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Épreuve 3 - Shingeki no Kyojin Rebirth et Night of the Dragon
Maitre du jeuPNJMessages : 12267 Née le : 09/03/2017 Age : 7 Région : Lumiris Pokédollars : 0 Stardust : 36558 Stardust utilisés : 0 Equipe pokemon : Icone :
| Il fait froid, votre Honneur. Épreuve 3 – Duo Alter Égo – Shingeki no Kyojin Rebirth et Night of the Dragon Épreuve 3 - Énoncé: Il fait froid, votre Honneur. C’est humide. C’est étrange. C’est sombre. Est-ce un cachot obscur ou les larmes qui perlent vos joues qui vous donne cette sensation désagréable ? Est-ce l’amnésie volontaire ou votre candeur qui vous empêche de voir ce qu’il y a autour de vous ? Qui sait. D’une manière ou d’une autre, c’est difficilement supportable: cette sensation de lourdeur qui plane, cette impression que quelque chose ne va pas. Avec le tumulte de vos vies, c’est difficile de savoir qu’est-ce que ce pourrait être. Oublié ? Refoulé ? Nié ? Peu importe. Ici, vous en répondrez de toute façon. Ici, dans ce purgatoire prétendu où l’on vous promet un châtiment que l’on manque à vous mentionner, on vous épie et l’on appuie sur quoique ce soit que vous ayez bien ou mal fait. Oh vous n’êtes pas morts. Sûrement pas ? Ça se saurait sinon, non ? Oui ? Peut-être ? Tout ce qui compte, c’est que là, maintenant, vous êtes hors de votre zone de confort. Loin de chez vous. Vous êtes la (les) vedette(s) d’un spectacle qui n’a que faire des valeurs des un·e·s et des autres. C’est froid, c’est tendu, c’est imposant, c’est pire encore qu’une mère qui vous gronderait pour avoir mangé tous les cookies juste avant le dîner ou que le trac avant un premier spectacle… et vous êtes le point focal de tout ça. Vous et cette (ces) autre(s) personne(s) avec vous.
Version allégée: Des regards inquisiteurs se posent sur vous. Pourquoi ? Qu'avez-vous fait ? Qu'est-ce qui vous a amené ici... et surtout comment vivez-vous cet instant où vous êtes au centre d'une l'attention qui peut être positive ou négative.
Rappel de l’Alter Ego Tous les héros ont deux facettes. Une publique et une privée. Si parfois elles sont proches l’une de l’autre, il y a toujours ces différences qui nous médusent. Entre Spiderman et Peter Parker, le geai moqueur et Katniss Everdeen ou l’Élu et Harry Potter, il y a un monde. Et cette réalité s’applique aussi aux événements. Il y a un monde entre les coulisses des Jeux Olympiques et ce que l’on voit à la télévision. C’est cette différence qui est intéressante. Cette perception qui peut varier en fonction de notre place dans un événement défini. À travers un seul post d’un maximum de 1 500 mots, vous devrez, dans cette épreuve montrer une perception d’un événement. Votre binôme en fera de même en montrant une perception différente du même événement. Deux individus, deux perceptions, forcément. Et c’est là que les choses sont intéressantes. Comment votre personnage vit-il cet événement ? Comment réagit-il ? Que fait-il ? Pourquoi est-il là ? Que pense-t-il ? Et si nous nous retrouvions au milieu du match de football le plus important d’un jeune lycéen. Que l’on vivait à travers son regard la nervosité, l’agressivité, le désir de plaire, de décrocher le titre, de passer chez les pros. Et que de l’autre côté, dans les gradins, on vivait ce même match à travers le regard de la personne qui l’a toujours admiré, au point de s’en éprendre. Son stress est forcément différent, son aversion pour l’homme qui vient de faire un croche-pied à cette personne désirée n’est pas la même et cet arbitre qui ne communique aucun penalty ? IL FAIT QUOI LÀ ?Ça donne une idée ? Un seul et même événement, des actions qui communiquent, des réactions propres à chaque personnage. Une hystérie, une joie, une sensibilité qui diverge… de quoi rendre les textes que vous présenterez personnels et incarnés. Petit Rappel- Vous avez du 23 octobre 00h00 au 24 octobre 23h59 pour terminer votre mini-RP - Chaque membre du duo doit poster 1 RP d’un maximum de 1 500 mots. - Il n’y a pas d’ordre imposé. Commence qui le souhaite. - Il n’est pas obligatoire de poster une présentation de votre personnage ou de votre forum en début de RP. C’est à votre bon jugement. - N’oubliez pas que vous pouvez indiquer que vous ne souhaitez pas recevoir de commentaires pour votre texte. - Pense à tester ton code ici avant de poster pour t’assurer que tout fonctionne bien. Rappel que tu ne pourras plus éditer une fois que tu auras posté Valà ! Je vous laisse maintenant la place <3 |
| | Faolan Esmée Riverwood Invité Trophéespassez la souris sur les icones | Il fait froid, votre honneur...
T’as froid, Faolan.
Tu le sens jusque dans tes os, dans le tremblement de tes membres, dans ta gorge écorchée même si elle l’est aussi d’avoir trop crié contre eux. Pourtant tu crains pas le froid tant que ça mais tu sais pas combien de temps ça fait que t’es ici, couvert·e des haillons qu’ils ont bien voulus te donner, enfermé·e entre les barreaux suintants que tu rêves de détruire. Alors t’as froid mais tant pis, tu leur diras pas, tu leur cracheras dessus, plutôt que de baisser les yeux sous tous ces regards qui se veulent juges - mais à qui tu feras pas l’honneur de les appeler comme tel. Ils se croient importants, avec leurs grands airs, leurs petits marteaux et leurs perruques, peut-être qu’ils espèrent que tu vas craquer mais ça c’est parce qu’ils te connaissent pas, Faolan.
De toute façon ael sait qu’iel est coupable, à leurs yeux. C’est peut-être un monde différent mais visiblement pas si opposé au sien. Lae dragon·ne queer, venue d’un autre monde, coupable comme ael l’a toujours été. Coupable d’être différent·e, et pour eux ça leur donne le droit de l’exposer dans une cage comme une bête de foire, de jauger et de lae faire souffrir juste pour qu’iel les amuse.
Tu sais qu’il va bientôt se passer un truc Esmée, il y a plus de bruits et de murmures qui flottent dans les airs. Puis d’un coup y a la lumière d’un projecteur qui vient t’éclairer, à défaut de te réchauffer. Te montrer à tous ces gens que tu méprises dont le regard est fixé sur toi. Qu’est-ce qu’ils vont bien réussir à te faire faire cette fois ? Des jolies éclats de cristaux qui ne les atteindront pas ? Oh, mais ils finiront par les toucher, il y a bien un moment où tu trouveras la faille et où tu réussiras à te sortir de là, et ils vont payer. Parce qu’ils veulent te briser mais ils sont bien loin de t’avoir dressé. T’arrêteras jamais d’essayer de t’en sortir, Faolan, et tu leur feras bien comprendre.
Alors maintenant que tout le monde te regarde avec le jugement et l’espoir que tu vas les divertir, ça te donnerais presque envie de rire. Ils vont te prendre pour un fou mais c’est pas grave, Esmée, au point où t’en es ça changerait pas grand chose. Tu lèves les mains, les doigts, tu leur montre ton majeur bien droit et levé. Un beau doigt d’honneur pour tous ces enfoirés qui secouent la tête avec des murmures désapprobateurs ; c’est pas pour ça qu’ils sont venus mais tant pis. Ou plutôt tant mieux pour toi. Qu’ils te jugent, qu’ils te méprisent, tu t’en fous, leur dédain sera jamais aussi profond que celui que tu ressens pour eux.
Seulement parmi la foule il y a quelqu’un qui ne réagit pas pareil, quelqu’un qui attire ton attention, diamant brillant au milieu des âmes crasses de ceux qui sont là pour estimer ce que tu vaux. Elle n’a pas l’air d’être là pour ça, elle, tu reconnais dans ses sourcils froncés et son regard que tout ça l’énerve, qu’elle non plus n’aime pas cette injustice. L’air curieux elle aussi mais différemment ; elle n’a pas l’air de te considérer comme une bête, mais d’avoir envie de savoir qui tu es, ce que veulent dire tes tatouages, tes piercings qu'on t’a enlevés et tes cheveux colorés.
Elle sait sans doute pas quoi faire, mais quelque part t’as l’impression d’avoir gagné une alliée, et puis elle te fait un peu penser à ta meilleure amie. T’as plus qu’à lui faire comprendre maintenant, qu’il faut qu’elle te fasse passer ton catalyseur. Sans, t’arrives pas à contrôler tes pouvoirs, trop instables pour être réellement utiles. Plus que des jolies pierres précieuses qui s'effritent trop rapidement pour faire quoi que ce soit… Mais peut-être qu'elles peuvent t’aider à lui indiquer.
Alors lae dragon·ne leur fait plaisir, leur montre ses pouvoirs, détourne leur attention avec des belles formes et des bouts de cristaux multicolores qui leur tirent des exclamations émerveillées. Et en parallèle, iel concentre toute sa volonté pour créer une boucle d’oreille en émeraude. Semblable à celle qu’il y a sur la table qu’ael voit un peu plus loin mais qui lui est inaccessible, là où il y a tous ses bijoux et toutes les possessions qu’iel avait sur ellui en arrivant. Il faut croire que les gens ici étaient venus pour acheter un lot, que c’est ça qu’iel jugeait depuis le début - combien ael valait.
Tu vises et tu lances, Faolan, en espérant qu’elle va recevoir. Et surtout qu’elle va comprendre quand elle attrapera l’émeraude que t’as taillé comme tu pouvais, quand elle verra ton clin d'œil et ton subtil mouvement du menton en direction de tes affaires. Elle te fait penser à Artemis c’est vrai, et Artemis aurait compris tout de suite mais est-ce que cette fille-là va comprendre ? Est-ce que t’as vu juste, est-ce qu’elle est de ton côté ?
Iel a sa réponse quelques minutes plus tard, quand un éclat de voix l’attire et qu’ael entraperçoit une mèche ambrée avant d’entendre le bruit d’un ricochet contre les barreaux de sa cage. L’éclat de la pierre précieuse capte son attention et ael se jette par terre pour l’attraper avec un sourire féroce. La fête est finie pour eux, elle ne fait que commencer pour ellui.
Ça faisait longtemps que t’avais pas été aussi faible, qu’on t’avais pas arraché ton catalyseur de la sorte et ça t’enlève un poids bien plus important que celui de tes chaînes quand tu sens le pouvoir qui coule de nouveau dans tes veines, quand t’invoque ta magie et qu’elle t’obéit enfin correctement, comme s’il t’avait manqué cette partie de toi tout ce temps. Tes liens et ta prison font pas long feu contre tes piques de quartz et ta fureur, ton envie de liberté, ton soulagement d’être de nouveau entier.
Tout le monde s’affole quand ta cage explose, et toi tu cherches du regard celle qui t’as aidé. Elle est en train de se faire emporter, mais une lame de jaspe vient rapidement faucher l’un de ceux contre lesquels elle est déjà en train de lutter. Elle a l’air d’être une battante, comme toi, comme Arte à laquelle te fait tant penser, et tu comptes pas la laisser derrière alors qu’elle t’as aidé et qu’elle s’est mise en danger pour toi.
Alors c’est vers elle que tu fonces, t’arrives à ses côtés juste le temps pour vous deux d’être cernés par des soldats bien décidés à vous foutre à terre. Mais ils t’auront pas plusieurs fois.
Tu laisses aller tes pouvoirs, lançant ta forme draconique, devenant complètement toi-même de nouveau à mesure que ton corps grandit et se couvre d’écailles brillantes, bien plus dures que leurs épées. C’est peut-être con, mais au fond t’avais eu peur de plus jamais pouvoir te transformer.
Iel rugit de colère et ça résonne, ça fait peur, ça fait hésiter. Juste assez de temps pour qu’iel crée deux épées de topaze pour son alliée rousse, en espérant qu’elle se batte de la même manière qu’eux. Juste assez de temps pour que les premiers attaquants trébuchent sur le sol devenu glissant sous leurs pieds.
Tes griffes de diamants fauchent leurs armes, ton souffle les blessent de milles coupures et bloquent leurs mouvements. Ils ne sont pas habitués à se battre contre une créature comme toi, ils sont effrayés aussi mais c’est pas ton problème, t’acceptes le rôle du monstre qu’ils ont voulu te donner, Esmée. Tu tues personne comme t’as tué Valentina, c’était trop personnel, trop nécessaire et là tes adversaires sont que des anonymes. Mais t’aimerais bien voir ceux qui ont voulu t’enfermer, ceux qui t’ont regardé du haut de cette estrade comme un animal, t’aimerais voir la peur que tu leur a inspiré une fois que tu t’es libéré.
Parce qu’ils ont voulu te juger, Esmée, ils ont vu que t'étais pas comme eux et ils ont décidé que ça leur donnait un droit de vie et de mort sur toi. Mais toi, Faolan, tu portes tes différences comme un étendard - et ils ont intérêt à avoir compris que tu les laisserais plus jamais recommencer.
ft. Kate (Anaiya) (C) ETHEREAL
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| | Trophéespassez la souris sur les icones | - Présentation de Katerina:
Spoiler : Katerina fait partie de l'armée, plus précisément du Bataillon d'Exploration qui a notamment pour but de patrouiller les terres en-dehors des murs. C'est une jeune femme combative et déterminée, avec un fort caractère ; et la diplomatie n’est réellement pas son fort. Elle dit les choses comme elle le pense, sans filtre, fatiguée de l'hypocrisie et des mensonges de son milieu bourgeois d'origine - et c'est bien pour cela qu'elle a décidé de s'engager, en plus de réaliser son rêve de voir ce qui se cache derrière les murs.
Assise sur un siège dans cette pièce sombre, Katerina tremblait de rage. La colère bouillonnait dans ses veines brûlantes, se propageait en elle tel un poison. Sourcils froncés, mâchoires crispées, poings serrés tellement fort qu’elle sentait ses ongles s’enfoncer dans la paume de sa main. Peut-être que du sang allait commencer à couler, mais peu importait. Cette rage et cette douleur, elle les accueillait comme de vieilles amies, les serrait contre son cœur. L’indignation avait été le moteur de sa vie - c’était ce qui l’avait poussé à se rebeller contre son milieu qui décidait de sa vie à sa place, c’était ce qui l’avait poussée à rejoindre l’armée, c’était ce qui l’avait poussée à choisir le bataillon d’exploration pour aller combattre les Titans. Sans sa rage, Katerina n’était plus Katerina. La perte de son compagnon l’avait plongée dans une hébétude profonde et l’avait vidée de sa flamme mais c’était du passé maintenant - la colère était revenue, et ce n’était plus une flamme qui l’habitait, c’était l’incendie complet, l’incontrôlable, celui qui détruisait tout sur son passage et ne laissait que des souches noircies, encore fumantes. On l’avait traînée de force ici ? On en paierait les conséquences. La lumière se fit enfin sur la scène, révélant l’attraction du jour. Une personne en haillons, aux cheveux colorés, en cage, le dragon ; tellement différente des riches présents dans cette salle que la rousse entendit des exclamations de surprise, vit des dames bien comme il faut porter la main à leurs bouches. Pauvres pintades, pensa-t-elle alors que l'étreinte de sa belle-mère sur son poignet se resserrait, en une pauvre tentative de la garder immobile. Elles qui n’avaient jamais vu autre chose que leurs salons bien propres, qui ne connaissaient pas le monde réel alors que Katerina, elle...Elle ne le connaissait que trop bien. La peur d’être face à un Titan, l’horreur de voir ses proches se faire dévorer, ça, elle était bien la seule personne dans la salle à les expérimenter au quotidien. Parce que les riches de Sina eux se terraient bien au fond de leurs manoirs, loin des gens du commun, comme les trouillards qu’ils étaient. Elle se sentit brutalement très proche de la personne en cage. Au fond, dans cette pièce elle n’était pas plus libre que lui, ni mieux considérée. Ils étaient semblables, tels les pois d’une même cosse. On pouvait la parer de belles robes, elle ne serait jamais une bourgeoise convenable, elle resterait ce putois qui crachait et griffait tous ceux qui avaient le malheur de lui déplaire, et c’était très bien comme ça. Indomptable ; l’autre aussi, et elle retint un sourire carnassier en le voyant, ah, faire un doigt d’honneur au public. Et si elle le vit ensuite coopérer en créant des cristaux multicolores, elle sentit bien que ce n’était que pour la galerie. Sa vraie opinion, elle l’avait vue. Elle aurait voulu le libérer, mais comment ? La solution vint quand il lui lança une émeraude verte taillée grossièrement, et que ses réflexes de soldate entraînée lui firent repérer son petit mouvement de menton vers la table. Ah. Elle hocha la tête, pour lui faire signe qu’elle avait compris. Et bondit tel un bouchon de champagne, envoyant des coups d’épaules pour se frayer un chemin, pour trouver le précieux bijou vert, qu’elle lança vers la cage avec un “Attention!”. Au dragon d’agir maintenant, ça ne dépendait plus d’elle, alors qu’elle se faisait emporter par la foule et qu’elle se débattait comme une diablesse, donnait des coups de pied, de poings, et crachait comme l’animal sauvage qu’elle avait toujours été. Parce que si elle ne se battait pas, jamais elle ne pourrait gagner. L’enfer se déclencha soudainement alors que le dragon explosa sa cage, envoyant voler des débris et faisant hurler d’horreur l’assistance. Ah ! C’est ça qu’ils gagnaient en emprisonnant des êtres faits pour être libres ; la destruction la plus totale ! Pour un peu elle aurait ri, d’un rire sauvage, un rire de folle. Voilà la seule sorte de justice à laquelle elle croyait, oui, puisque les dés étaient toujours pipés et que les gens différents n’étaient jamais gagnants en temps normal. Mais ce n’était pas le cas ici, rien n’était normal. Un de ses agresseurs s’effondra, et elle n’eut que le temps de voir une lame de pierre précieuse dépasser de sa jambe. Ses yeux s’écarquillèrent. Le dragon l’aidait ! Mieux encore, il prenait sa forme reptilienne, majestueuse et terrible, et lui offrait deux lames. Elles étaient différentes des lames qu’elle utilisait ordinairement face aux titans mais tant mieux - elles étaient trop fragiles pour se battre face à des humains. Mais celles-là...Oh...Elles étaient parfaites. Tranchantes et solides. L'arme parfaite pour se battre face à ces êtres qui se prétendaient humains. Et toujours elle se battrait, jusqu’à son dernier souffle et même au-delà, au nom de la liberté. Toujours, face à ceux qui se croyaient à ce point supérieur qu’ils osaient enfermer d’autres êtres dans une cage comme du bétail. Contre la tyrannie et l’ignorance.896 mots |
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