour fracasser tes barrières. Tu es timide, beaucoup plus que tu ne parais l’être. Alors tu en fais trop, souvent, pour ne pas te retrouver enchaînée par tes propres démons. Ton problème, Jenna, c’est que tu manques de confiance en toi, et que souvent tu ne parviens plus à te sentir à ta place parmi le monde qui t’entoure. Que tu aimerais disparaître, d’un seul coup, que plus personne ne te remarques. Et puis, tu souhaites oublier, tu désires l’avoir cette place, alors tu pousses, tu fais du bruit et tu forces surement un peu.
Et tu souris à ce monde que tu trouves beau.
Joyeuse x Bavarde x Timide maladive qui en fait des caisses pour ne pas le montrer x Sujette aux vertiges x Mais si on ne la retient pas, elle est capable de grimper tout en haut d’un escabeau pour mettre ensuite dix minutes à en descendre x Casse-cou, elle en vient à se blesser régulièrement x Pas forcément douée pour réfléchir, elle dit souvent des bêtises plus grosses qu’elle x Sensible x Fleur bleue x Même si elle parle beaucoup, elle n’aime pas vraiment parler d’elle même et de ses ressentis.
On ne peut pas vraiment dire que Jenna s’attendait à avoir un Polichombr comme starter. Mais par le hasard de leur destin, lui qui faisait des pirouettes en l’air en attendant son dresseur, et elle qui rentrait d’une randonnée dans la forêt, elle c’est retrouvée à lui en venir en aide pour chercher l’homme qui l’avait abandonné. Après plusieurs semaines de recherche, et l’homme qui leur claqua la porte au nez en disant qu’il ne voulait plus du pokemon, elle se décida à l’adopter.
Live, c’est un polichombr assez particulier. Il n’est pas méchant, mais il a l’air d’en faire souvent qu’à sa tête, en plus d’aimer faire des farces. Et d’être doué pour esquiver les calins que veut lui faire sa dresseuse, au plus grand regret de celle-ci.
Live, c’est un polichombr assez particulier. Il n’est pas méchant, mais il a l’air d’en faire souvent qu’à sa tête, en plus d’aimer faire des farces. Et d’être doué pour esquiver les calins que veut lui faire sa dresseuse, au plus grand regret de celle-ci.
Live
Polichombr
Mâle
Corps maudit
Floraville, ta ville natale, tu l’aimes. Tu n’as rien vécue de véritablement extraordinaire, là-bas, mais tes souvenirs aujourd’hui te font pousser des ailes. Tu as vécue avec tes deux mamans, et les jumeaux âgés de cinq ans de moins que toi. Oh, tu sais très bien depuis l’âge de raison que tu n’avais pas le même sang qu’eux, et que vous trois avez été adoptés, mais cela n’a jamais été un problème pour toi. L’amour que vous donnaient vos parents il y est surement pour beaucoup, car avec eux tu étais heureuse.
Tu l’auras aimé, ton rôle de grande-sœur. Sous tes faux airs de « c’est moi l’ainée, suis mon exemple et respecte-moi ! », c’est à toi surtout que tu imposais d’être un parfait exemple à suivre pour tes cadets, même si tu n’étais pas la gamine parfaite et que des bêtises, même gentillet, tu en as fais. Tu auras surtout fait peur à tes mères, par le nombre de fois où tu t’es retrouvée bloquée dans un arbre pour montrer à ton frère et à ta sœur ô combien tu es courageuse.
Tu ne savais pas rester dans une même activité plus de trois mois, trouvant un goût pour découvrir tout ce qui était possible de faire. Tu es passé du dessin au patinage artistique, et de la guitare à la couture. Tes parents avaient du mal à te suivre, mais voilà qu’un jour tu te tentes à la pêche. Et, surprise : Tu as tout de suite adoré être la, devant cet étendue d’eau et ce calme. Devant la satisfaction de pêcher un magicarpe ou un barpau que tu relâchais presque aussitôt. La pêche, l’envie d’en savoir plus sur la population aquatique, c’est ce qui t’a amené aussi à la passion des pokemon. Plus tard, tu en élèveras plein, c’était devenu le rêve que tu déclarais haut et fort.
Avec ta famille, tu as toujours été heureuse. Le problème, ce sont les autres. Si quand tu étais seule, ou avec tes parents et tes cadets, tu te sentais capable de tout, entourée des autres c’était déjà plus compliqué. Tu ne savais pas t’intégrer, tu étais la gamine à l’école qu’on mettait dans un groupe par défaut et non par envie. Tu n’aimais pas ça, tu as toujours eu l’impression de déranger, alors tu laissais le groupe faire sans toi, et pour eux, de ton point de vue, c’était beaucoup mieux ainsi. De toute façon, tu te mettais à buter sur les mots à chaque fois qu’on te demandait ton avis.
Au collège, même schéma. En plus de ça, tu avais du mal avec les filles qui pensaient qu’à faire attention à leur physique, alors tu restais dans ton coin. Tu as bien réussi à te faire un groupe d’amies par la force des choses, mais tu n’arrivais pas à te sentir à ta place avec elles, tu te contentais souvent de les écouter avec un sourire timide. Finalement, elles ont du arrêter de te considérer dans leur groupe, parce qu’elles ont fini par ne plus t’approcher. Peut être qu’elles attendaient de toi un premier pas, pour leur montrer que tu les aimais, mais tu en as été incapable.
Ça t’a blessée, jusqu’au lycée. Mais les choses n’ont pas changé, alors au lieu d’avoir le courage d’essayer tu t’es renfermée, et te retrouver à travailler avec d’autres personnes te semblait encore plus insupportable que quand tu étais enfant. Tes mères s’inquiétaient de te voir de plus en plus renfermée sur toi-même en rentrant de l’école, mais tu leur disais que tout allait bien. Oh, elles ont du bien du remarquer que c’était un mensonge, parce que tu as rapidement appris par tes cadets qu’elles sont allées dans ton lycée pour parler à ton professeur principal par peur d’un cas d’harcèlement. Ce que tu t’es sentie honteuse, d’avoir inquiété ainsi ta famille. Tu te rappelles avoir pleuré ce jour-là, de t’être excusée en avouant tout ce qui te torturait. Pourtant, ce fut aussi le déclic qui t’a poussée à faire des efforts pour t’approcher des autres.
Ce ne fut pas facile, au début, de réussir à briser le silence, d’approcher les gens en ayant l’air spontanée. Mais la dernière année de lycée fut surement une des plus belles de ta scolarité quand enfin tu es parvenue à te faire un petit groupe d’amis avec qui tu es encore en contact aujourd’hui, malgré la distance.
Et puis, il y a Live aussi, ce polichombr un peu étrange mais que tu adores. Ce fut une sacrée surprise votre rencontre, alors que tu rentrais d’une balade en forêt, mais surtout triste de finir par comprendre que son dresseur d’origine l’avait abandonné. Alors tu t’es retrouvé avec ce pokemon dans les bras, mais tu as tout de suite voulu l’adopter. Tu l’adores, ton starter !
Diplôme en poche, il t’a fallu faire un choix pour ton futur. Et toi, tu rêvais d’ailleurs, de prendre un nouveau départ loin de Floraville, cette ville et la région de Sinnoh que tu aimes tant. Six mois plus tard, tu as fini par t’installer dans la région de Lumiris, à Sunyra, malgré l’inquiétude de ta famille suite aux attaques. Ce fut compliqué de les rassurer, mais tu es fière de ta décision. Même si au début le début c’est avéré difficile, le fait que tu trouves du travail dans une poissonnerie au bout de trois mois t’as soulagé financièrement, en plus de travailler dans quelque chose qui te plais. Même si vendre des magicarpes, que tu adores toujours autant pêcher pour le simple plaisir de la prise vivante, tu trouves ça assez coquasse comme situation. Ca, puis les clients qui viennent tout les jours, ça t’auras fais un sacré défi pour te montrer à la hauteur.
Alors, tu peux le dire : Tu es heureuse, actuellement.
Tu l’auras aimé, ton rôle de grande-sœur. Sous tes faux airs de « c’est moi l’ainée, suis mon exemple et respecte-moi ! », c’est à toi surtout que tu imposais d’être un parfait exemple à suivre pour tes cadets, même si tu n’étais pas la gamine parfaite et que des bêtises, même gentillet, tu en as fais. Tu auras surtout fait peur à tes mères, par le nombre de fois où tu t’es retrouvée bloquée dans un arbre pour montrer à ton frère et à ta sœur ô combien tu es courageuse.
Tu ne savais pas rester dans une même activité plus de trois mois, trouvant un goût pour découvrir tout ce qui était possible de faire. Tu es passé du dessin au patinage artistique, et de la guitare à la couture. Tes parents avaient du mal à te suivre, mais voilà qu’un jour tu te tentes à la pêche. Et, surprise : Tu as tout de suite adoré être la, devant cet étendue d’eau et ce calme. Devant la satisfaction de pêcher un magicarpe ou un barpau que tu relâchais presque aussitôt. La pêche, l’envie d’en savoir plus sur la population aquatique, c’est ce qui t’a amené aussi à la passion des pokemon. Plus tard, tu en élèveras plein, c’était devenu le rêve que tu déclarais haut et fort.
Avec ta famille, tu as toujours été heureuse. Le problème, ce sont les autres. Si quand tu étais seule, ou avec tes parents et tes cadets, tu te sentais capable de tout, entourée des autres c’était déjà plus compliqué. Tu ne savais pas t’intégrer, tu étais la gamine à l’école qu’on mettait dans un groupe par défaut et non par envie. Tu n’aimais pas ça, tu as toujours eu l’impression de déranger, alors tu laissais le groupe faire sans toi, et pour eux, de ton point de vue, c’était beaucoup mieux ainsi. De toute façon, tu te mettais à buter sur les mots à chaque fois qu’on te demandait ton avis.
Au collège, même schéma. En plus de ça, tu avais du mal avec les filles qui pensaient qu’à faire attention à leur physique, alors tu restais dans ton coin. Tu as bien réussi à te faire un groupe d’amies par la force des choses, mais tu n’arrivais pas à te sentir à ta place avec elles, tu te contentais souvent de les écouter avec un sourire timide. Finalement, elles ont du arrêter de te considérer dans leur groupe, parce qu’elles ont fini par ne plus t’approcher. Peut être qu’elles attendaient de toi un premier pas, pour leur montrer que tu les aimais, mais tu en as été incapable.
Ça t’a blessée, jusqu’au lycée. Mais les choses n’ont pas changé, alors au lieu d’avoir le courage d’essayer tu t’es renfermée, et te retrouver à travailler avec d’autres personnes te semblait encore plus insupportable que quand tu étais enfant. Tes mères s’inquiétaient de te voir de plus en plus renfermée sur toi-même en rentrant de l’école, mais tu leur disais que tout allait bien. Oh, elles ont du bien du remarquer que c’était un mensonge, parce que tu as rapidement appris par tes cadets qu’elles sont allées dans ton lycée pour parler à ton professeur principal par peur d’un cas d’harcèlement. Ce que tu t’es sentie honteuse, d’avoir inquiété ainsi ta famille. Tu te rappelles avoir pleuré ce jour-là, de t’être excusée en avouant tout ce qui te torturait. Pourtant, ce fut aussi le déclic qui t’a poussée à faire des efforts pour t’approcher des autres.
Ce ne fut pas facile, au début, de réussir à briser le silence, d’approcher les gens en ayant l’air spontanée. Mais la dernière année de lycée fut surement une des plus belles de ta scolarité quand enfin tu es parvenue à te faire un petit groupe d’amis avec qui tu es encore en contact aujourd’hui, malgré la distance.
Et puis, il y a Live aussi, ce polichombr un peu étrange mais que tu adores. Ce fut une sacrée surprise votre rencontre, alors que tu rentrais d’une balade en forêt, mais surtout triste de finir par comprendre que son dresseur d’origine l’avait abandonné. Alors tu t’es retrouvé avec ce pokemon dans les bras, mais tu as tout de suite voulu l’adopter. Tu l’adores, ton starter !
Diplôme en poche, il t’a fallu faire un choix pour ton futur. Et toi, tu rêvais d’ailleurs, de prendre un nouveau départ loin de Floraville, cette ville et la région de Sinnoh que tu aimes tant. Six mois plus tard, tu as fini par t’installer dans la région de Lumiris, à Sunyra, malgré l’inquiétude de ta famille suite aux attaques. Ce fut compliqué de les rassurer, mais tu es fière de ta décision. Même si au début le début c’est avéré difficile, le fait que tu trouves du travail dans une poissonnerie au bout de trois mois t’as soulagé financièrement, en plus de travailler dans quelque chose qui te plais. Même si vendre des magicarpes, que tu adores toujours autant pêcher pour le simple plaisir de la prise vivante, tu trouves ça assez coquasse comme situation. Ca, puis les clients qui viennent tout les jours, ça t’auras fais un sacré défi pour te montrer à la hauteur.
Alors, tu peux le dire : Tu es heureuse, actuellement.
Pourquoi Nova ?
La bienveillance, ca la connait. Et c'était difficile d'être autre chose que Nova, à ses yeux. Même si elle est un peu paumée dans sa vie actuellement, qu'elle ne sait pas tout à fait de quoi demain sera fait ni pourquoi elle se battra, c'est naturellement que ce groupe là, il lui allait plus que n'importe quel autre.
Pseudo(s): Huyhine
Âge: 27 ans
Localisation: Quelque part, près du vin.
Pronom(s): Elle
Âge: 27 ans
Localisation: Quelque part, près du vin.
Pronom(s): Elle
Comment nous as-tu trouvé ? // C'est Damien owo
Ton Pokémon préféré ? // Trop.
As-tu un parrain ? // C'est Damien OwO
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Rien. Depuis un an mes attentes sont comblés. Je suis même dans le staff, pour dire.
Un dernier mot ? // Un petit quelque chose à ajouter ?
Ton Pokémon préféré ? // Trop.
As-tu un parrain ? // C'est Damien OwO
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Rien. Depuis un an mes attentes sont comblés. Je suis même dans le staff, pour dire.
Un dernier mot ? // Un petit quelque chose à ajouter ?