Estry Nils Torason
Feat Misumi Ikaruga de A3
1927 février 2002LumirisMâle jusqu’à preuve du contraireChômeur de naissanceÉclipse
DéfautshonnêteÉgoisteMaladroit
QualitésHonnêteCurieuxinventif
DéfautshonnêteÉgoisteMaladroit
Description
“There is only one thing I could never forgive and forever takes a soul away from me : hypocrisy”
Vous voyez les petites boules de poils ? Ils passent toute une étape appelez le sevrage. C’est quelque chose de très important, la mère du petit animal lui enseigne les choses primordiales de la vie pour son développement mental. Parfois ça se fait en douceur, parfois, c'est plus compliqué, mais c'est nécessaire. Tout le monde le sait, malgré que pour certain, l'enfance n'est pas une partie de plaisir. Et bien nous pouvons dire que cette personne n’a pas reçu de sevrage, aucune réelle éducation. Il parle, souvent sans idée fixe avec des mots au hasard qu’il tire d’un endroit lointain qu’est son esprit.
Extravertis ? Introverti ? Il n’est pas l’un n’y l’autre. Il aime la compagnie sans y être accro, il aime la solitude sans pouvoir totalement l'a supporté. Pourtant, il est dépendant affectif, il ne peut se passer de son pokémon. Il aime la compagnie sans y être accro, il aime la solitude sans en dépendre Mais peu importe, pourquoi s'en soucier d'ailleurs ? Ceux se comprenant étaient plus heureux ? Alors sa joie est éphémère ? Tout son amour est faux ? Donc oui, il ne se comprend pas, mais tant qu’il est heureux, il ne se remettra pas en question. Il n’aime pas souffrir inutilement, alors ce n’est pas pour les autres qu’il entamera ce processus.
Il est assez petit, naïf comme tout avec une apparence enfantine. Il attire les regards, en bien ou en mauvais par son apparence ou par simple curiosité d’une personne différent sur bien des points. Sur le haut de sa tête, ses cheveux étaient claire, bleu gris, changeant selon la lumière donc difficile de mettre un nom précis sur cette couleur, appelons ses cheveux, cheveux et puis c’est tout. Un corps loin d’être musclé, mais assez actif pour subir ses envies. Pour lui, une règle a respecté : ne jamais porté de noir. Couleur du diable, dit-il !
Fausses plantes ! (Tars)
TarsalMâleFausse plante Tars est un simple tarsal noyé dans un océan d'amour. Appelé ainsi après avoir découvert que Tars n'était pas son pokémon plante rêvé. Il était auparavant craintif, calme, d'une simplicité absolue. L'amour change tout, puisqu'il est devenu beaucoup plus certain, plus entreprenant même peut-être trop en voulant faire tout pour Estry, il arrive à se mettre dans des situations impensables. Empoté comme son meilleur ami, il est destiné à devenir un Gallame, Estry le veut, mais aussi par l'envie de son pokémon" il se jure de trouver une pierre de l'aube avant son évolution finale
Histoire
“L'enfant, à sa naissance, est une âme s'emparant de ses organes ; l'homme qui vit et travaille est une âme servie par ses organes ; le malade est une âme souffrant dans ses organes ; le mourant est une âme abandonnée par ses organes : toujours d'abord une âme.”
Les flocons tombèrent tout doucement par la fenêtre. Un, puis deux, et encore jusqu'à former une couche nacrée de la même couleur que le bâtiment où ils ont décidé de trouver refuge. C'est dans ce doux paysage de ce pays qu'un cri résonna dans l'espace vide ou il est né. C'était doux, accueillant, une famille prête à accueillir le nouveau-née au nom de Nils. La chaleur d'une mère et l'affection d'un père aussi normal que le monde lui-même. Il était à présent dans le monde, dans ce monde qui le porte encore actuellement.
Des mains vinrent le bousculer, il était loin d'être tel la chaleur l'enveloppant quelques instants plutôt. Le nouveau-née, déjà bien secoué par tout le bruit, se mit à pleurer de terreur. Peur oui, pas une émotion, mais l'instinct de l'enfant. Cet instinct qui te pousse à éviter le danger, toutes ces sensations étranges qui dictent la vie des animaux. Minute passa et le corps frêle de l'enfant fut transporté au géniteur. La voix de ce dernier fut réconfortante pour l'enfant. Il avait déjà entendu plusieurs fois, cette voix, ce chaleureux timbre qu'il pouvait différencier des autres sans vraiment comprendre le pourquoi, et sans vraiment s'en soucier. Il se sentait bien ainsi, sentant les vibrations basses sur ses tempes et tout cet amour se transformant en un merveilleux sentiment de sécurité. Plusieurs mains vinrent le toucher, des bouts métalliques lui piqua la peau lui faisant pousser une plainte inaudible, trop fatigué par toutes ses stimulations en si peu de temps. Mais à quoi bon raconter ? Dire qu'il se souvient de tous ses désagréments serait un simple mensonge.
Ça ne change pas. Il changera d’habitat, mais les bruits étaient toujours présents. Ses parents étaient simples et bons, son père, un adorateur de pokémon avec une collection loin d’être moindre et sa génitrice, une simple femme au foyer. Les dérangements étaient nombreux et l’amour également. Il suffit d’un cri, d’un pleur, pour provoquer un tsunami dans cette bâtisse. Au début, cela provoquait un malin plaisir au bébé de voir les visages paniqués venir un par un la voir, mais ce "jeu" devint vite lassant, trop habituelle pour provoquer son amusement.
Les années passèrent, une par une, doucement par le processus naturel de la vie. Ses premiers souvenirs étaient gravés, son intelligence en cours de formation. Il apprit rapidement à ramper pour aller chercher lui-même la chaleur de ses géniteurs. Cela dépassait un besoin, ou un caprice, il avait froid, c’était vitale pour lui. Il allait chercher par lui-même ce qui le faisait vivre. Son cœur battait pour ne pas avoir froid. Dans ce sens, il apprit bien vite à se déplacer, dans l’autre, son apprentissage de la parole traîna en longueur.
Tout ce qu’il voulait, qu’il réclamait lui était donné avant même qu’il en fasse le caprice. Ses envies étaient toujours satisfaites même les plus excentriques. Cela passait au simple patisserie qu’il adorait, au caprice de voir un pokémon insecte avec un chapeau jaune (la couleur est très importante !) danser la valse. N’est ce pas intéressant ? Il était surprotégé, son éducation passablement ratée. C'était leur petit premier, d'une femme dite avec une fertilité moindre. Ils ne souhaitaient que le bonheur d'Estry, prenant pour acquis que le disputer quand il faisait une bêtise entacherait son sourire. Ou encore, que le laisser fouler l'herbe de ses pieds allait le contaminer du poison qu'on appelle la vraie vie. Heureusement, il tourna relativement bien, il était certe un peu excentrique, mais cela se traduisait par une soif d’apprendre. Malheureusement, ses parents recommencèrent avec un nouvel arrivant. C'était un nouveau miracle pour leurs couples. Bien sûr, il encourageait ses parents à avoir d’autre enfant, c’était leur choix, mais il avait l'instinct que leur éducation, dont lui-même souffre ne créera pas deux fois le même être qu’il est. Il ne se prétend pas tout blanc, mais, de son point de vue, il était mieux d’avoir une part d’ombre avec une blancheur bien ancrée que de vaciller entre blanc et noir.
Il a voulu l’expliquer, faire part de ses craintes envers ceux qui était supposé le soutenir. Rien à faire, il ne savait pas, ou peu leur tenir tête. Ce sont ceux qui lui apportent l’amour le tenant en vie après tout. Il n'était que leur enfant, ils lui donnaient déjà tout, n'est ce pas égoïste de remettre en cause leur manière d'éduquer ?
Alors il sortait de plus en plus de sa cabane de savoir qu’était sa chambre, passant les portes de sa grande maison parfois même en brisant les règles. Première pour lui, désobéir à ses figures d'autorité en sortant, par exemple, la nuit. Peu importe, car encore une fois, il ne se faisait jamais sanctionné. Le poussant a recommencé, à fuir au loin, vaquant à ses activités, parfois douteuse, mais qu’il apprécie. Il se promenait de plus en plus, avec une assurance grandissante. De plus en plus loin jusqu’à que son cœur ne le supporte plus et qu’il revienne dans les jupes de sa mère. C'était comme une deuxième enfance, il apprenait le respect en parlant aux autres, l'empathie en écoutant, toutes ses choses qu'il n'a pas fait avant.
C'est ce jour de mars que son avenir changea, du moins une partie de sa vie. Grâce à ce petit homme vert qu’il a aperçu lors d’une énième balade dans un parc, frêle et petit comme lui. Fixant l’un et l’autre, le soleil finit par se coucher sur les deux silhouettes, qui assit ensemble, n’avait pas bougé d’un pouce. Lié à présent, à jamais.
“À présent, je t’aimerais uniquement.”
Les flocons tombèrent tout doucement par la fenêtre. Un, puis deux, et encore jusqu'à former une couche nacrée de la même couleur que le bâtiment où ils ont décidé de trouver refuge. C'est dans ce doux paysage de ce pays qu'un cri résonna dans l'espace vide ou il est né. C'était doux, accueillant, une famille prête à accueillir le nouveau-née au nom de Nils. La chaleur d'une mère et l'affection d'un père aussi normal que le monde lui-même. Il était à présent dans le monde, dans ce monde qui le porte encore actuellement.
Des mains vinrent le bousculer, il était loin d'être tel la chaleur l'enveloppant quelques instants plutôt. Le nouveau-née, déjà bien secoué par tout le bruit, se mit à pleurer de terreur. Peur oui, pas une émotion, mais l'instinct de l'enfant. Cet instinct qui te pousse à éviter le danger, toutes ces sensations étranges qui dictent la vie des animaux. Minute passa et le corps frêle de l'enfant fut transporté au géniteur. La voix de ce dernier fut réconfortante pour l'enfant. Il avait déjà entendu plusieurs fois, cette voix, ce chaleureux timbre qu'il pouvait différencier des autres sans vraiment comprendre le pourquoi, et sans vraiment s'en soucier. Il se sentait bien ainsi, sentant les vibrations basses sur ses tempes et tout cet amour se transformant en un merveilleux sentiment de sécurité. Plusieurs mains vinrent le toucher, des bouts métalliques lui piqua la peau lui faisant pousser une plainte inaudible, trop fatigué par toutes ses stimulations en si peu de temps. Mais à quoi bon raconter ? Dire qu'il se souvient de tous ses désagréments serait un simple mensonge.
Ça ne change pas. Il changera d’habitat, mais les bruits étaient toujours présents. Ses parents étaient simples et bons, son père, un adorateur de pokémon avec une collection loin d’être moindre et sa génitrice, une simple femme au foyer. Les dérangements étaient nombreux et l’amour également. Il suffit d’un cri, d’un pleur, pour provoquer un tsunami dans cette bâtisse. Au début, cela provoquait un malin plaisir au bébé de voir les visages paniqués venir un par un la voir, mais ce "jeu" devint vite lassant, trop habituelle pour provoquer son amusement.
Les années passèrent, une par une, doucement par le processus naturel de la vie. Ses premiers souvenirs étaient gravés, son intelligence en cours de formation. Il apprit rapidement à ramper pour aller chercher lui-même la chaleur de ses géniteurs. Cela dépassait un besoin, ou un caprice, il avait froid, c’était vitale pour lui. Il allait chercher par lui-même ce qui le faisait vivre. Son cœur battait pour ne pas avoir froid. Dans ce sens, il apprit bien vite à se déplacer, dans l’autre, son apprentissage de la parole traîna en longueur.
Tout ce qu’il voulait, qu’il réclamait lui était donné avant même qu’il en fasse le caprice. Ses envies étaient toujours satisfaites même les plus excentriques. Cela passait au simple patisserie qu’il adorait, au caprice de voir un pokémon insecte avec un chapeau jaune (la couleur est très importante !) danser la valse. N’est ce pas intéressant ? Il était surprotégé, son éducation passablement ratée. C'était leur petit premier, d'une femme dite avec une fertilité moindre. Ils ne souhaitaient que le bonheur d'Estry, prenant pour acquis que le disputer quand il faisait une bêtise entacherait son sourire. Ou encore, que le laisser fouler l'herbe de ses pieds allait le contaminer du poison qu'on appelle la vraie vie. Heureusement, il tourna relativement bien, il était certe un peu excentrique, mais cela se traduisait par une soif d’apprendre. Malheureusement, ses parents recommencèrent avec un nouvel arrivant. C'était un nouveau miracle pour leurs couples. Bien sûr, il encourageait ses parents à avoir d’autre enfant, c’était leur choix, mais il avait l'instinct que leur éducation, dont lui-même souffre ne créera pas deux fois le même être qu’il est. Il ne se prétend pas tout blanc, mais, de son point de vue, il était mieux d’avoir une part d’ombre avec une blancheur bien ancrée que de vaciller entre blanc et noir.
Il a voulu l’expliquer, faire part de ses craintes envers ceux qui était supposé le soutenir. Rien à faire, il ne savait pas, ou peu leur tenir tête. Ce sont ceux qui lui apportent l’amour le tenant en vie après tout. Il n'était que leur enfant, ils lui donnaient déjà tout, n'est ce pas égoïste de remettre en cause leur manière d'éduquer ?
Alors il sortait de plus en plus de sa cabane de savoir qu’était sa chambre, passant les portes de sa grande maison parfois même en brisant les règles. Première pour lui, désobéir à ses figures d'autorité en sortant, par exemple, la nuit. Peu importe, car encore une fois, il ne se faisait jamais sanctionné. Le poussant a recommencé, à fuir au loin, vaquant à ses activités, parfois douteuse, mais qu’il apprécie. Il se promenait de plus en plus, avec une assurance grandissante. De plus en plus loin jusqu’à que son cœur ne le supporte plus et qu’il revienne dans les jupes de sa mère. C'était comme une deuxième enfance, il apprenait le respect en parlant aux autres, l'empathie en écoutant, toutes ses choses qu'il n'a pas fait avant.
C'est ce jour de mars que son avenir changea, du moins une partie de sa vie. Grâce à ce petit homme vert qu’il a aperçu lors d’une énième balade dans un parc, frêle et petit comme lui. Fixant l’un et l’autre, le soleil finit par se coucher sur les deux silhouettes, qui assit ensemble, n’avait pas bougé d’un pouce. Lié à présent, à jamais.
“À présent, je t’aimerais uniquement.”
Pourquoi éclipse ?
Parce qu'Estry tout simplement ? Il n’est peut-être pas très intelligent, mais il aime apprendre de nouvelle chose et sa curiosité ne disparaît jamais. Il aime explorer et analysé ce qu’il voit, sinon il n'aurait jamais rencontré son pokémon et en général, jamais, sortit de chez lui. Je ne vois pas ce que je peux dire de plus, j'ai simplement pris le groupe qui correspondrait le plus avec mon petit Estry
Lie, ou Dildthdois-je spécifier ?FemelleQcÉtudiant
Comment a-tu découvert le forum ?Par le Pape ! appelé plus communément Lys //paff je cherchais un forum et pour me faire taire la magnifique personne qu'est lys m'a envoyé le liens de ce forum.Ton pokémon préféré :je dirai Mimiqui acuellement, ou les évolutions d’Evee par nostalgie de mon enfance ou encore Latios et Latias encore pour la nostalgie de mon film préféré quand j’étais plus jeune. Ou encore Absol, je ne sais pas pourquoi. En clair: je suis indécis <3As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : le *roulement de tambour* PAPEUn dernier mot ?il est beau mon point: .