Vaheana Ehu-Kai
Feat Cinderella de SiNoAlice
30 ans 03 janvierAlola Femme Horlogère Météores
IndépendanteManipulatriceImpatienteInsistante
ProtectriceCharmeuseDébrouillardeLoyale
IndépendanteManipulatriceImpatienteInsistante
don't let the memory fade -
Elle les a presque tous vu partir ;
Un à un, quitter le foyer familial; fuir les responsabilités - tout laisser s'évaporer dans leur esprit' tandis qu'elle restait là, roc inébranlable, sourire ineffaçable.
Elle les a encouragé à prendre leur envol, à libérer leurs ailes, elle les a encouragé à suivre leurs rêves, à exister en dehors de la famille.
Elle les a observé en rêvant d'une liberté qu'eux acceptaient de retrouver.
(Parce qu'elle n'a jamais été douée pour assumer les responsabilités) ni même pour les études soutenues, longues, les études qui demandaient de vraiment s'y investir.
Elle a toujours été les mains de ce foyer; douée dans la réparation de tout ce qui venait à briser, douée pour ramener l'ordre dans les électroménagers qui décidaient de ne plus fonctionner. Elle a toujours aimé se pencher sur les objets - elle les a toujours mieux cerné que les êtres humains. Sous ses mains, tout se transforme; tout semblerait presque lui obéir.
Adepte d'une liberté qu'elle n'a jamais poursuivie ; s'enfermant dans la pseudo-routine d'un foyer qu'elle a toujours aimé.
Vaheana a poursuivi les rêves les plus fous - ceux qu'on ne peut même pas frôler du doigt, ceux pour lesquels on atterrit dans les étoiles.
Elle s'est entichée de ceux qu'elle n'aurait jamais pu avoir - des personnes mariées, aimant le sexe opposé - de ceux qu'elle n'aurait jamais pour elle, leur tournant autour, cherchant par tous les moyens à croiser leur regard et grappiller quelques instants de leur précieuse attention.
Désirant, favorisant l'interdit au profit de ce qui lui est accessible.
- elle n'est pas de ceux qu'on peut ne pas remarquer, s'imposant d'une féminité affirmée, d'un sourire éclatant et de belles paroles.
Vaheana est une femme forte qu'on ne peut enfermer, brimer, aux libertés revendiquées d'une voix qu'on ne peut qu'entendre. D'un sourire charmeur.
Parfaitement consciente de l'effet qu'elle peut avoir sur les autres; sans être imbue d'elle-même et pourtant, possédant une étonnante capacité à la manipulation, à la formulation d'une réalité qui devient alors sienne.
Un sourire qui accroche, qui charme les esprits - et Vaheana qui sait jouer, qui sait manier les mots pour en faire autant des armes qu'une antidote.
Si Vaheana n'a pas mauvais fond; elle n'est pas la meilleure personne.
De ses mots, elle a attrapé les rayons de soleil pour réchauffer les coeurs, mais remué le magma en fusion pour enflammer les esprits - de ses mots, elle a provoqué les ébullitions et colmater les fuites. Elle a construit pour détruire ; cherchant une douleur qu'elle ne pouvait obtenir autrement.
D'une vie sans souffrance - elle en provoqué un éboulement catastrophique pour en comprendre les divers tourments et travers, tout n'était alors que dommages collatéraux.
De sa douce main, attraper celles qui glissaient de l'emprise de la vie pour leur insuffler un nouveau souffle, mais s'enfermant dans la prise empoisonnée d'autres existences.
Patience limitée et loyauté à ne plus prouver - Vaheana ferait tout pour ceux qu'elle aime; et elle se battrait toute sa vie pour sa famille ; parce que même si cette routine l'avait épuisée, lessivée, lassée, la famille qu'elle avait toujours eu avait toujours gardé une place précieuse dans son coeur.
Loyauté sans faille qu'elle apporte; et protectrice de ceux qui comptent. Parce que Vaheana ne craint pas la douleur - elle ne la connaît même pas; elle peut tout faire pour protéger ce qui est important, ce qui est la prunelle de ses yeux - ses frères et soeurs le sont.
Accroc à son indépendance - conflictuelle avec ses propres désirs, prompte à les étouffer pour que son esprit se perde et s'épuise - et pourtant, indépendante. Vaheana n'a pas besoin des autres et de leur aide, préférant davantage faire les choses par elle-même.
Esprit libre et créatif - parce que Vaheana aime créer, elle aime imaginer, rêver, elle aime la vie dans laquelle elle se trouve même lorsque se trouve un point sur sa cage thoracique - elle sera toujours reconnaissante de pouvoir respirer.
Incapable de pouvoir se centrer sur un seul domaine, souhaitant explorer, trouver, essayer, même en tombant - toujours prête pour s'adapter aux situations le demandant, Vaheana possède une débrouillardise qu'on ne peut lui retirer, qu'on ne peut lui contredire.
Et son sourire sur ses lèvres toujours aussi charmeur qu'on ne peut effacer.
Vaheana n'est pas de ceux qu'on oublie.
Williwaw
TrousselinSaiksWill' est discret, mais efficace. C'est un souvenir amer d'une relation se terminant par une absence et un coeur brisé - c'est un souvenir amer de mauvais penchants, mauvais comportements jamais corrigés. Et pourtant, Will est doux, Will est gentil et présent, toujours prêt à l'aider, tenir les clés de son coffre-fort et de sa roulotte pour ne pas qu'elles se perdent. Will' est un pokémon agréable qu'on pourrait tous souhaiter avoir. Sa provenance, elle, n'est qu'amertume.
Histoire
On lui a dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps que les autres ;
dès sa plus tendre enfance, sa vie fut rythmée de multiples blessures qui s'enchaînaient - qu'elle ne remarquait pas; qu'elle ne remarquait jamais.
On lui a dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps que les autres - mais jamais elle n'avait accepté de les écouter. Jamais elle n'avait accepté de se condamner.
Jamais on ne l'avait empêché de jouer dehors, de se promener - d'aider leur père sur la ferme, parce qu'on savait qu'on ne mettait pas Vaheana en cage.
Elle avait grandi dans un foyer aimant, aimé. Elle avait grandi dans une place qui avait toujours été agréable - douce. Mais Vaheana n'avait jamais su se contenter de la routine dans laquelle elle s'était enfermée en demeurant.
Elle les avait observé s'en aller en rêvant les rejoindre - en restant.
Vaheana avait grandi ici, avec un sourire et un charme - avec une volonté propre d'aider dans son foyer. Elle avait grandi à toujours braver les dangers. Typiquement l'enfant "casse-cou" qui faisait battre le coeur des parents un peu trop rapidement par peur que quelque chose arrive.
Sous le couvert d'activités scolaires, sous le couvert du silence pour ne pas qu'on la traite différemment, elle avait dû se rendre à plusieurs reprises dans le cabinet d'une ergothérapeute dans l'unique espoir de lui faire comprendre le danger - lui faire comprendre ce qui pouvait mal se passer si elle ne faisait pas attention.
Mais personne ne mettait pas Vaheana en cage sauf elle-même.
La prison dans laquelle elle avait grandi avait été cette famille, ce foyer à Alola, cette ferme où elle avait constamment aidé à en prendre soin, réparant tout ce qui venait à briser sur une base bien régulière.
La prison dans laquelle elle avait grandi avait pris les apparences d'études et de volonté à s'occuper de ses parents, ses frères et ses soeurs, être là pour eux. D'une routine aux touches de facilité fades.
Elle les avait toujours autant aimé et jamais cet amour n'avait failli, n'avait faibli - mais elle avait gardé une amertume sur les lèvres de cette vie aux mêmes jours, aux mêmes matins.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps que les autres
et elle avait pris sa vengeance sur cette vie qu'on cherchait à lui retirer en évoluant, en avançant, en tombant amoureuse - en brisant des coeurs et en ayant le sien brisé.
La première personne qu'elle ait jamais aimé fut son enseignant lorsqu'elle avait suivi cette formation pour devenir horlogère.
Il était grand, il était beau. Ses yeux avaient capté son coeur en quelques secondes, malgré l'alliance brillant à son doigt - malgré les évidences qui les séparaient.
Il était beau, il était intelligent - il était soigné et elle était amoureuse.
Vaheana n'aurait jamais pu dire à quel moment il avait cédé, à quel moment leur relation avait pris une étrange tournure - autour de quel café sous un odieux prétexte de travail mal compris elle avait gagné du terrain dans son esprit; mais ce fut le cas.
Un jour, elle a commencé à sortir discrètement le soir, à prétexter dormir chez des copines;
Un jour, les chambres d'hôtel et de motel devinrent sa chambre du week-end ; un jour, les secrets furent les baisers et murmures au coin du feu.
Elle avait laissé les promesses les envahir - il quitterait sa femme, qu'il disait; et elle voulait le croire. Quand les soirées s'étaient enchaînées - quand ils s'aimaient sous les témoins silencieux qu'étaient les étoiles - quand ils avaient continué de se voir même après qu'elle ait obtenu le diplôme pour lequel elle l'avait connu.
Elle était tombée amoureuse et elle avait accepté de croire qu'elle puisse être autre chose qu'un second choix.
Elle avait chéri le Trousselin qu'il avait trouvé - qu'il avait ramené en lui disant que ça lui faisait penser à ses beaux yeux, chéri les instants partagés dans un silence qui ne fallait surtout pas brisé.
Mais quand il ne vint pas un soir, puis deux, puis plus aucun; son coeur s'était décomposé et elle avait accepté sa défaite.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps; et elle avait noyé ce fait en plongeant tous les jours dans l'océan - en construisant une vie en mettant de côté toutes les certitudes balancées par les médecins.
(Mais Vaheana n'est pas imprudente - à toutes les deux semaines, elle s'était assurée d'avoir des rendez-vous pour des bilans complets - sous le couvert de rendez-vous professionnels pour les frères et soeurs qui étaient encore dans leur maison).
Elle avait grandi en masquant la particularité qui faisait d'elle celle qu'elle était - elle avait grandi en masquant la maladie qu'on lui avait collé en tant qu'étiquette pour ne pas être vue comme une condamnée à mort.
Parce qu'elle se condamnait elle-même à la vie - et c'était ainsi que son existence lui plaisait. On ne lui enlevait pas son souffle, elle le refusait.
Elle avait fait de la natation et de la course à pied ses sports favoris, laissant de côté tout ce qui demandait de la compétition et d'être en contact avec les autres - les sports collectifs. Elle avait fait de l'eau son élément favori, plongeant pour respirer, plongeant pour se tenir en fort, pour s'amuser.
C'est dans ces eaux qu'elle avait rencontré un Vaporeon - dans ces eaux qu'elle avait nagé à ses côtés jour après jour, qu'elle s'en était fait un ami - dans ces eaux qu'elle avait vécu les soirs à la belle étoile quand ce n'était pas dans des bras qui ne seraient jamais à elle.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas longtemps - et pourtant, des erreurs enchaînées apparue la plus belle de tous : un enfant - aucune douleur et qu'un amour profond pour cet enfant qui était maintenant dans ses bras.
Amante et mère - tout faire pour rendre heureux cet être qui restait dans ses bras - doucement, progressivement, apprendre les rudiments d'être parent et aimer; aimer plus que tout ce qu'elle gardait tout contre elle, berçait en lui chantant quelques douces mélodies.
Vai'iti de son prénom -
Elle les avait tous regardé s'en aller - et un jour fut venu son tour.
Neuf mois avant d'arriver à Lumiris, elle avait passé ses économies dans divers voyages sans jamais se poser, sans jamais rester - vivant d'aventures et de découvertes ; elle avait pris son envol.
Neuf mois avant d'arriver à Lumiris, ça avait été son tour de quitter le foyer - de les laisser à Alola pour comprendre le monde qui les entoure; promettant de toujours faire ses contrôles de routine pour éviter que son souffle s'arrache à cette terre.
Et quand elle arriva à Lumiris, elle avait acheté une roulette - sans jamais désirer s'embarrasser d'un appartement ou d'une maison conventionnelle.
Ce n'était pas son style, ce n'était pas elle - elle, elle voulait continuer de pouvoir aller où elle le voulait, et apporter son foyer où elle le désirait.
Elle avait 30 ans; Vai'iti en avait 5 ans - et c'était leur vie qui était à construire ici.
dès sa plus tendre enfance, sa vie fut rythmée de multiples blessures qui s'enchaînaient - qu'elle ne remarquait pas; qu'elle ne remarquait jamais.
On lui a dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps que les autres - mais jamais elle n'avait accepté de les écouter. Jamais elle n'avait accepté de se condamner.
Jamais on ne l'avait empêché de jouer dehors, de se promener - d'aider leur père sur la ferme, parce qu'on savait qu'on ne mettait pas Vaheana en cage.
Elle avait grandi dans un foyer aimant, aimé. Elle avait grandi dans une place qui avait toujours été agréable - douce. Mais Vaheana n'avait jamais su se contenter de la routine dans laquelle elle s'était enfermée en demeurant.
Elle les avait observé s'en aller en rêvant les rejoindre - en restant.
Vaheana avait grandi ici, avec un sourire et un charme - avec une volonté propre d'aider dans son foyer. Elle avait grandi à toujours braver les dangers. Typiquement l'enfant "casse-cou" qui faisait battre le coeur des parents un peu trop rapidement par peur que quelque chose arrive.
Sous le couvert d'activités scolaires, sous le couvert du silence pour ne pas qu'on la traite différemment, elle avait dû se rendre à plusieurs reprises dans le cabinet d'une ergothérapeute dans l'unique espoir de lui faire comprendre le danger - lui faire comprendre ce qui pouvait mal se passer si elle ne faisait pas attention.
Mais personne ne mettait pas Vaheana en cage sauf elle-même.
La prison dans laquelle elle avait grandi avait été cette famille, ce foyer à Alola, cette ferme où elle avait constamment aidé à en prendre soin, réparant tout ce qui venait à briser sur une base bien régulière.
La prison dans laquelle elle avait grandi avait pris les apparences d'études et de volonté à s'occuper de ses parents, ses frères et ses soeurs, être là pour eux. D'une routine aux touches de facilité fades.
Elle les avait toujours autant aimé et jamais cet amour n'avait failli, n'avait faibli - mais elle avait gardé une amertume sur les lèvres de cette vie aux mêmes jours, aux mêmes matins.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps que les autres
et elle avait pris sa vengeance sur cette vie qu'on cherchait à lui retirer en évoluant, en avançant, en tombant amoureuse - en brisant des coeurs et en ayant le sien brisé.
La première personne qu'elle ait jamais aimé fut son enseignant lorsqu'elle avait suivi cette formation pour devenir horlogère.
Il était grand, il était beau. Ses yeux avaient capté son coeur en quelques secondes, malgré l'alliance brillant à son doigt - malgré les évidences qui les séparaient.
Il était beau, il était intelligent - il était soigné et elle était amoureuse.
Vaheana n'aurait jamais pu dire à quel moment il avait cédé, à quel moment leur relation avait pris une étrange tournure - autour de quel café sous un odieux prétexte de travail mal compris elle avait gagné du terrain dans son esprit; mais ce fut le cas.
Un jour, elle a commencé à sortir discrètement le soir, à prétexter dormir chez des copines;
Un jour, les chambres d'hôtel et de motel devinrent sa chambre du week-end ; un jour, les secrets furent les baisers et murmures au coin du feu.
Elle avait laissé les promesses les envahir - il quitterait sa femme, qu'il disait; et elle voulait le croire. Quand les soirées s'étaient enchaînées - quand ils s'aimaient sous les témoins silencieux qu'étaient les étoiles - quand ils avaient continué de se voir même après qu'elle ait obtenu le diplôme pour lequel elle l'avait connu.
Elle était tombée amoureuse et elle avait accepté de croire qu'elle puisse être autre chose qu'un second choix.
Elle avait chéri le Trousselin qu'il avait trouvé - qu'il avait ramené en lui disant que ça lui faisait penser à ses beaux yeux, chéri les instants partagés dans un silence qui ne fallait surtout pas brisé.
Mais quand il ne vint pas un soir, puis deux, puis plus aucun; son coeur s'était décomposé et elle avait accepté sa défaite.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas aussi longtemps; et elle avait noyé ce fait en plongeant tous les jours dans l'océan - en construisant une vie en mettant de côté toutes les certitudes balancées par les médecins.
(Mais Vaheana n'est pas imprudente - à toutes les deux semaines, elle s'était assurée d'avoir des rendez-vous pour des bilans complets - sous le couvert de rendez-vous professionnels pour les frères et soeurs qui étaient encore dans leur maison).
Elle avait grandi en masquant la particularité qui faisait d'elle celle qu'elle était - elle avait grandi en masquant la maladie qu'on lui avait collé en tant qu'étiquette pour ne pas être vue comme une condamnée à mort.
Parce qu'elle se condamnait elle-même à la vie - et c'était ainsi que son existence lui plaisait. On ne lui enlevait pas son souffle, elle le refusait.
Elle avait fait de la natation et de la course à pied ses sports favoris, laissant de côté tout ce qui demandait de la compétition et d'être en contact avec les autres - les sports collectifs. Elle avait fait de l'eau son élément favori, plongeant pour respirer, plongeant pour se tenir en fort, pour s'amuser.
C'est dans ces eaux qu'elle avait rencontré un Vaporeon - dans ces eaux qu'elle avait nagé à ses côtés jour après jour, qu'elle s'en était fait un ami - dans ces eaux qu'elle avait vécu les soirs à la belle étoile quand ce n'était pas dans des bras qui ne seraient jamais à elle.
On lui avait dit qu'elle ne vivrait pas longtemps - et pourtant, des erreurs enchaînées apparue la plus belle de tous : un enfant - aucune douleur et qu'un amour profond pour cet enfant qui était maintenant dans ses bras.
Amante et mère - tout faire pour rendre heureux cet être qui restait dans ses bras - doucement, progressivement, apprendre les rudiments d'être parent et aimer; aimer plus que tout ce qu'elle gardait tout contre elle, berçait en lui chantant quelques douces mélodies.
Vai'iti de son prénom -
Elle les avait tous regardé s'en aller - et un jour fut venu son tour.
Neuf mois avant d'arriver à Lumiris, elle avait passé ses économies dans divers voyages sans jamais se poser, sans jamais rester - vivant d'aventures et de découvertes ; elle avait pris son envol.
Neuf mois avant d'arriver à Lumiris, ça avait été son tour de quitter le foyer - de les laisser à Alola pour comprendre le monde qui les entoure; promettant de toujours faire ses contrôles de routine pour éviter que son souffle s'arrache à cette terre.
Et quand elle arriva à Lumiris, elle avait acheté une roulette - sans jamais désirer s'embarrasser d'un appartement ou d'une maison conventionnelle.
Ce n'était pas son style, ce n'était pas elle - elle, elle voulait continuer de pouvoir aller où elle le voulait, et apporter son foyer où elle le désirait.
Elle avait 30 ans; Vai'iti en avait 5 ans - et c'était leur vie qui était à construire ici.
Pourquoi météore?
Vaheana n'a jamais eu peur de se perdre dans le travail - qu'il soit manuel ou intellectuel, de passer des heures debout pour comprendre, pour apprendre, pour s'investir dans une tâche qui lui aurait été donnée.
Vaheana n'a jamais été effrayée à l'idée de devoir se débrouiller toute seule - bien au contraire, d'une indépendance qui lui est propre, d'une indépendance qu'on ne peut remettre en cause, en mesure de faire preuve d'une débrouillardise bien marquée.
Vaheana n'a jamais été effrayée à l'idée de devoir se débrouiller toute seule - bien au contraire, d'une indépendance qui lui est propre, d'une indépendance qu'on ne peut remettre en cause, en mesure de faire preuve d'une débrouillardise bien marquée.
Lys Bwarf pas important Québec Étudiante
Comment a-tu découvert le forum ? Ton pokémon préféré : Umbreon As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Un dernier mot ?