Séréna Grace FitzBurgess
Feat Mika Jougasaki de The Idolm@ster : cinderella girls
20 ans 1er janvier GalarFemme Étudiante en école de commerce privéePléiade
DéfautsMenteuseManipulatriceÉteinteCalculatrice
QualitésIntelligenteCharismatiqueBien éduquéeDéterminée
DéfautsMenteuseManipulatriceÉteinteCalculatrice
Description
Elle était belle, Séréna.
Belle quand elle dansait, quand elle riait ; belle surtout quand elle s'oubliait. Paria assumée des faux-semblants et des m'as-tu-vu, fière renégate des bonnes pensées et des conventions.
Toutes ces broderies barbantes dont la noblesse oblige pouvait se passer chez une vraie reine, elle voulait les déchirer pour ne plus en être entravée.
Séréna chantait tel un oiseau en cage, charmait telle la rose magique sous sa cloche de verre. Tout lui était dû sauf le plus important, rien ne lui était refusé sauf la libre pensée. On lui avait appris que le monde serait à ses pieds, qu'elle serait conquérante par droit de sang d'un empire à son nom. On lui avait inculqué les manières, la culture, la répartie ; mais jamais à s'en servir autrement qu'à des fins égoïstes.
Séréna avait été élevée pour régner, pas pour rêver.
Séréna était de cette jeunesse dorée que tout désabusait. Ces gosses habitués trop tôt au pouvoir, qui se perdaient dans la fête et l'alcool pour sentir leurs coeurs battre. Et qui allait la plaindre ? Elle avait tout. Des parents, des femmes de chambre, une renommée, la beauté, l'intelligence. Séréna n'était pas une orpheline à la rue, avec ses cheveux sales et ses haillons. Mais elle portait ce mal-être permanent derrière ses sourires calculés, comme un voile sombre sur sa vie ô si parfaite.
Pourquoi n'était-elle heureuse qu'en apparence ?
Séréna avait été élevée sans tendresse, voilà la source de ses peines. Elle avait si rarement connu les marques d'affection, les moments de complicité ; sa famille avait toujours mieux à faire. Leur grande maison ne dégageait aucune chaleur humaine.
Alors elle aussi a appris à ne pas aimer. Quel malheur pour une jeune femme de n'avoir confiance en personne ; quelle tristesse de savoir qu'une enfant si douce auparavant pouvait devenir aussi froide. Séréna considérait les bénéfices avant l'humain, quitte à enfouir ses propres sentiments avec les leurs.
C'était le jeu.
Mais au fond, Séréna était encore cette fillette qui attendait le prochain cours de balai avec impatience et adorait porter de jolies robes. Une innocente demoiselle qui ignorait les rouages de la société.
Séréna dansait encore, souvent sur d'autres accords. Parfois sous les stroboscopes aveuglants pour oublier le monde, parfois entre les bras d'inconnus qui n'étaient curieux que de son goût sous leurs lèvres.
C'était là le remède le plus efficace qu'elle ait trouvé contre le manque qui l'envahissait : l'amour éphémère d'hommes qui se souciaient d'elle jusqu'au matin.
Séréna était souveraine, une leader née qui n'avait pas froid aux yeux. Lorsqu'elle voulait quelque chose elle l'obtenait, que ce soit par la diplomatie ou en l'arrachant de ses ongles parfaitement manucurés. Élève studieuse dans son école privée, fille modèle aux soirées mondaines, aucun reproche n'était à lui faire sur son image malgré ses déboires nocturnes. Parce que Séréna était douée pour se cacher. Le mensonge était devenu sa seconde nature.
Mais comment s'épanouir, alors qu'elle n'était qu'une jolie poupée dans une boîte à musique minutieusement réglée ? Tandis que ses passions étouffaient, l'ennui et la solitude la rongeaient.
Séréna se mourait dans sa petite vie parfaite.
PHYSIQUE + 1m69 ; 55kg ; cheveux roses au naturel ; yeux bruns ; pas de tatouage ni de piercing ; prend soin d'elle et ça se voit.
London
VoltoutouFemelleLondon, c'est le plus beau cadeau qu'on lui ait fait.
Séréna fêtait son dixième anniversaire lorsqu'elle a fait la rencontre de cette affectueuse boule de poils, au milieu d'autres présents luxuriants. Depuis la jeune femme ne s'imagine plus sans sa présence. Quand elles sont dans sa chambre ce n'est pas rare qu'elle la prenne dans ses bras comme un doudou.
London, c'est une des valeurs sûres de sa vie. Et une affection véritable comme elle en connaît peu.
Séréna fêtait son dixième anniversaire lorsqu'elle a fait la rencontre de cette affectueuse boule de poils, au milieu d'autres présents luxuriants. Depuis la jeune femme ne s'imagine plus sans sa présence. Quand elles sont dans sa chambre ce n'est pas rare qu'elle la prenne dans ses bras comme un doudou.
London, c'est une des valeurs sûres de sa vie. Et une affection véritable comme elle en connaît peu.
Histoire
Ceci est l'histoire d'une princesse sans conte. Une noble naissance sur le berceau de laquelle les fées ne se sont pas penchées. Une petite fille promise à un avenir radieux, sans qu'on lui garantisse le bonheur.
Ceci est l'histoire de Séréna.
Sa venue au monde a été célébrée par maints présents et autres bons vœux. Elle était attendue, Séréna ; par son père qui désirait ardemment perpétuer la lignée, par sa mère qui ne se supportait plus enceinte, par quelques vautours qui couraient après les bonnes grâces (et la fortune) de ses parents.
Quand enfin son premier cri a déchiré l'air, tout le monde s'est réjoui.
Mais pas parce qu'ils l'aimaient déjà.
Séréna a grandi dans l'opulence. Elle avait tout ce qu'une fillette pouvait demander : des tenues, des cours de danse, même un pokémon. Vous auriez dû voir ses fêtes d'anniversaire ! L'immense salon des FitzBurgess paraissait soudain minuscule sous la masse d'invités et de cadeaux.
Plus jeune, elle pensait que tout ce luxe était une forme d'affection. Qu'on tenait réellement à elle. Comment savoir que son monde n'était pas si rose ?
Heureusement, il n'y avait pas que des adultes à ces fêtes luxueuses. C'est grâce à ce genre d'événement que Séréna rencontra deux amis : Allen et Sage. Elle devint rapidement proche d'eux, bien que Sage habite dans une autre région - elles s'invitaient mutuellement à leur anniversaire chaque année.
Séréna n'a pas connu ses premiers élans de tendresse par les baisers de sa mère, ni les bras de son père. Ce fût grâce à Alicia.
Alicia travaillait comme femme de chambre au manoir. Elle était douce, maternelle, généreuse ; tout ce qui était étranger au quotidien de l'héritière.
Séréna s'est naturellement attachée à elle.
Cependant, même cette personne honnête et chaleureuse avait ses secrets.
Un jour, la mère de Séréna découvrit que cette soubrette était aussi l'amante de son époux. Leur mariage n'avait peut-être rien de romantique mais sa fierté ne tolérait pas qu'on l'étiquette comme une femme faible, qui restait avec son compagnon en sachant qu'il la trompait. Elle demanda donc le divorce, non sans mettre l'employée à la porte avant. De là tout changea pour Séréna : plus d'Alicia, des parents divorcés, un aller simple vers Lumiris où elle s'installerait avec papa FitzBurgess.
Elle avait alors douze ans.
Ils étaient à peine arrivés que son géniteur entreprit de la former comme digne successeur. Séréna essaya de lui parler de ses craintes, de lui expliquer qu'elle était déstabilisée par ces grands bouleversements ; il ne l'écouta guère. Elle devait se conformer à ses attentes, point.
Comme ils n'étaient plus que tous les deux, qu'elle voulait lui faire plaisir, Séréna se musela et écouta. Par chance elle pouvait compter sur Allen avec qui elle correspondait à distance et Sage qui habitait la région.
Les premières années Séréna ne se plaignit pas, ne fit aucune vague. C'est au début du lycée qu'elle commença à se lasser de toute cette mascarade - toujours s'assurer qu'on la connaissait, briller en société, se tenir à carreaux, tout ça pour quoi ? Personne ne la voyait vraiment. Tout était si creux, terne, vide de sens.
C'est là que la belle commença ses escapades nocturnes, en se faisant passer pour plus âgée. Rien de plus facile avec le bon maquillage et un décolleté plongeant, elle avait déjà des courbes. C'est aussi à cette période que Séréna se mit à fréquenter la gente opposée, devenant pour les coeurs séductrice le soir et briseuse le jour.
Rien n'a vraiment changé, depuis. Elle mène ses études haut la main, continue d'écouter son père, tisse sagement sa toile de relations. Même lorsque tout la lasse Séréna se prête encore à ces frasques dorées, tout en volant quelques heures de liberté dans ses escapades ou les cours de danse qu'elle poursuit.
Ses fils toujours aussi solides autour de ses poignets.
Ceci est l'histoire de Séréna.
Sa venue au monde a été célébrée par maints présents et autres bons vœux. Elle était attendue, Séréna ; par son père qui désirait ardemment perpétuer la lignée, par sa mère qui ne se supportait plus enceinte, par quelques vautours qui couraient après les bonnes grâces (et la fortune) de ses parents.
Quand enfin son premier cri a déchiré l'air, tout le monde s'est réjoui.
Mais pas parce qu'ils l'aimaient déjà.
Séréna a grandi dans l'opulence. Elle avait tout ce qu'une fillette pouvait demander : des tenues, des cours de danse, même un pokémon. Vous auriez dû voir ses fêtes d'anniversaire ! L'immense salon des FitzBurgess paraissait soudain minuscule sous la masse d'invités et de cadeaux.
Plus jeune, elle pensait que tout ce luxe était une forme d'affection. Qu'on tenait réellement à elle. Comment savoir que son monde n'était pas si rose ?
Heureusement, il n'y avait pas que des adultes à ces fêtes luxueuses. C'est grâce à ce genre d'événement que Séréna rencontra deux amis : Allen et Sage. Elle devint rapidement proche d'eux, bien que Sage habite dans une autre région - elles s'invitaient mutuellement à leur anniversaire chaque année.
Séréna n'a pas connu ses premiers élans de tendresse par les baisers de sa mère, ni les bras de son père. Ce fût grâce à Alicia.
Alicia travaillait comme femme de chambre au manoir. Elle était douce, maternelle, généreuse ; tout ce qui était étranger au quotidien de l'héritière.
Séréna s'est naturellement attachée à elle.
Cependant, même cette personne honnête et chaleureuse avait ses secrets.
Un jour, la mère de Séréna découvrit que cette soubrette était aussi l'amante de son époux. Leur mariage n'avait peut-être rien de romantique mais sa fierté ne tolérait pas qu'on l'étiquette comme une femme faible, qui restait avec son compagnon en sachant qu'il la trompait. Elle demanda donc le divorce, non sans mettre l'employée à la porte avant. De là tout changea pour Séréna : plus d'Alicia, des parents divorcés, un aller simple vers Lumiris où elle s'installerait avec papa FitzBurgess.
Elle avait alors douze ans.
Ils étaient à peine arrivés que son géniteur entreprit de la former comme digne successeur. Séréna essaya de lui parler de ses craintes, de lui expliquer qu'elle était déstabilisée par ces grands bouleversements ; il ne l'écouta guère. Elle devait se conformer à ses attentes, point.
Comme ils n'étaient plus que tous les deux, qu'elle voulait lui faire plaisir, Séréna se musela et écouta. Par chance elle pouvait compter sur Allen avec qui elle correspondait à distance et Sage qui habitait la région.
Les premières années Séréna ne se plaignit pas, ne fit aucune vague. C'est au début du lycée qu'elle commença à se lasser de toute cette mascarade - toujours s'assurer qu'on la connaissait, briller en société, se tenir à carreaux, tout ça pour quoi ? Personne ne la voyait vraiment. Tout était si creux, terne, vide de sens.
C'est là que la belle commença ses escapades nocturnes, en se faisant passer pour plus âgée. Rien de plus facile avec le bon maquillage et un décolleté plongeant, elle avait déjà des courbes. C'est aussi à cette période que Séréna se mit à fréquenter la gente opposée, devenant pour les coeurs séductrice le soir et briseuse le jour.
Rien n'a vraiment changé, depuis. Elle mène ses études haut la main, continue d'écouter son père, tisse sagement sa toile de relations. Même lorsque tout la lasse Séréna se prête encore à ces frasques dorées, tout en volant quelques heures de liberté dans ses escapades ou les cours de danse qu'elle poursuit.
Ses fils toujours aussi solides autour de ses poignets.
Bunny 26 ans no sé no sé no sé
Comment a-tu découvert le forum ? Toujours la faute à Hazel :/Ton pokémon préféré : trop.As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Même qu'il fume le cigare et a une arme…. Ah non ça c'est le parrain de la mafiaUn dernier mot ? Je remercie Hazel d'avoir hébergé les images, vous tous d'exister, ma maman de m'avoir faite même avec plein de défauts (elle m'aurait pe vendue sinon)
Amour sur vous ♡♡♡