Anthéa Oyhenart
Feat Sakurako Kujou de Beautiful Bones : Sakurako's Investigation
25 ans 23/05/1995 SinnohFemmeRédactrice webEclipse
DéfautsBornée(Trop) Franche(Parfois) Sarcastique
QualitésPositiveSociableIndépendante
DéfautsBornée(Trop) Franche(Parfois) Sarcastique
Description
Fille de la lune, c’est la nuit qu’elle vit.
Quand le monde dort, que les étoiles se réveillent.
Quand les néons pètent les yeux et que la musique résonne dans ses oreilles.
Anthéa, c’est une fêtarde (la plus grande de son espèce). Véritable boule d’énergie qui semble ne jamais perdre en batterie, elle a besoin de sa dose hebdomadaire de sorties nocturnes. Seule ou accompagnée, elle ne manque jamais une occasion d’aller s’amuser, se vider la tête (elle se suffit à elle-même si personne ne désire la suivre ; elle n’a besoin de personne pour aller faire la fête). Amoureuse de la vie, elle sait profiter correctement, à sa façon. Alcool, sourires, musique ; les choses les plus simples lui suffisent.
Véritable enfant dans l’âme, elle est toujours partante pour faire quelques conneries çà et là. Des stupidités du genre mettre des matelas dans les escaliers pour faire un toboggan, mettre un plot sur sa tête et courir dans tous les sens, aller dans un parc de jeux pour enfants ou courir dans la rue les bras en l’air en pleine nuit, faire du skate à l’aurore comme au crépuscule ; bref, tout et n’importe quoi, du moment qu’elle s’amuse. Anthéa ne rime pas avec ennui. Avec elle, c’est une aventure à chaque instant ; éclats de rires garantis.
Elle suit ses envies ; fait tout ce qui lui plait. Elle façonne ses journées comme elle l’entend (très féminine un jour, mode « j’en-ai-rien-à-faire-de-ma-tenue-today » celui d’après). Souvent on lui reproche ses gamineries mais la vérité ? Elle n’a que faire du regard d’autrui. Critiques, remarques, tout lui passe au-dessus de la tête. Ce ne sont pas les autres qui vont lui dicter sa vie ; elle est l’unique maître du jeu, la seule à écrire ses propres règles. Elle n’écoute qu’elle (écoute rarement les autres). Elle est têtue et bornée dans ses idées (cela ne l’empêche pourtant pas d’avoir le coeur sur la main). Franche, elle lui dit tout ce qui lui passe par la tête sans se soucier des conséquences (que ce soit positif ou négatif elle s’en fiche, elle balance), parfois avec sarcasme, parfois sans.
Anthéa, elle est bon public. Elle rigole à tout, de tout. Elle aime les dessins animés, manger, le skate, manger, les paillettes, manger, les vinyles, manger, les cassettes vidéos (en fait, tout ce qui est rétro) et puis manger et encore manger (au cas où vous ne le l’auriez pas encore compris). Faire du trampoline, les salles d’arcades, lancer des confettis, faire des pranks, du roller, collectionner les lunettes qui lui donnent des airs ridicules parfois, le chewing-gum, tirer la langue (ou gonfler les joues) quand elle n’est pas contente, faire les yeux doux afin d’obtenir un verre de plus, les cônes de chantier (allez savoir pourquoi), les bobs (again, pourquoi donc ?), être bien habillée (pas tout le temps, c’est chiant de se préparer pendant trois heures). Oui oui, Anthéa a bien vingt-cinq ans (et pourtant dans sa tête elle n’en a que douze).
Sinon, elle n’affectionne pas particulièrement les râleurs, les gens qui ne profitent pas (en général, ceux-là, elle les pousse, les incite à se bouger ; elle leur envoie un max de positivité), le vent (toujours les cheveux dans les yeux, c’est embêtant), avoir froid, les chemises à carreaux, les histoires d’horreurs, les menteurs (mentir aux autres aussi dans la même lignée), ceux qui se la pètent et qui se croient plus fort, la trahison. Et puis l’amour aussi, elle l’a en horreur. Une fois lui a suffit, elle ne commettra plus la même erreur. Un soir seulement, sans sentiments, pourquoi pas. Mais l’amour, plus jamais (ou du moins, jusqu’à ce qu’elle baisse de nouveau sa garde).
Avec elle, il n’y a pas deux chances : soit ça passe, soit ça casse ; soit elle vous aime bien, soit elle vous détestera jusqu’à la fin de ses jours. Pas du genre à laisser les autres lui marcher deux fois dessus aussi, si par malheur vous venez à lui faire un coup à l’envers, elle ne vous le pardonnera pas (et vous serez définitivement rayé de sa liste). Comme elle n’a besoin de personne (et qu’au pire, elle est tellement sociable qu’elle pourra très vite rencontrer de nouvelles personnes), elle ne voit pas l’intérêt de garder des gens qui lui nuisent dans son cercle d’affinités.
En bref, elle vous éblouit (parfois trop) de son énergie, de sa vivacité, de ses sourires, de sa positivité.
Elle est une lumière qui brille en permanence, de jour comme de nuit.
Elle est Anthéa, tout simplement.
1m65 x cheveux noirs qui lui arrivent au niveau du bassin x avec une frange x corpulence normale x style vestimentaire changeant x passant de très chic à meuf de la street x aime porter tout type de lunettes x yeux verts x traits du visage fins x a son petit charme x surtout avec ce petit sourire qu'elle aime bien arborer en permanence x aucune marque spéciale apparente
Pioupiou
PasserougeMâleOuai, Anthéa n'était clairement pas inspirée quand elle lui a donné son petit nom. Mais il n'était pas réellement destiné à rester avec elle, de base. Et puis, il faut dire qu'il n'était pas très malin, Pioupiou. Enfin, c'était avant. Aujourd'hui, il a un peu changé (il arrive à ne plus s'emmêler les pattes quand il marche, y a du progrès). Il n'est pas bien méchant, plutôt à l'écoute et fait de son mieux. Il aime bien aller chercher le courrier le matin (et puis ça évite à Anthéa de le faire). Il est un peu maladroit (genre, parfois il loupe ses atterrissages et finit par faire un strike dans la tasse de café encore remplit). Il est drôle aussi, un véritable pitre. Affectueux, un peu timide, pour rien au monde Anthéa ne l'enverrai se battre (il est tout frêle ; et puis au fond, ça reste son petit bébé d'amour).
Histoire
Petit lumière née de l’union de deux parents aimants, elle a eut une enfance des plus banales (des plus belles). D’abord fille de la nature, Anthéa a passé dix ans de son existence dans une petite maison à la campagne. Perdu entre quatre champs et un morceau de forêt, à deux pas du village de Floraville, elle en a passé des heures à l’extérieur. A peine rentrait-elle de l’école qu’elle filait, partait à l’aventure, accompagnée du Linéon de ses parents. Généralement, elle allait rejoindre une paire d’amis à la cabane qu’ils avaient construit. Ils en ont fait, tous ensemble, des conneries. Nombreuses sont les fois où ils se sont fait réprimander. Mais ce n’était rien à côté de la joie qui les habitait.
Et puis, quand elle souffla ses dix bougies, elle dû partir à la ville de Féli-Cité (à cause du travail de sa mère ; elle lui en a longtemps voulu d’avoir explosé la bulle de bonheur dans laquelle elle vivait). Pourtant, elle s’est bien vite adaptée, Anthéa ; bien qu’elle ait dû modifier deux trois bricoles quant à sa manière de vivre et d’être. A commencer par essayer de perdre son super accent campagnard qui la suivait jusque-là. Ses expressions aussi (parce qu’ils comprenaient rien à l’école, ces gros nuls). Ce changement qu’elle avait redouté s’est finalement fait sans trop d’encombre.
Son collège étant plus grand (genre au moins trois fois plus grand) que celui dans lequel elle aurait dû aller si elle avait continué de vivre au village lui a permis d’intégrer un club d’écriture ainsi qu’un club de tennis. Comme elle avait toujours dit à ses parents qu’elle voulait être journaliste ou un truc dans le genre, c’était l’occasion (au final, elle deviendra rédactrice web parce que flemme de voyager partout pour aller à la pêche aux infos alors qu’il y a tout sur internet). En plus elle était (et est toujours) tellement sociable qu’elle s’est bien vite fait de nouveaux amis (les anciens manquant malgré tout à son petit coeur).
C’est tout un autre monde qu’elle a finalement découvert (monde qui s’est ouvert à elle petit à petit tandis qu’elle grandissait) et qu’elle a directement adopté. Les sorties (shopping, bowling, bar, cinéma, et j’en passe), les soirées, les sorties nocturnes dans les rues à chanter à tu-tête ; bref, c’est ainsi qu’elle est devenue fille de la nuit.
Monde de la nuit que ses parents ont toujours eu en horreur. Ils ont souvent critiqué ses choix de vie. « Plutôt que de gaspiller ton argent à tort et à travers, économise. », « Soit plus sérieuse Anthéa et grandis un peu ! », « Tu comptes être une gamine toute ta vie ? », « Quand est-ce que tu arrêteras de sortir ? ». Mais c’était son argent. Elle travaillait, faisait des petits boulots çà et là pour gagner un peu en plus d’être rédactrice web (les débuts n’étaient pas tiptop, il fallait qu’elle bosse à côté si elle voulait sortir)(mais bon, sans trop forcer non plus hein) avant d’aller s’amuser, encore et toujours.
Sauf que les remarques, ça va deux minutes. Alors à l’âge de vingt-trois ans, elle a fait son baluchon, un bisou sur la joue de son père et de sa mère et elle a mis les voiles, cap Lumiris (le plus loin possible). Avec l’argent mit de côté (parce que oui, contrairement à ce que ses géniteurs ont toujours pensé, elle avait économisé) et un petit prêt à la banque, elle s’est acheté un petit appartement sympathique à Artiesta.
C’est ici qu’elle a fait la rencontre de Pioupiou (ou plutôt que Pioupiou est venu à sa rencontre). Elle s’en souviendra probablement toute sa vie, de ce jour-là (elle a tellement ris et à eu très peur à la fois). Elle était tranquillement en train de siroter son petit café à son bureau devant son ordinateur, les yeux rivés à l’extérieur à la recherche d’inspiration pour la rédaction d’un article. Quand soudainement, une masse noire arriva à vitesse grand V vers le carreau. Les yeux écarquillés (presque en train de sortir de leurs orbites), elle s’est mise à faire de grands gestes et à hurler des « Mon dieu Arceus, qu’est-ce qu’il fout ?! », « Il est complètement teubé le pioupiou ou quoi ? », « Il compte s’arrêter ou c’est comment ? », « AHHHHHHHHHHHHH ! » quand résonna l’énorme TOC que fit le pauvre Passerouge contre la fenêtre. Bref, elle l’a amené au centre Pokémon, a voulu leur laisser mais on lui a répondu : « Amenez-le dans un Refuge. » Elle alla donc dans un refuge : fermé. En gros, à chaque fois y avait quelque chose qui l’empêchait de l’amener. Et puis elle a commencé à bien l’aimer. Alors Pioupiou (désormais baptisé ainsi parce que c’est pas compliqué à retenir et que c’est drôle) est resté.
Enfin, elle n’y a pas fait que de belles rencontres. Mais ça, c’est quelques mois de sa vie qu’elle voudrait pouvoir effacer de son esprit. Les belles paroles, les promesses, les rêves, puis la trahison, la désillusion, elle a assez donné. C’est sûrement pour ça qu’aujourd’hui, elle dégage les gens nocifs à sa vie.
Mais est-ce qu’à vingt-cinq ans Anthéa a enfin gagné en maturité ? Non, et c’est peut-être même pire qu’avant, maintenant qu’elle est toute seule et indépendante (elle met des paillettes dans sa vie quoi, elle a pas envie de grandir).
Et puis, quand elle souffla ses dix bougies, elle dû partir à la ville de Féli-Cité (à cause du travail de sa mère ; elle lui en a longtemps voulu d’avoir explosé la bulle de bonheur dans laquelle elle vivait). Pourtant, elle s’est bien vite adaptée, Anthéa ; bien qu’elle ait dû modifier deux trois bricoles quant à sa manière de vivre et d’être. A commencer par essayer de perdre son super accent campagnard qui la suivait jusque-là. Ses expressions aussi (parce qu’ils comprenaient rien à l’école, ces gros nuls). Ce changement qu’elle avait redouté s’est finalement fait sans trop d’encombre.
Son collège étant plus grand (genre au moins trois fois plus grand) que celui dans lequel elle aurait dû aller si elle avait continué de vivre au village lui a permis d’intégrer un club d’écriture ainsi qu’un club de tennis. Comme elle avait toujours dit à ses parents qu’elle voulait être journaliste ou un truc dans le genre, c’était l’occasion (au final, elle deviendra rédactrice web parce que flemme de voyager partout pour aller à la pêche aux infos alors qu’il y a tout sur internet). En plus elle était (et est toujours) tellement sociable qu’elle s’est bien vite fait de nouveaux amis (les anciens manquant malgré tout à son petit coeur).
C’est tout un autre monde qu’elle a finalement découvert (monde qui s’est ouvert à elle petit à petit tandis qu’elle grandissait) et qu’elle a directement adopté. Les sorties (shopping, bowling, bar, cinéma, et j’en passe), les soirées, les sorties nocturnes dans les rues à chanter à tu-tête ; bref, c’est ainsi qu’elle est devenue fille de la nuit.
Monde de la nuit que ses parents ont toujours eu en horreur. Ils ont souvent critiqué ses choix de vie. « Plutôt que de gaspiller ton argent à tort et à travers, économise. », « Soit plus sérieuse Anthéa et grandis un peu ! », « Tu comptes être une gamine toute ta vie ? », « Quand est-ce que tu arrêteras de sortir ? ». Mais c’était son argent. Elle travaillait, faisait des petits boulots çà et là pour gagner un peu en plus d’être rédactrice web (les débuts n’étaient pas tiptop, il fallait qu’elle bosse à côté si elle voulait sortir)(mais bon, sans trop forcer non plus hein) avant d’aller s’amuser, encore et toujours.
Sauf que les remarques, ça va deux minutes. Alors à l’âge de vingt-trois ans, elle a fait son baluchon, un bisou sur la joue de son père et de sa mère et elle a mis les voiles, cap Lumiris (le plus loin possible). Avec l’argent mit de côté (parce que oui, contrairement à ce que ses géniteurs ont toujours pensé, elle avait économisé) et un petit prêt à la banque, elle s’est acheté un petit appartement sympathique à Artiesta.
C’est ici qu’elle a fait la rencontre de Pioupiou (ou plutôt que Pioupiou est venu à sa rencontre). Elle s’en souviendra probablement toute sa vie, de ce jour-là (elle a tellement ris et à eu très peur à la fois). Elle était tranquillement en train de siroter son petit café à son bureau devant son ordinateur, les yeux rivés à l’extérieur à la recherche d’inspiration pour la rédaction d’un article. Quand soudainement, une masse noire arriva à vitesse grand V vers le carreau. Les yeux écarquillés (presque en train de sortir de leurs orbites), elle s’est mise à faire de grands gestes et à hurler des « Mon dieu Arceus, qu’est-ce qu’il fout ?! », « Il est complètement teubé le pioupiou ou quoi ? », « Il compte s’arrêter ou c’est comment ? », « AHHHHHHHHHHHHH ! » quand résonna l’énorme TOC que fit le pauvre Passerouge contre la fenêtre. Bref, elle l’a amené au centre Pokémon, a voulu leur laisser mais on lui a répondu : « Amenez-le dans un Refuge. » Elle alla donc dans un refuge : fermé. En gros, à chaque fois y avait quelque chose qui l’empêchait de l’amener. Et puis elle a commencé à bien l’aimer. Alors Pioupiou (désormais baptisé ainsi parce que c’est pas compliqué à retenir et que c’est drôle) est resté.
Enfin, elle n’y a pas fait que de belles rencontres. Mais ça, c’est quelques mois de sa vie qu’elle voudrait pouvoir effacer de son esprit. Les belles paroles, les promesses, les rêves, puis la trahison, la désillusion, elle a assez donné. C’est sûrement pour ça qu’aujourd’hui, elle dégage les gens nocifs à sa vie.
Mais est-ce qu’à vingt-cinq ans Anthéa a enfin gagné en maturité ? Non, et c’est peut-être même pire qu’avant, maintenant qu’elle est toute seule et indépendante (elle met des paillettes dans sa vie quoi, elle a pas envie de grandir).
Jixdu, Isa, Achy, c'que vous voulez19 piges depuis un jour lolGiirlVosginettesje-sais-pas-quoi-faire-de-ma-vie
Comment a-tu découvert le forum ? Bijour je suis un rerollTon pokémon préféré : Massko bbyAs-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : moi à mon autre moi Un dernier mot ? amour sur vous