Izaiah Lux Silvērsteiń
Feat. Prompto Argentum - Final Fantasy XV
23 ans
Photographe
01.08.97
Aucune Faction
Doublonville
Habite Mirawen
Il/Lui
Pléiade
Solaire
Présent
Indestructible
Insouciant
Irréfléchi
Douteux
Izaiah au corps broyé, mais au cœur indestructible.
Avec le sourire aux yeux et les larmes aux lèvres.
Avec le sourire aux yeux et les larmes aux lèvres.
Quel pieux mensonge ce serait, si un jour on disait que tu n’avais pas changé, que les affres de l’adversité n’avaient rien saccagé.
Ta candeur s’est essoufflée, dissipée, Izaiah.
Elle a laissé place aux nuits écourtées et aux cauchemars tourmentés, n’a jamais cherché à repointer le bout de son nez... Tu n’es plus le même et c’est une vérité contre laquelle il est impossible de se dresser.
Tu as toujours vu le monde à travers des lunettes teintées de rose. C’était ta manière de faire opposition aux horreurs qui bloquent les artères d’une terre souffrante, ta manière d’être bon dans un monde qui ne l’est pas. Pendant toutes ces années, tu as cherché le meilleur en chaque homme, tu as rejeté la part d’ombre qui décolore les âmes… Et ça te réussissait bien, tu sais.
Mais il y a des fatalités contre lesquelles on ne peut s’élever : avec les volutes de fumées de Voltapolis sont décédés des parties de ta légèreté et de ta naïveté.
Enfant condamné à mort le jour de sa naissance, ton existence a toujours été le produit d’une lutte acharnée dont le seul trophée fût quelques années arrachée à la miséricorde d’Arceus.
L’adversité dans chaque acte de ta vie, tu as connu… Et avec elle, le noir des inquiétudes ininterrompues, les plans d’avenir avortés pour ne jamais laisser de traces inachevées et les prémices étouffées de trop nombreux liens brisés.
Tu croyais que les nuages sombres de la misère avaient salué le public, tiré leur révérence… Mais c’était sous-estimer
Il y a de nouveau cette tristesse bien ancrée à tes yeux, Izaiah. Cet éclat éternel de tristesse que même la chaleur de tes sourires ne suffit plus à faire taire. Cette tristesse que tu croyais disparue, fantôme indésirable d’un passé échu.
Pourquoi fallait-il que le monde s’écroule, dis-moi?
Pourquoi fallait-il que tu sois en son centre, que la laideur de ce monde te frappe en plein cœur?
Pourquoi…?
À l’abri de la nostalgie et des funestes mémoires que Lumiris porte en son sein, tu caressais l’espoir de pouvoir te reconstruire. Tu pensais que Hoenn serait ton salut, que son souffle suffirait à te faire oublier les affres du clair de lune et d’une douleur à tout jamais gravée dans ta peau, dans ton corps désarticulé.
Tu as toujours été trop naïf, trop crédule, Izaiah.
Tu sais pourtant qu’il est impossible de raturer une nuit gorgée d‘atrocités d’un simple claquement de doigts, d’un simple espoir irraisonné… Mais l’optimisme utopique a toujours été une partie de toi.
Il était ton bouclier, cette arme dressée contre l’humanité pour mieux protéger ce cœur démesurément affable et sensible. Il dressait des barrières entre toi et la réalité, te donnait la force de sourire quand on intimait l'ordre aux Hommes de pleurer.
...Et maintenant?
Maintenant, c’est différent. Parfois, même tes éclats de rire spontanés manquent de sincérité.
Tu étouffes la vérité, mais il suffit de te contempler pour réaliser, lorsque tu te crois à l’abri de l’indiscrétion des regards, qu’une ombre trompe parfois l’éclat qui illumine tes prunelles.
Toi même tu sais : tu as toujours été un pilier, un perchoir pour les oiseaux blessés… C’est une confiance d’une valeur inestimée, un honneur que tu ne souhaiterais en aucun cas sacrifier.
Alors jamais tu ne mentionnes les nuits écourtées ni la terreur qui te maintient éveillé. De toujours, tu existes pour donner à d’autres la force d’exister à leur tour… Tes années de sursit, ce prolongement inespéré de ta vie, ne sont qu’un cadeau offert aux âmes désillusionnées.
De ce simple fait, tu n’as pas le droit d’être faible, de cesser d’être toi-même. Tu n’as pas le droit de cracher sur la chance que tu as de respirer.
Alors souris.
Ne libère jamais le monde ta douceur, de ton insouciance. Même si ta vie devient une véritable comédie et que ton rire se casse à la tombée de la nuit, ne cesse jamais d’être fort pour le salut de tous ceux qui ne le sont plus…
Continue de faire passer l’Humanité avant toi et de croire qu’il n’y a ainsi que tu pourras recoller les pots cassés par les années volées...
En bref; Victime de terreurs nocturnes et d’insomnies fréquentes ✦ A assisté à l’amputation totale de son bras gauche lors des événements de la Centrale ✦ Fake ✦ Accorde plus d’importance au bonheur des autres qu’au sien ✦ S’est remis d’une transplantation cardiaque à dix-huit ans ✦ Cheveux blonds naturels ✦ Ex-coordinateur & étoile montante ✦ Possédait une chaîne pokétube qu’il a fermé sans préavis lorsqu’il a quitté Lumiris ✦ A passé beaucoup trop de temps dans les hôpitaux à aider bénévolement le personnel de l’aile psychiatrique ✦ Originaire de Doublonville à Johto ✦ Apprivoise difficilement sa peur des fantômes ✦ Garde plusieurs séquelles d’une enfance surprotégée et d’une mère possédant un léger syndrome de Münchhausen par procuration ✦ Prend régulièrement des immunosuppresseurs ✦ Fait l’objet de taches de rousseurs au niveau du nez et sous les yeux ✦ Ne consomme ni tabac ni alcool ✦ Porte parfois des lunettes de vue rouges ✦ Photographe depuis ses 19 ans ✦ Possède un faible pour les rousses ✦ Membre du Doduotuor avec Kiana ✦ Fait rarement mention de sa greffe ✦ Magnifiques yeux bleus toujours brillants ✦ Entretient un amour sincère pour l’homme ✦ Tente constamment d’être une meilleure version de lui-même ✦ Meilleure tendance aux malaises qu’aux épisodes de flirt ✦ Donne continuellement sans compter ✦ Peur paralysante de son image sur un écran ✦ Pas toujours très futé ✦ Un mètre soixante quinze et fine musculature très récente ✦ Syndromes du sauveur et du survivant ✦ Tendance aux repas faciles plutôt que santé, le congelé y a que ça de vrai
Plus précieux que la prunelle de tes yeux, Pandore est le dernier lien qui t’unit à elle.
Présent offert lors de vos premières sorties, de vos premiers balbutiements amoureux, l’osselait représente désormais tout ce que tu as froidement abandonné à Hoenn. Il est ton ultime souvenir d’elle et le seul pokémon auquel tu n’as pas pu promettre une nouvelle vie faite de palpitations. D’entre tous les membres de ton équipe, Pandore est le seul à ne pas avoir quitté la chaleur de ton foyer.
Désormais, votre lien est plus fort que jamais. Même si ses yeux sont constamment noyés de larmes depuis votre départ de l’archipel, tu sais que son manque d’elle ne joue pas sur son amour pour toi. Tu l’as arraché aux prémices d’une famille heureuse, mais tu sais que tout n’est pas fini pour lui.
En espérant que tu sauras être à la hauteur de son cœur d’enfant...
Présent offert lors de vos premières sorties, de vos premiers balbutiements amoureux, l’osselait représente désormais tout ce que tu as froidement abandonné à Hoenn. Il est ton ultime souvenir d’elle et le seul pokémon auquel tu n’as pas pu promettre une nouvelle vie faite de palpitations. D’entre tous les membres de ton équipe, Pandore est le seul à ne pas avoir quitté la chaleur de ton foyer.
Désormais, votre lien est plus fort que jamais. Même si ses yeux sont constamment noyés de larmes depuis votre départ de l’archipel, tu sais que son manque d’elle ne joue pas sur son amour pour toi. Tu l’as arraché aux prémices d’une famille heureuse, mais tu sais que tout n’est pas fini pour lui.
En espérant que tu sauras être à la hauteur de son cœur d’enfant...
Pandore
Osselait
Mâle
Pleurnichard
Quai d'embarcation de NénucriqueSur lequel j'ai fais l'erreur d'abandonner toutes nos cicatrices...
« Je suis désolé... », murmures-tu d’une voix cassée.
C’est dur, tu sais, d’abandonner derrière soi la personne que l’on a le plus aimé.
Dur faire des choix, de réaliser que l’on s’est trompé. Dur de regretter.
Le cœur gros et l’âme noyée sous le flot intarissable des sanglots, tu arraches péniblement ta main à la douceur des siennes. Vainement, tu tentes de braquer l’indifférence comme seule arme entre vous, mais le soubresaut d’une mâchoire trop serrée et le tremblement d'une main trop stressée te trahissent.
Peut-on vraiment justifier une telle décision?
Peut-on vraiment expliquer un tel sacrifice?
De tourner le dos à un cœur amoureux pour rejoindre le théâtre encore fumant de mille souffrances?
Ton cœur te hurle que la raison est déraisonnable et tu ne saurais lui accorder plus de crédit : la décision que tu t’apprêtes à installer entre vous est insensée.
Et pourtant, tu ne saurais en réfuter la nécessité…
« Je dois y aller. », ta voix est faite d’assurance simulée pour qu’en elle jamais elle ne trouve le courage de te raisonner. Tu sais qu’il suffirait d’un mot, d’une parole pour te convaincre de rester, d’abandonner cette idée irrationnelle, mais c’est un pouvoir que tu ne peux lui agréer.
Il est temps pour toi de rentrer à la maison, de remettre les pieds à Lumiris.
Déposant un baiser sur le sommet de son crâne, tu veilles à ne pas te brûler au feu de sa chevelure et de ses yeux.
Quelques secondes plus tard, tu t’assoies loin du hublot et des souvenirs abandonné sur le quai.
Lumiris n’était pas le conte de fées dont tu avais si longtemps rêvé. L’an dernier, tu avais succombé à ton désir d’émancipation et vaincu tes peurs ainsi que celles de ta mère pour mieux embrasser ton envie idéalisée d’une vie sans l’ombre de la maladie.
Ça ne t’avait pas aussi bien réussi que tu l’avais souhaité… Et tout avait tourné au cauchemar lorsque Voltapolis avait été attaquée. Période noire de ta vie, sombre voile des échecs répétés.
Tu avais tenté de te prouver, de justifier ta survie dans un monde qui te boycottait sans cesse… Tu avais foncé tête baissée dans la cacophonie des cris et des déflagrations. Tu y avais laissé ton bras ainsi que le socle fragile sur lequel reposait ta santé mentale.
Le son du sifflet qui rattache le navire à la terre est la dernière chose dont tu as conscience avant d’entreprendre ton départ de Hoenn. Dans le silence austère de ta cabine, tu tentes de garder tes yeux loin de l’embarcadère qui s’éloigne avec tes souvenirs les plus chers et de cet archipel gorgé de tes promesses.
D’un geste inconscient, tu glisses ta main dans la poche droite de ton jean pour sentir le contact froid d’une pokéball contre la pulpe de tes doigts.
Tout irait bien et, même si tu y croyais moyen, tu veillerais à ne jamais cesser de le répéter...
Parce que c’était ton dernier espoir auquel te rattacher, parce que tu ne pouvais concevoir d’abandonner consciemment les prémices de jours heureux pour te jeter au cœur de l’enfer.
Il te fallait une raison, une explication, faire face à tes démons… Et fuir les lieux des attentas avec l’élue de ton cœur n’était pas une solutions.
À tes côtés ne restait que Pandore, témoin silencieux de vos premiers balbutiements amoureux et cadeau immensément précieux.
Six mois s’étaient écoulés depuis l’attaque et tu ignorais tout de la manière dont Lumiris s’était redressée face à l’adversité. Ta terre d’adoption était devenu un titanesque mystère qu’il te faudrait décortiquer… Et tu ne savais pas comment le pardon s’inscrirait dans le cœur des gens ainsi que des pokémons que tu avais abandonnés.
C’était inquiétant de se présenter au proche éteint des cœurs endeuillés. Saurais-tu leur expliquer ton silence, ta lâcheté navrante? Comprendraient-ils? Tu avais toujours eu cette prédisposition à la fuite plutôt qu’à la réparation des pots cassés. Même s’il était possible d’argumenter, ton départ de Johto était rien de plus que le premier témoin réservé de ta couardise.
À chaque fois que le monde s’envenimait de la même malveillance, tu sentais grandir en toi la nécessité de recommencer à zéro… Comme si c’était une solution à toux les maux.
Peut-être estimais-tu que la vie était trop courte pour être sacrifiée aux pages du malheur. Ta vie avait toujours été chronométrée, tenue en otage par la malignité du destin… N’était-ce pas normal, tôt ou tard, de tenter d’échapper aux griffes de l’adversité?
Et même si aujourd’hui était un jour nouveau et que la menace d’un corps traître s’était dissipée, certaines appréhensions était impossibles à effacer.
Maintenant que tu ne servais plus au bonheur des hommes, tu craignais que l’ange de la mort ne vienne faucher ce qu’il te restait d’années à combler… Après tout, à quoi bon exister sous la gouvernance d’une mission échouée?
« Je suis désolé... », murmures-tu d’une voix cassée.
C’est dur, tu sais, d’abandonner derrière soi la personne que l’on a le plus aimé.
Dur faire des choix, de réaliser que l’on s’est trompé. Dur de regretter.
Le cœur gros et l’âme noyée sous le flot intarissable des sanglots, tu arraches péniblement ta main à la douceur des siennes. Vainement, tu tentes de braquer l’indifférence comme seule arme entre vous, mais le soubresaut d’une mâchoire trop serrée et le tremblement d'une main trop stressée te trahissent.
Peut-on vraiment justifier une telle décision?
Peut-on vraiment expliquer un tel sacrifice?
De tourner le dos à un cœur amoureux pour rejoindre le théâtre encore fumant de mille souffrances?
Ton cœur te hurle que la raison est déraisonnable et tu ne saurais lui accorder plus de crédit : la décision que tu t’apprêtes à installer entre vous est insensée.
Et pourtant, tu ne saurais en réfuter la nécessité…
« Je dois y aller. », ta voix est faite d’assurance simulée pour qu’en elle jamais elle ne trouve le courage de te raisonner. Tu sais qu’il suffirait d’un mot, d’une parole pour te convaincre de rester, d’abandonner cette idée irrationnelle, mais c’est un pouvoir que tu ne peux lui agréer.
Il est temps pour toi de rentrer à la maison, de remettre les pieds à Lumiris.
Déposant un baiser sur le sommet de son crâne, tu veilles à ne pas te brûler au feu de sa chevelure et de ses yeux.
Quelques secondes plus tard, tu t’assoies loin du hublot et des souvenirs abandonné sur le quai.
Lumiris n’était pas le conte de fées dont tu avais si longtemps rêvé. L’an dernier, tu avais succombé à ton désir d’émancipation et vaincu tes peurs ainsi que celles de ta mère pour mieux embrasser ton envie idéalisée d’une vie sans l’ombre de la maladie.
Ça ne t’avait pas aussi bien réussi que tu l’avais souhaité… Et tout avait tourné au cauchemar lorsque Voltapolis avait été attaquée. Période noire de ta vie, sombre voile des échecs répétés.
Tu avais tenté de te prouver, de justifier ta survie dans un monde qui te boycottait sans cesse… Tu avais foncé tête baissée dans la cacophonie des cris et des déflagrations. Tu y avais laissé ton bras ainsi que le socle fragile sur lequel reposait ta santé mentale.
Le son du sifflet qui rattache le navire à la terre est la dernière chose dont tu as conscience avant d’entreprendre ton départ de Hoenn. Dans le silence austère de ta cabine, tu tentes de garder tes yeux loin de l’embarcadère qui s’éloigne avec tes souvenirs les plus chers et de cet archipel gorgé de tes promesses.
D’un geste inconscient, tu glisses ta main dans la poche droite de ton jean pour sentir le contact froid d’une pokéball contre la pulpe de tes doigts.
Tout irait bien et, même si tu y croyais moyen, tu veillerais à ne jamais cesser de le répéter...
Parce que c’était ton dernier espoir auquel te rattacher, parce que tu ne pouvais concevoir d’abandonner consciemment les prémices de jours heureux pour te jeter au cœur de l’enfer.
Il te fallait une raison, une explication, faire face à tes démons… Et fuir les lieux des attentas avec l’élue de ton cœur n’était pas une solutions.
À tes côtés ne restait que Pandore, témoin silencieux de vos premiers balbutiements amoureux et cadeau immensément précieux.
Six mois s’étaient écoulés depuis l’attaque et tu ignorais tout de la manière dont Lumiris s’était redressée face à l’adversité. Ta terre d’adoption était devenu un titanesque mystère qu’il te faudrait décortiquer… Et tu ne savais pas comment le pardon s’inscrirait dans le cœur des gens ainsi que des pokémons que tu avais abandonnés.
C’était inquiétant de se présenter au proche éteint des cœurs endeuillés. Saurais-tu leur expliquer ton silence, ta lâcheté navrante? Comprendraient-ils? Tu avais toujours eu cette prédisposition à la fuite plutôt qu’à la réparation des pots cassés. Même s’il était possible d’argumenter, ton départ de Johto était rien de plus que le premier témoin réservé de ta couardise.
À chaque fois que le monde s’envenimait de la même malveillance, tu sentais grandir en toi la nécessité de recommencer à zéro… Comme si c’était une solution à toux les maux.
Peut-être estimais-tu que la vie était trop courte pour être sacrifiée aux pages du malheur. Ta vie avait toujours été chronométrée, tenue en otage par la malignité du destin… N’était-ce pas normal, tôt ou tard, de tenter d’échapper aux griffes de l’adversité?
Et même si aujourd’hui était un jour nouveau et que la menace d’un corps traître s’était dissipée, certaines appréhensions était impossibles à effacer.
Maintenant que tu ne servais plus au bonheur des hommes, tu craignais que l’ange de la mort ne vienne faucher ce qu’il te restait d’années à combler… Après tout, à quoi bon exister sous la gouvernance d’une mission échouée?
Pourquoi les Pléiades ?
Ta dévotion pour la photographie et pour la coordination ont toujours témoignés à ta place de ton amour sincère pour l’art. À tes yeux, la question ne se pose même pas : tu es l’archétype même du pléiade par excellence.
Versé dans l’expression de tes domaines artistiques, tu tires constamment profit de ton ouverture d’esprit et de ton caractère extraverti pour grandir et en peaufiner la maîtrise. Tu n’as jamais réussi à rentrer dans une case, à te contenter d’un petit boulot ordinaire et tu n’entends pas à t’épanouir ailleurs que dans affirmation de ton imagination débordante.
Tu veux voir le monde se dévoiler sous de nouvelles couleurs, sous de nouveaux angles… Et c’est là ta plus belle preuve d’appartenance à ce groupe.
Versé dans l’expression de tes domaines artistiques, tu tires constamment profit de ton ouverture d’esprit et de ton caractère extraverti pour grandir et en peaufiner la maîtrise. Tu n’as jamais réussi à rentrer dans une case, à te contenter d’un petit boulot ordinaire et tu n’entends pas à t’épanouir ailleurs que dans affirmation de ton imagination débordante.
Tu veux voir le monde se dévoiler sous de nouvelles couleurs, sous de nouveaux angles… Et c’est là ta plus belle preuve d’appartenance à ce groupe.
Pseudo(s): TakeItEzy
Âge: 24 ans
Localisation: Montréal (Québec)
Pronom(s): Il/Lui
Âge: 24 ans
Localisation: Montréal (Québec)
Pronom(s): Il/Lui
Comment nous as-tu trouvé ? // Par le biais d'une amie qui n'a malheureusement pas fait long feu. Paix à son âme !
Ton Pokémon préféré ? // Milobellus depuis 2004
As-tu un parrain ? // Le staff est mon parrain. Et ma famille. Et mon amour de jeunesse... Pas tout en même temps idéalement.
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // [Réponse en chargement]
Un dernier mot ? // C'est entre toi & moi, Dusk. On repart à zéro, on fait un retour dans le temps : Septembre 2019 - nos débuts - et on réapprend à s'aimer. Tu penses qu'on peut le faire ? J'y crois. MAJ FEVRIER: Ça va mieux.
Ton Pokémon préféré ? // Milobellus depuis 2004
As-tu un parrain ? // Le staff est mon parrain. Et ma famille. Et mon amour de jeunesse... Pas tout en même temps idéalement.
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // [Réponse en chargement]
Un dernier mot ? // C'est entre toi & moi, Dusk. On repart à zéro, on fait un retour dans le temps : Septembre 2019 - nos débuts - et on réapprend à s'aimer. Tu penses qu'on peut le faire ? J'y crois. MAJ FEVRIER: Ça va mieux.