Antares Clovis Makhai
Feat Tobio Kageyama d'Haikyū!!
19 ans 1 Novembre Johto HommeVagabond Nova
DéfautsColériqueOrgueilleuxRancunier
QualitésDéterminéBraveTravaillant
DéfautsColériqueOrgueilleuxRancunier
Description
Comme Icare, Antares possède assez d'orgueil et de témérité pour essayer de s'approcher du soleil, même si la chute qui l'attend peut être mortelle. Effronté, il croit que le monde lui appartient de par sa lignée et ses moyens et même après les avoir perdu, tout ce qu’il veut c’est les retrouver. Son péché capital est la colère qu’il ne peut contrôler, mais qui le contrôle si facilement lorsque l’on discrédite sa couronne ou ignore sa parole et le châtiment arrive peu après. Sa peur devient des coups, ses larmes deviennent des mots acides et sa joie de la suffisance sans borne. Il fait comme si tout lui était facile, qu’il avait le talent des génies sans piper mot de tous les efforts fournis et l’énergie dépensée pour arriver à ces résultats. Sa loyauté est durement acquise, mais éternelle et sans faille pour ceux qui s'en sont montrés dignes, jamais il ne revient sur une promesse, mais n'a aucune pitié pour ceux abusant de sa confiance ou se jouant de lui. Il est également notable de parler du respect sans faille que le jeune homme voue à Ho Oh, sûrement à cause de sa lignée.
“Admirez-moi” crient ses victoires, “j’existe” hurlent ses colères, “ne m’abandonnez pas” pleure son cœur. Des demandes que l’on noie dans les huiles bouillantes de la colère qu’Antares porte envers le monde qui l’a jugé insignifiant. On exige de lui des résultats, des preuves qui feront de lui un membre légitime de l’Éden d’où il a été chassé.
“Contrôle tes ardeurs” clament les juges. Il essaie, mais ça semble si dur de se séparer de ce qui fait avancer depuis si longtemps, comment faire pour ne pas être en perpétuelle danse avec la rage de vivre?
Ses cheveux de couleur onyx flottent au vent alors que le bateau file au travers des vagues le séparant de Lumiris. Une expression sérieuse barre son visage, mais pour une fois il n'y a pas une once de tension ou de colère dans son regard alors que Vilya repose entre ses bras sans tenter de s'échapper de l'emprise de son dresseur. De son mètre 88, il voit le monde en baissant les yeux vers les autres, ce qui a peut-être contribué à sa tendance à prendre le monde de haut. Que ce soit la tour Carillon ou une nouvelle région, ce n'était pas ce qui allait empêcher Antares d'accomplir ses objectifs
Vilya
BibichutFemelleDuo né d'un coup de dé du destin, Vilya n'aime pas beaucoup Antares qui lui rend bien. Ses émotions volcaniques la rende nerveuse et il n'est pas rare de la voir s'enfuir de lui après un combat. Ils restent ensemble car ils n'ont personne d'autre sur qui compter dans cet univers inconnu, même s au fond Antares aimerait pouvoir se rapprocher d'elle peut-être sont-ils somplement trop différents?
Histoire
Couronne de cendres et royaume de fumée, c’est au milieu des volutes d’encens de la tour Carillon que la dynastie commença quand une jeune femme vint adresser ses prière de bonne fortune la nouvelle année qui commençait et c’est alors qu’elle rencontra un certain prêtre qui fit manquer un battement à son coeur. Leur amour était doux et rien ne semblait pouvoir les arrêter ensemble, pas même la famille de la conquise qui se révélait être stricte et très attentive aux choix de celle qui héritera de l’empire pharmaceutique qui s’était construit sur ces terres d’Orient. Ils ont eu la vie dure, mais peu à peu le nouveau venu fut accueilli dans la famille à bras ouverts et l’on entendit bientôt parler du mariage qui était sur toutes les lèvres.
Leur nouvelle vie commença et bien vite les mariés devinrent parent d’un beau petit garçon qu’ils décidèrent d’appeler Orion. L’enfant semblait être un cadeau du ciel, tout ce que de jeunes parents encore un peu incertains de ce qu’ils faisaient pouvait rêver. C’était si beau d’avoir un angelot alors pourquoi pas en avoir deux? Tout semblait parfait quand Antares avait vu le jour, mais l’idylle n’avait pas duré longtemps, car le petit se montrait plus difficile et revêche que son aîné paraît-il. Toujours dans l’ombre du plus talentueux, toujours comparé à celui qui semblait avoir tout eu à la naissance et jamais assez bien pour les standards établis par la perfection, comment faire pour grandir quand on a à peine la place pour respirer?
De l’incompréhension on passa bien vite à la frustration d’être laissé de côté et regardé seulement quand il était temps des critiques et des piques pour lui faire comprendre qu’il pourrait mieux faire. Le masque de suffisance grandis en même temps que sa mèche se raccourcissait et que les mauvais comportements s’exprimaient par des bagarres à l’école, des manque de respects envers les figures d’autorités et bon nombre de fugues. Peu importe les punitions ou les victoires qu’Antares obtenait, ça ne semblait jamais être assez pour satisfaire la monde.
Ses parents et son frère lui avait demandé pourquoi il se battait, pourquoi il traitait les autres comme des êtres inférieurs et d'où lui venait cette colère contre l'existence comme s'ils ne savaient pas. Bien sûr qu'ils étaient innocents, car à leurs yeux c'était normal d'enfoncer le dernier-né et de l'humilier pour qu'il apprenne de ses erreurs, comment ça pourrait mal tourner? Et Orion, ce maudit frère qui le regardait de haut, faussement inquiet de son état et lui disant des conneries du genre "je suis là pour toi" rien que pour se doner bonne consicence avant de retourner léché les bottes des vieux.
Le soir d’un anniversaire pas fêté après une énième punition, une ombre s'enfuit de la maison des Makhai comme un voleur dans la nuit. Ayant pris le nécessaire en matière d'argent pour survivre plusieurs mois dans la nature, Antares était parti sans rien dire à personne, mais ce n’est pas comme si quelqu’un allait s'inquiéter de voir le mouton noir partir. Kalos, Unys, Galar et maintenant Lumiris lui servirait de maison pour l’instant, plus qu’à voir ce que ça va donner.
Leur nouvelle vie commença et bien vite les mariés devinrent parent d’un beau petit garçon qu’ils décidèrent d’appeler Orion. L’enfant semblait être un cadeau du ciel, tout ce que de jeunes parents encore un peu incertains de ce qu’ils faisaient pouvait rêver. C’était si beau d’avoir un angelot alors pourquoi pas en avoir deux? Tout semblait parfait quand Antares avait vu le jour, mais l’idylle n’avait pas duré longtemps, car le petit se montrait plus difficile et revêche que son aîné paraît-il. Toujours dans l’ombre du plus talentueux, toujours comparé à celui qui semblait avoir tout eu à la naissance et jamais assez bien pour les standards établis par la perfection, comment faire pour grandir quand on a à peine la place pour respirer?
De l’incompréhension on passa bien vite à la frustration d’être laissé de côté et regardé seulement quand il était temps des critiques et des piques pour lui faire comprendre qu’il pourrait mieux faire. Le masque de suffisance grandis en même temps que sa mèche se raccourcissait et que les mauvais comportements s’exprimaient par des bagarres à l’école, des manque de respects envers les figures d’autorités et bon nombre de fugues. Peu importe les punitions ou les victoires qu’Antares obtenait, ça ne semblait jamais être assez pour satisfaire la monde.
Ses parents et son frère lui avait demandé pourquoi il se battait, pourquoi il traitait les autres comme des êtres inférieurs et d'où lui venait cette colère contre l'existence comme s'ils ne savaient pas. Bien sûr qu'ils étaient innocents, car à leurs yeux c'était normal d'enfoncer le dernier-né et de l'humilier pour qu'il apprenne de ses erreurs, comment ça pourrait mal tourner? Et Orion, ce maudit frère qui le regardait de haut, faussement inquiet de son état et lui disant des conneries du genre "je suis là pour toi" rien que pour se doner bonne consicence avant de retourner léché les bottes des vieux.
Le soir d’un anniversaire pas fêté après une énième punition, une ombre s'enfuit de la maison des Makhai comme un voleur dans la nuit. Ayant pris le nécessaire en matière d'argent pour survivre plusieurs mois dans la nature, Antares était parti sans rien dire à personne, mais ce n’est pas comme si quelqu’un allait s'inquiéter de voir le mouton noir partir. Kalos, Unys, Galar et maintenant Lumiris lui servirait de maison pour l’instant, plus qu’à voir ce que ça va donner.
Kaliko presque 19 ans Au masculin au-dessus de l'état de NY Presseur et étudiant à mes heures perdues
Comment a-tu découvert le forum ? j'y étais dejaTon pokémon préféré : Milobellus toujoursAs-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : j'aimerais bienUn dernier mot ? Ceci est un reroll hiho, pardon il est un peu angsty, mais bon