Ayrton Santana aka "Le sauvageon de Rosalia"
Feat Rock Lee de Naruto mangaDescription de votre personnage
Sauvage: Ayrton est un jeune homme étrange, dans le sens où perdu dans un nouveau monde qu'il ne connaît pas il tente d'évoluer. Mais pas évoluer dans le sens humain de la chose, non il ne veut pas apprendre à s'adapter à sa nouvelle condition, il veut évoluer tel un pokemon, car tel est sa nature pour lui. Enfant abandonné en bas âge dans le bois aux alentours de Roselia, à Johto, il fut élevé depuis tout petit par un groupe de Scarhino. En conséquence, il considère les pokemon comme sa famille, c'est pour ça qu'il n'a pas hésité à recueillir cet œuf qui fut abandonné sous ses yeux par un voyageur.
Paternel: un jour il a décidé qu'il serait à son tour père, pour honorer sa famille de pokemon. Il a donc recueilli un œuf qui fut, tout comme lui, abandonné et depuis il élève ce joli petit Cradopaud comme si ce fut son fils. Il l'enseveli d'amour, et le surprotège beaucoup trop d'ailleurs.
Instinctif: Après tout c'est normal, il fut élevé par des pokemon sauvages, des pokemon dotés d'un fort caractère et d'un instinct de survie prépondérant. Alors oui en plus d'être déjà trop louche par son apparence, sa tenu verte et ses manies, il l'est par son comportement sauvage et bestial.
Nostalgique : Depuis qu'il a quitté son foyer pour vivre sa propre vie parmi sa véritable espèce : les humains. Ayrton semble prit de dépression passagère, ressentant certainement un vide à l'égard de sa tribu de Scarhino maintenant loin. Heureusement que son fils l'accompagne pour lui redonner le sourire dans les moment critique. Le jeune Cradopaud a en effet toujours de quoi lui remonter le moral.
Retardé : La majorité des gens verraient en Ayrton un jeune homme avec un retard mental mais il n'en ai rien. S'il donne l'impression de ne pas vous écouter, c'est parce qu'il ne vous entend pas, étant sourd de naissance. Et s'il écrit et s'exprime comme un enfant c'est parce que le langage humain lui est nouveau. Il est en effet en plein apprentissage et son handicape n'arrange en rien son élocution, vous vous en doutez ! Donc vous pouvez vous moquer, vous pouvez l'injurier il ne vous entendra pas !
Sportif : L'un des grands avantage de son anormal mode de vie est qui lui a permis de ce sculpter un corps solide comme le rock ! Se battre contre des Scarhino, et se faire entraîner par de tels pokemon n'apporte pas que son lots de malheur, non ! Ça lui a permis d'avoir un corps sain dans un esprit sain. Lui offrant la possibilité, en cas de recours exceptionnel , de pouvoir combattre un pokemon à main nue ou du moins avoir l'assurance de pouvoir prétendre le faire.
Curieux et gaffeur : Comme un fouinette, il fourre son museau partout par pur curiosité et créer de grandes catastrophes à cause de sa maladresse légendaire ! Pataud et inconscient sont deux de ses traits que l'on pourrait autant considérer comme dangereux pour lui mais c'est aussi ce qui le rend attachant cet enfant sauvage de Johto !
histoire
-Moi, Pokemon !
C'est les mots que je prononçais en réponse à la fatidique question de mon sensei dans l'art du langage humain. Du moins c'est les mots qui résonnaient dans mon esprits parce que pour dire vrai, mon élocution était désastreuse et ma surdité ne m'aidait guère. Sans son, ni retour, j'estimais ma prononciation parfaite et mes paroles comprises. Pourtant Soburin était là, le visage penché, le regard pétillant d'intrigue et d'interrogations. Je ne comprenais pas bien ce qui semblait lui échapper, je ne comprenait pas pourquoi je l'intriguais. C'est moi qui devrait être choqué et étonné face à une personne si différente des pokemon.
Car oui, comme je venais en ce jour de l'affirmer à ma professeur de lettre improvisée, pour moi j'étais un pokemon. J'ai toujours vécu dans la forêt encerclant Roselia, vivant et grandissant parmi ces êtres dotés de pouvoirs. Ma famille c'est ce groupe de fier guerrier à l'armure bleue, ceux que leurs cris trahissent au reste du monde, ceux dont je ne peux entendre la voix hurler : Scarhino ! Oui, abandonné en forêt dans mon jeune âge, par des parents qui ne voulaient visiblement pas de moi, j'ai trouvé une famille qui m'a choyé et élevé comme si j'étais leur enfant. Cet abandon fut finalement une bénédiction, car m'évitant une vie triste et sans amour, je grandis comme un pokemon dans une tribu, un groupe, où l'esprit de famille et l'amour filliale sont plus forts que nul part autre. Oui, grâce au choix de mes géniteurs j'ai pus connaître l'amour le plus pur, un amour qu'ils ne m'auraient jamais donné.
Ainsi j'ai grandis dans la forêt, chassant, mangeant, dormant, grandissant comme le ferait un pokemon. Je vivais tout bonnement une vie de Scarhino. Un Scarino frêle, difforme et sans armure mais un fier et vigoureux Scarhino ! Vous pensez que ma différence a fait de moi un paria, le mouton noir de la bande ? Non je vous l'ai dit, la tribus n'était qu'amour pur. J'étais juste plus unique que les autres à leur yeux et surement plus attachant au final.
Vint alors un jour different, un jour important, un jour que les nuages ont rendu sombre, et que la pluie à rendu vide. Pourtant c'est en ce jour que je croisais mon rayon de soleil, mon "fils". Il était encore dans son œuf la première fois que je l'ai vu. Un œuf seul, laissé à l'abandon, au milieu des coquilles crevés. Rien autour. Juste lui et moi. À cet instant j'ai fait un choix. Celui de devenir père. Celui de devenir le père du Pokemon qui quitterait sa coquille, quel qu'il fut. Alors je l'ai prit avec moi, et quelque heures plus tard après que j'ai présenté ma trouvaille aux autres il était née. Luttant pour vaincre sa coquille à coups de poings, c'est un mignon petit Cradopaud qui compléta la famille. Depuis je l'élève comme mon fils, lui transmettant tout ce que mais parents Scarhino m'avait apprit.
Depuis ce jour j'ai vénéré la pluie, mais ce que la pluie offre elle peut le reprendre aussi. C'est durant une semaine pluvieuse de printemps, profitant d'un air saturé par l'humidité et le pollen que Rain se retrouva dans l'incapacité de se lever. À vrai dire on était tous un peu faible, terrassé par un mal qui rongeait nos intestins et sciait notre mental, mais mon fils lui était dans un état bien plus grave que le notre, voilà une matinée entière que j'étais installé à côté de lui, inquiet, couvert de sueur, lorsqu'elle apparu. J'ai d'abord cru à une illusion, un délire de mon esprit malade et fatigué. Mais elle était là. Un bien étrange pokemon, avec une drôle de silhouette pareille à la mienne, des cheveux long, un doux parfum enchanteur. Ses lèvres bougeaient, elle s'approcha. Je m'interposais alors faiblement entre elle et Cradopaud. Que voulait elle ? Me le voler ? C'était non !
Finalement l'agressivité paternaliste passé, mon état second aidant grandement à ma docilité, je la fixais faire une myriade de signe de mains. Elle sortait des fioles agitait de l'herbe et me faisait des signes pour que je prenne Rain et que je la suive. J'étais dubitatif. Quel étrange pokemon psy ! Finalement je l'ai suivit, admirant sa hargne et la dévotion qu'elle mettait à me faire tous ces mouvements. Je l'ai donc suivit, portant mon fils jusqu'à la ville. Premier choc ! Les pokemon ne régnaient pas en ce lieu. Cet endroit était des plus étranges, partout était érigé d'étrange et immense constructions. Et sur cette landes démuni d'arbre s'entassait une bien étrange espèce : les humains.
Soburin a alors prit de son temps pour me recueillir moi et mon fils. Elle a soigné Rain et c'est évertué à m'apprendre les coutumes et la langue de son peuple. Peuple dont elle me pensait originaire. Elle était bien gentille mais sur ce point je ne pouvais la croire ! Je suis un pokemon ! Bref cette rencontre nous à mener à un lien privilégier et maîtresse à élève, qui nous poussaient tous les deux à sortir de nos sentiers battus. Quittant un moment nos mondes respectif pour se plonger dans celui de l'autre.
Le temps passa. Et alors qu'une sorte de routine s'était imposé un jour la jeune femme alla chercher Ayrton dans les bois pour lui dire, visiblement boulversé qu'elle devait partir vers une autre ville, vers Ebenelle ! Et elle m'offrait la possibilité de venir avec elle. Quel dilemme ! Quitter ma famille, celle qui m'a vu grandir ou perdre celle qui m'a sauver de la tristesse en soignant mon fils. Je devais grandir, voyager comprendre ! Alors sans regret je l'ai suivit. Et même suite à l'incident qui a marqué à jamais la douce Soburin, je l'ai suivit vers une contrée bien trop lointaine à mon goût, emportant avec moi, mon fils Rain qui était friand d'aventure !