Ahmès Khani Bâal
Feat Dark Bane de Star Wars
40 ans 01 Avril 1979 Kantô Homme Mercenaire Pulsar
IrritableDéloyalPeu agileObstiné
MéticuleuxOpiniâtreTéméraireInsensible
IrritableDéloyalPeu agileObstiné
Description
Au fond de chaque homme, il y a un mal qui ne dort jamais. En dépit de toutes les années passées sacrifiées au nom d'une introspection spirituelle sensée endiguer le flot de désirs et d'avidité de ce sombre olibrius, rien n'a jamais su effacer toute trace de ténèbres au fond de son âme.
Au contraire.
Après de multiples décennies de labeur psychologique, l'ancien moine a fini par se résigner et, somme de son indignation, son esprit s'est laissé gangrené par une noirceur véritable qui gisait là, tapie au fond de lui et constamment refoulée dans les méandres de son âme défigurée. Indigné par cette défaite contre lui-même, un combat de soi à soi qu'il avait ardemment livré au nom d'une sacro-sainte vertu, Ahmès qui devint plus tard le Moine Sombre a depuis troqué le sourire d'une bienveillance forcé contre un regard noir incarnant le mal. Dès lors, il est devenu ce qu'il devait être depuis toujours.
Un être gouverné par ses besoins immédiats et habité par un certain égocentrisme non dissimulé. Effaçant sa part de lumière pour détruire un faux Ahmès, qu'il avait fabriqué de toutes pièces pour épouser les dogmes prônés par son temple, le Moine Sombre s'est démasqué dans sa véritable nature : un animal déguisé en homme. Un être instinctif gouverné par son intérêt personnel, utilisant les pokemons à ses propres fins quitte à les sacrifier. Ses yeux cerclés de noirs et farouches, son teint gris et ridé, son squelette avoisinant les deux mètres : le gentil Salamèche est devenu le maléfique Dracaufeu.
Pour autant, eu égard à son éducation monastique, des débris de son passé continuent d'ensevelir la terre de son âme ; aussi ne faut-il pas se leurrer en négligeant une part de bonté existante, camouflée par son physique peu avenant.
Doduo
DuoiseauMâleBien qu'étant classé comme un pokemon de type Vol, Doduo ne possède ni ailes, ni plumes. Au lieu de tout cela, son corps s'est octroyé deux têtes d'autruche un peu sordides, souvent fâchées, se disputant très régulièrement la bectée bien qu'ayant le même estomac, ce qui semble à certains égards être un comble pour l'oiseau siamois.
Autour de leurs deux cous noirs (puisque ce sont des mâles) pendent des talismans dorés. Une décoration offerte par leur maître pour pouvoir les distinguer de leurs semblables, des bijoux sans doute de plus grande valeur que le spécimen en lui-même, troqué contre quelques pokédollars à d'affreux escrocs, près de sa ville d'origine.
Depuis cette malhonnête acquisition, le Duduo s'est acclimaté au tempérament pour le moins imprévisible de son possesseur. Ayant à coeur de ne pas être sacrifié par celui-ci, le malheureux oiseau ne cesse de prodiguer des efforts pour apprivoiser le peu de bienveillance qui reste en lui : faisant de ce binôme maître-pokemon une association particulière en l'état.
Autour de leurs deux cous noirs (puisque ce sont des mâles) pendent des talismans dorés. Une décoration offerte par leur maître pour pouvoir les distinguer de leurs semblables, des bijoux sans doute de plus grande valeur que le spécimen en lui-même, troqué contre quelques pokédollars à d'affreux escrocs, près de sa ville d'origine.
Depuis cette malhonnête acquisition, le Duduo s'est acclimaté au tempérament pour le moins imprévisible de son possesseur. Ayant à coeur de ne pas être sacrifié par celui-ci, le malheureux oiseau ne cesse de prodiguer des efforts pour apprivoiser le peu de bienveillance qui reste en lui : faisant de ce binôme maître-pokemon une association particulière en l'état.
Histoire
Après une enfance assez classique, le moineau s'installa sur les terres proches de Safrania à Kantô, ville réputée pour son arène de pokemons Psy, et bien évidemment dès lors considérée à bien des égards comme une terre de recueillement sur soi-même, de spiritualité et de transcendance, ce que le futur adepte monastique ne tarderait pas à expertiser. Après avoir été instruit dans une école religieuse focalisant sa pédagogie sur l'éveil, Ahmès intériorisa tous ses besoins avec la volonté de devenir une sorte d'être habité par la sainteté, le plus pur qu'il puisse être, au service de ses aînés qui, en diffusant leur doctrine, lui rasèrent le crâne pour la première fois.
Son parcours se poursuivit alors même qu'il caressait l'âge adulte. Se dévouant corps et âme à la doctrine de son temple, il se consacra à de longues heures de lecture et de méditation, effaça les pulsions matérialistes qui le poussaient à vouloir toujours retourner vers la ville, sacrifia son avidité à la faveur d'une profonde volonté de servitude, au point de se déshumaniser d'une certaine façon pour être le domestique parfait, avant de pouvoir devenir un jour un véritable maître à penser.
A ses côtés, un Soporifik lui servait de camarade et guide. Au jour le jour, son compagnon l'aidait à maîtriser ses débordements et au gré de nombreuses séances d'hypnose, le pokemon Psy l'aida à sortir de sa peau pour transcender sa pensée ; une façon, pour eux, de rejoindre l'essence de ce monde dans sa substance immatérielle, et de ne plus vivre à travers le socle charnel qui d'une certaine manière était la prison de tout être vivant, mais bel et bien à vivre dans une sorte d'aura permanente qui était à la base des énergies de ce monde. Seulement, pour baigner dans cette atmosphère sacrée, il fallait pouvoir s'extirper des filtres psychologiques barricadant les possibles du vivant, enfermant l'esprit sous le crâne ; en d'autres termes, pour voir ce monde dans sa plus stricte forme, il fallait accepter de consentir à mourir à l'intérieur de son âme, ce que peu d'adeptes en réalité étaient capables de faire.
Ahmès ne parvint jamais à atteindre l'état de transcendance et à baigner dans l'aura. Son esprit était trop fragile, ses pulsions trop nombreuses, ses sentiments trop forts pour pouvoir sortir de ses instincts ; quand bien même était-il sous un hypnose, il ne parvenait tout au plus qu'à avoir de brèves idées de cette dimension onirique prônée par ses maîtres, et enviée par leurs élèves. La rigueur et l'abnégation nécessaires à cette soumission du soi étaient tels qu'il ne savait aboutir à sa consécration personnelle : alors, c'était comme mettre des coups d'épée dans l'eau.
Au fil du temps, sa patience fut de plus en plus fébrile, sa ferveur de moins en moins flamboyante, alors qu'autour de lui le monde lui semblait devenir de plus en plus hostile : avec l'âge, il commença à mieux comprendre les hommes, leur vanité, leur noirceur, et tout ce qu'il pouvait voir ne faisait que l'enfermer dans une infâme certitude, celle qu'un monde dominé par le chaos, où les puissants étaient de ceux qui avaient accepté de sacrifier leur dignité et leur vertu au service du pouvoir.
Le pouvoir. Alors qu'il passait le cap de la trentaine, le pouvoir fut ce qui le détourna de sa première voie. Un jour qu'il errait dans les bois, il fut frappé de découvrir l'un de ses frères gisant à terre, dénudé et dépossédé de tous ses biens, quand bien même ce dernier lui avoua n'en avoir eu que très peu lors de son périple. En ramassant le moine fustigé, il découvrit que ce dernier possédait un étrange tatouage dans le dos, une marque symbolique à laquelle il n'avait jamais prêté attention. Elle ressemblait à l'ombre d'un pokemon dont il ne parvenait à situer la silhouette, ce qui en faisait une chimère. Cependant qu'il observait ce curieux symbole, l'individu sembla gêné et se détourna de ses yeux, tout en expliquant les raisons de son détroussage musclé qui n'était rien d'autre que la vanité de quelques brigands bafouant les règles de la foi pour se remplir les poches. Il évoqua alors la cupidité des autres et la nécessité de garder le cap et les yeux tournés vers la pureté, de sorte à ne pas se laisser conquérir par l'esprit de vengeance. Mais déjà le mal était fait. Ahmès, en écoutant les paroles de son compère, se rendît compte qu'une immense colère l'avait déjà envahi, et cela en dépit de tous les efforts qu'il avait fait au cours de sa vie pour éliminer ses pulsions primaires.
« Frère, veux-tu bien me pardonner ? L’espace d’un bref instant, j’ai eu comme une envie de te venger. La colère a rempli mes veines, et j’ai eu la sensation de me remplir d’une aura plus obscure que celle que nous travaillions.
- Je te pardonne. Mais ne laisse pas tes sentiments obscurcir ta raison. J’ai eu beaucoup de mal, moi-même, à ne pas me laisser dominer par la peur lorsqu’ils m’ont attaqué. Mais regarde : je n’ai rien.
- Et c’est lorsque nous n’avons plus rien que nous découvrons tout. »
Avaient-il récité ensemble de concert, marqués par les préceptes de leur temple. Seulement, la phrase n’était qu’une mécanique bien rôdée ; insidieusement, le mal s’était déjà répandu et son esprit avait été ébranlé. En plus de vouloir retrouver les brigands pour venger son frère, Ahmès avait depuis la volonté de découvrir ce que signifiait cette mystérieuse forme dessinée dans le dos de son semblable monastique ; même en se plongeant dans la littérature, il ne découvrit rien qui s’apparentait à cette forme. Rien que des chimères, des nébuleuses dorées en apparence, vides de sens à l’intérieur.
La forme, mais pas le fond.
Lorsqu’il tenta d’obtenir des réponses, on le manipula pour l’écarter de ce désir curieux, en lui reprochant d’être trop appâté par la volonté de savoir ; il n’osa pas alors rétorquer que chaque moine, en soi, pouvait être une sorte d’avare en désirant devenir le plus pur possible, ce qui n’était au fond qu’une autre manifestation, sans doute plus bienveillance, d’une obéissance à sa volonté.
La rupture ne tarda pas. L’injustice qu’il avait ressenti et la colère qui en avait jailli pour son frère lésé avaient disparu, mais au lieu de ça une nouvelle pulsion de haine avait germé en lui, faute d’être considéré, du haut de son âge désormais raisonnable, comme un figurant de seconde zone.
La mort du Soporifik qui l’avait accompagné fut le point de chute achevant de le détourner de son temple. Il enterra de lui-même le pokemon qui l’avait irréprochablement guidé sur sa voie toute sa vie durant, puis mis le feu à son propre appartement, avant de s’engager sur la route.
Son cœur était en quête d’un savoir interdit, peut-être profane, que ses frères avaient toujours lui cacher. Envisageant sa situation comme un échec, il se laissa conquérir par sa part sombre, et se rendît compte alors que sa vie prenait un nouveau tournant, et l’invitait un peu plus à s’emparer du pouvoir. Ses premiers pas dans une quête plus sombre furent ceux qui le poussèrent au vol, à plusieurs reprises. Il se retrouva parfois, contre toute attente, à fuir et, plus tard, à combattre. Grâce à son entraînement spirituel qui semblait lui permettre de tout endurer, il avisa qu’il était plus solide que ses congénères et cela le poussa, en fin de course, à choisir le mercenariat pour survivre.
C’est de là qu’il tira son nom. Le Moine Sombre, qui de ses poings savait terrasser ses cibles avant même que tout pokemon ne soit sorti, pour récolter des primes ou des tributs. Un long parcours plongé dans la criminalité fut alors celui qui fonda les rides sur son visage ; le manque de sommeil cercla ses yeux de noirs, et son sourire disparût aussi vite qu’il commença à se complaire dans cette voie moins dévote, plus réelle.
Mais sa quête spirituelle n’était pas achevée pour autant. Après une lecture, il découvrit que le pokemon recherché et la marque de son confrère avaient une source puisée dans les mythes de Lumiris. Après avoir acheté un compagnon de route, il décida de se faire passer pour un dresseur et de se lancer dans un périple nouveau, sur des terres étrangères…
Son parcours se poursuivit alors même qu'il caressait l'âge adulte. Se dévouant corps et âme à la doctrine de son temple, il se consacra à de longues heures de lecture et de méditation, effaça les pulsions matérialistes qui le poussaient à vouloir toujours retourner vers la ville, sacrifia son avidité à la faveur d'une profonde volonté de servitude, au point de se déshumaniser d'une certaine façon pour être le domestique parfait, avant de pouvoir devenir un jour un véritable maître à penser.
A ses côtés, un Soporifik lui servait de camarade et guide. Au jour le jour, son compagnon l'aidait à maîtriser ses débordements et au gré de nombreuses séances d'hypnose, le pokemon Psy l'aida à sortir de sa peau pour transcender sa pensée ; une façon, pour eux, de rejoindre l'essence de ce monde dans sa substance immatérielle, et de ne plus vivre à travers le socle charnel qui d'une certaine manière était la prison de tout être vivant, mais bel et bien à vivre dans une sorte d'aura permanente qui était à la base des énergies de ce monde. Seulement, pour baigner dans cette atmosphère sacrée, il fallait pouvoir s'extirper des filtres psychologiques barricadant les possibles du vivant, enfermant l'esprit sous le crâne ; en d'autres termes, pour voir ce monde dans sa plus stricte forme, il fallait accepter de consentir à mourir à l'intérieur de son âme, ce que peu d'adeptes en réalité étaient capables de faire.
Ahmès ne parvint jamais à atteindre l'état de transcendance et à baigner dans l'aura. Son esprit était trop fragile, ses pulsions trop nombreuses, ses sentiments trop forts pour pouvoir sortir de ses instincts ; quand bien même était-il sous un hypnose, il ne parvenait tout au plus qu'à avoir de brèves idées de cette dimension onirique prônée par ses maîtres, et enviée par leurs élèves. La rigueur et l'abnégation nécessaires à cette soumission du soi étaient tels qu'il ne savait aboutir à sa consécration personnelle : alors, c'était comme mettre des coups d'épée dans l'eau.
Au fil du temps, sa patience fut de plus en plus fébrile, sa ferveur de moins en moins flamboyante, alors qu'autour de lui le monde lui semblait devenir de plus en plus hostile : avec l'âge, il commença à mieux comprendre les hommes, leur vanité, leur noirceur, et tout ce qu'il pouvait voir ne faisait que l'enfermer dans une infâme certitude, celle qu'un monde dominé par le chaos, où les puissants étaient de ceux qui avaient accepté de sacrifier leur dignité et leur vertu au service du pouvoir.
Le pouvoir. Alors qu'il passait le cap de la trentaine, le pouvoir fut ce qui le détourna de sa première voie. Un jour qu'il errait dans les bois, il fut frappé de découvrir l'un de ses frères gisant à terre, dénudé et dépossédé de tous ses biens, quand bien même ce dernier lui avoua n'en avoir eu que très peu lors de son périple. En ramassant le moine fustigé, il découvrit que ce dernier possédait un étrange tatouage dans le dos, une marque symbolique à laquelle il n'avait jamais prêté attention. Elle ressemblait à l'ombre d'un pokemon dont il ne parvenait à situer la silhouette, ce qui en faisait une chimère. Cependant qu'il observait ce curieux symbole, l'individu sembla gêné et se détourna de ses yeux, tout en expliquant les raisons de son détroussage musclé qui n'était rien d'autre que la vanité de quelques brigands bafouant les règles de la foi pour se remplir les poches. Il évoqua alors la cupidité des autres et la nécessité de garder le cap et les yeux tournés vers la pureté, de sorte à ne pas se laisser conquérir par l'esprit de vengeance. Mais déjà le mal était fait. Ahmès, en écoutant les paroles de son compère, se rendît compte qu'une immense colère l'avait déjà envahi, et cela en dépit de tous les efforts qu'il avait fait au cours de sa vie pour éliminer ses pulsions primaires.
« Frère, veux-tu bien me pardonner ? L’espace d’un bref instant, j’ai eu comme une envie de te venger. La colère a rempli mes veines, et j’ai eu la sensation de me remplir d’une aura plus obscure que celle que nous travaillions.
- Je te pardonne. Mais ne laisse pas tes sentiments obscurcir ta raison. J’ai eu beaucoup de mal, moi-même, à ne pas me laisser dominer par la peur lorsqu’ils m’ont attaqué. Mais regarde : je n’ai rien.
- Et c’est lorsque nous n’avons plus rien que nous découvrons tout. »
Avaient-il récité ensemble de concert, marqués par les préceptes de leur temple. Seulement, la phrase n’était qu’une mécanique bien rôdée ; insidieusement, le mal s’était déjà répandu et son esprit avait été ébranlé. En plus de vouloir retrouver les brigands pour venger son frère, Ahmès avait depuis la volonté de découvrir ce que signifiait cette mystérieuse forme dessinée dans le dos de son semblable monastique ; même en se plongeant dans la littérature, il ne découvrit rien qui s’apparentait à cette forme. Rien que des chimères, des nébuleuses dorées en apparence, vides de sens à l’intérieur.
La forme, mais pas le fond.
Lorsqu’il tenta d’obtenir des réponses, on le manipula pour l’écarter de ce désir curieux, en lui reprochant d’être trop appâté par la volonté de savoir ; il n’osa pas alors rétorquer que chaque moine, en soi, pouvait être une sorte d’avare en désirant devenir le plus pur possible, ce qui n’était au fond qu’une autre manifestation, sans doute plus bienveillance, d’une obéissance à sa volonté.
La rupture ne tarda pas. L’injustice qu’il avait ressenti et la colère qui en avait jailli pour son frère lésé avaient disparu, mais au lieu de ça une nouvelle pulsion de haine avait germé en lui, faute d’être considéré, du haut de son âge désormais raisonnable, comme un figurant de seconde zone.
La mort du Soporifik qui l’avait accompagné fut le point de chute achevant de le détourner de son temple. Il enterra de lui-même le pokemon qui l’avait irréprochablement guidé sur sa voie toute sa vie durant, puis mis le feu à son propre appartement, avant de s’engager sur la route.
Son cœur était en quête d’un savoir interdit, peut-être profane, que ses frères avaient toujours lui cacher. Envisageant sa situation comme un échec, il se laissa conquérir par sa part sombre, et se rendît compte alors que sa vie prenait un nouveau tournant, et l’invitait un peu plus à s’emparer du pouvoir. Ses premiers pas dans une quête plus sombre furent ceux qui le poussèrent au vol, à plusieurs reprises. Il se retrouva parfois, contre toute attente, à fuir et, plus tard, à combattre. Grâce à son entraînement spirituel qui semblait lui permettre de tout endurer, il avisa qu’il était plus solide que ses congénères et cela le poussa, en fin de course, à choisir le mercenariat pour survivre.
C’est de là qu’il tira son nom. Le Moine Sombre, qui de ses poings savait terrasser ses cibles avant même que tout pokemon ne soit sorti, pour récolter des primes ou des tributs. Un long parcours plongé dans la criminalité fut alors celui qui fonda les rides sur son visage ; le manque de sommeil cercla ses yeux de noirs, et son sourire disparût aussi vite qu’il commença à se complaire dans cette voie moins dévote, plus réelle.
Mais sa quête spirituelle n’était pas achevée pour autant. Après une lecture, il découvrit que le pokemon recherché et la marque de son confrère avaient une source puisée dans les mythes de Lumiris. Après avoir acheté un compagnon de route, il décida de se faire passer pour un dresseur et de se lancer dans un périple nouveau, sur des terres étrangères…
Saitô/Shin' 28 ans Mâle Belgique FBI
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