Un petit Corayon aventureux se promenait dans les bois. Ses pattes courtes et peu mobiles (parce que, le corail, c’est un petit peu du caillou quand même) ne lui permettaient que de claudiquer tout doucement. Mais son manque de mobilité n’entravait en rien sa soif de découvertes ! Au contraire, le monde de la surface recelait de mille merveilles qu’il avait hâte de contempler !
...pour son malheur, il débarqua dans la petite clairière où Bunji et Scorvol se livraient bataille.
Face à ce pugilat sanglant, où homme et pokémon échangeaient aussi bien des coups que des invectives, qu’ils suaient et saignaient au gré de ce déchaînement de violence, l’un contre l’autre, feulant comme deux bêtes sauvages. Corayon se pétrifia.
Un coup de pince sauvage libéra une grande gerbe de sang humain. Le liquide chaud et poisseux éclaboussa le visage du petit Corayon.
Un, deux… Le Scorplane était ressorti de la Safari ball, un air un peu perdu au départ, pour rapidement prendre un air colérique. Non. Non. Non. Cela n’était pas prévu, j’avais reculé légèrement lorsque le scorpion volant avait déposé son regard vers moi, alors que celui-ci chargea dans ma direction, la Caninos était venue se placer devant moi, aboyant après le type sol. Chose qui n’intimidait point l’autre Pokémon, qui utilisait simplement un Dard-Venin vers la Pokémon de feu qui répliquait d’une Flammèche… Non, non, non, on n’était pas ici pour se battre… Chose que visiblement les deux Pokémons n’avaient pas la même vision que moi, puisque les deux avaient déjà commencés à se battre. – Ehm. Arrêter… ? Chose que les deux Pokémons ne se préoccupaient pas… J’avais simplement lâché un soupir, décourager.
Pendant que les deux se battaient, tout ce que je pouvais faire était de rester là, à les regarder. Je n’étais pas douée avec tout ceci, donc je ne savais point quoi faire. Tout se que je pouvais faire était de les regarder, Solstråle envoyait des attaques feus vers son adversaire et celui-ci contrer avec des attaques poisons. Je ne savais point combien de temps que j’étais rester là, à les regarder, faire, mais sans prévenir, j’avais fini par sortir une nouvelle Safari ball que j’avais lancé sur le Scorplane, chose qui avait fait que le chiot de feu venait de lancer une attaque dans le vide… - Ehm. Désolé, Sol'… Me frottais-je l’arrière de la tête d’une main, un regard un peu embêter, alors que la Caninos n’avait point gardé son regard vers moi très longtemps, disons qu’elle préférait être prête dans le cas où son adversaire ressortait de la ball.
Comme quoi, l’eau, c’est pratique. Et surtout parce que Madeline gère super bien ce genre de chose. À croire que toi et ta petite équipe, vous savez tout faire ! Bon, ça n’est pas vraiment le cas, vous savez bien vous occuper des autres en fait, peu importe le domaine ou presque, mais voilà.
"Ça commence à en faire beaucoup, hein ? Moi qui ne capture rien d’habitude ils ont décidé de tous venir me voir ?"
Heureusement que tu vas tous les relâcher à la fin. Tous ou presque, a voir. Tu cherches des liens avec des pokémons particuliers et tu n’es pas du genre à les forcer à venir avec toi. Toute ta clique peut confirmer ça.
"C’était quoi ce cri ?"
Un peu plus loin, un garçon est en train de tabasser - ou de se faire tabasser, tu ne sais pas trop - par un scorplane, et un pauvre crayon fait partit des dégâts collatéraux. Tu ne sais pas trop ce qui se passe, mais tu envoies vite Madeline s’occuper du pauvre pokémon. Le gars, ça peut attendre, il est encore "occupé".
Concours de CaptureCe moment semblait s’étirer à l’infini. Le Brocélôme (était-ce bien son nom ?) planait doucement dans ma direction, léger et aérien, comme une feuille est portée par la brise. Bien qu’un peu sur la défensive, de prime abord, son air rieur et indolent commençait à me convaincre qu’aucune sombre pensée n’habitait sa petite tête de bois.
Ce frêle vagabond spectral flottait sans craintes, et sans buts précis. Seule la caresse du vent le menait à moi.
Je tendai la main, peut-être un petit peu malgré moi, pour effleurer son écorce blanche du bout des doigts. Ma vigilance assoupie par la chaleur de l’été, et par la présence rassurante du dinosaure contre mon dos.
Et puis, je sursautai ! Ébranlé par une véritable détonation préhistorique ! Kingu venait d’éternuer.
Envolé, ce moment de complicité féérique avec le petit habitant des bois. Dans ce qui semblait être un petit jet d’urine spectrale, le pokémon avait promptement décampé.
Ah ouais, ce Scorplane ne voulait vraiment pas rester dans la ball… Nan, le voilà qui était ressorti, idée de venir continuer à tenir tête au chiot de feu. Je ne savais plus trop quoi faire, devait-on partir et le laisser tranquille, devait-on le forcer à fuir ou devais-je essayer de lui balancer d’autre Safari ball en espérant qu’il y reste ? Ouais, trop de choix pour moi. Okay trois n’était pas beaucoup à la fin, mais voilà.
- Bon… Continué à vous battre, vous avez qu’à me faire signe lorsque vous aurez fini, j’vais… La Caninos me balança un air rapide, mais décourager… - Okay, c’est bon, je reste, Sol’… Soupirais-je à la fin. Bwah quoi c’pas ma faute si j’étais inutile dans ce genre de situation… Je n’étais pas vraiment doué pour les combats… Je ne connaissais même pas toutes les attaques que pouvaient faire la Caninos… Okay, elle ne devait pas en avoir des masses, mais voilà, tout ce que je savais à la fin était que Solstråle pouvait balancer des Flammèches… Mouin, j'étais pas très douer dans la vie, mais elle devait faire avec la pauvre… Ouais, je vous jure qu’en sortant… ehmehm demain, j’allais jeter un œil aux attaques que le chiot de feu connaissait.
Je restais là, à regarder les deux. – Ehm. Je lui balance un ball et s’il ressort on fuit… Sauf s’il fuit… ? Ou quelque chose du genre… Sans vraiment réfléchir plus loin, paumée comme j’étais, j’avais simplement balancé une Safari ball vers le Scorplane, alors que celui-ci portait son attention sur la Caninos. Advienne que pourra.
Demi-victoire – c'est déjà bien assez. Je ne réprime pas le rictus qui s'imprime sur mes traits, à l'idée de la terrible contrainte que ce doit être de devoir s'assurer qu'on est en avance à table, trajet inclus, pour que l'assiette ne soit pas froide de l'espace entre les deux portes. À vrai dire, c'est une des réalités absurdes qui m'échappent, parce que je ne les ai jamais constatées de mes propres yeux. Moi qui me suis toujours satisfait d'une salle de bain réservée au foyer et d'une chambre séparée du salon, quand je tombe par hasard sur des articles qui étalent une liste non-exhaustive des pièces des résidences de milliardaires, l'idée m'échappe tant elle me paraît insensée. Si je peux accepter l'idée d'une piscine et d'un court de tennis à domicile, je saisis moins celle d'un SPA complet, de l'équivalent d'une bibliothèque municipale ou d'un théâtre dans sa propre maison. Enfin…
« Pourquoi l'école publique ? » Je demande finalement, après un instant d'hésitation. « Tes parents préféraient pas t'avoir avec des gens de la haute, plutôt qu'avec la plèbe ? »
Suivant le regard de la jeune femme qui s'est immobilisée, je lève le nez en direction des branches de l'arbre qui nous surplombe. Tout là haut, petit Fluvetin qui, repéré, se met en tête de grimper plus haut encore – hors de portée de nos lancers maladroits. « Fais-moi la courte échelle... Et je te balance quelque chose à la figure pour contre-attaquer ton « gamine de bourge ». » Mon regard s'attarde sur elle, une seconde de trop, avant que je hausse les épaules et y replace correctement mon sac. L'instant qui suit, je m'adosse au tronc, sous une branche épaisse qui saurait aisément servir de prise à l'audacieuse. Solidement campé, je noue mes mains entre elles pour en faire un étrier aussi stable que faire se peut. « Ce quelque chose a intérêt à être à la hauteur... » Et, comme si ce n'était pas assez, je m'empresse d'ajouter (non sans un rictus amusé). « Essaie de pas le louper, celui-là. »
une apparition siouplé !
Bunji d'Izabe
Dresseur·euse Météore & Champion·ne d'Arène
Messages : 937 Née le : 18/08/1996 Age : 27 Région : Hoenn Pokédollars : 5416 Stardust : 4974 Stardust utilisés : 4006 Equipe pokemon : Dojo
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Purée. Il venait de douiller. Trop concentré sur les mouvements de la queue empoisonnée du Scorvol, Bunji peinait à suivre ces enchaînements de feintes furieuses et complexes. L’environnement jouait en la faveur du pokémon sauvage. La couronne d’arbres aux branches basses lui fournissait de nombreux appuis, et le scorpion-volant profitait de cet avantage à fond : bondissant de ces refuges d’écorce pour frapper, sans relâche, et tous-azimuts.
Estimant brièvement la gravité de sa blessure, Bunji resserra sa garde. Il pouvait bloquer les Feintes, à condition d’encaisser l’attaque sous le bon angle. De rester vigilant, mais de ne pas se laisser déconcentrer par les capacités toxiques du scorpion.
Une nouvelle charge l’expédia au sol, une chute qu’il prolongea d’une roulade. Se dissimulant derrière un large tronc. Le chêne s’ébranla sous la violence de l’assaut. Aussitôt, Scorvol contourna l’obstacle pour se préparer à frapper encore…!
...c’est là que Bunji ramassa le curieux caillou rose qui se trouvait à ses côtés. Pour s’en servir comme bouclier.
Le Corayon évanoui poussa un cri de surprise tandis qu’on le réveillait d’une large beigne ! Ses petits yeux éplorés s’ouvrirent sur le Scorvol, puis sur l’humain forcené qui se servait de son corps comme rempart !
Concours de captureDans une famille avec plusieurs enfants, on compare, on privilège, on en préfère toujours un en particulier. Qu’importent les mensonges qu’une mère se fera à elle-même toute sa vie, qu’importent les colères du paternel lorsqu’on l’oppose à la vérité, les enfants grandissent et se souviennent. J’étais bien celle qui avait joué un scandale pour aller à l’école publique, mais si mes parents avaient cédé, c’était parce que ma demande allait dans le courant de leurs intérêts. Quoi de mieux que de cacher une enfant gênante tout en ayant le privilège de ramener sur le tapis, à la moindre confrontation lors du traditionnel repas de famille, qu’ils m’avaient laissé faire ce que je voulais. La disparition de l'enfant privilégié n'avait que transformé ma vie familiale en une image qu'on aurait pu coller dans un dictionnaire, à côté de la définition même de l'hypocrisie.
- « Pourquoi l'école publique ? Tes parents préféraient pas t'avoir avec des gens de la haute, plutôt qu'avec la plèbe ? »
- « J’étais le vilain petit Couaneton de la famille. » Une réponse plus que suffisante.
Discrètement, mes prunelles ambrées avaient effleuré les creux des poignets du garçon, des lesquels les bracelets avaient glissé avec maladresse, faute d’un mouvement qui avait contraint ses avant bras à aller dans un premier temps vers le haut.
- « Ce quelque chose a intérêt à être à la hauteur... Essaie de pas le louper, celui-là. »
C'est toi que je ne vais pas louper... Une main prête à prendre appui contre le tronc de l’arbre, l’autre dans le vent, cherchant à comprendre les règles de l’équilibre, j’avais posé le bout de ma chaussure sur les mains liées de la racaille, laquelle incarnait temporairement mon chevalier servant, avant d’y prendre un cours appui de quelques secondes, le temps de poser mes mains, puis mes bras, sur l’épaisse branche avant de hisser doucement mon corps sur cette dernière.
- « Tu es parfois violent… Envers toi-même. »
Le visage visant les hauteurs, je m’étais doucement redressée sur mes deux jambes pour prendre une prise plus haute, considérant qu’il me fallait encore un peu de hauteur avant de rompre la distance restante entre moi et le Pokémon volatile d’un lancé de Pokéball qui, n’aurait aucunement le droit à l’erreur.:copyright: 2981 12289 0
Spoiler:
Demande de capture de Fluvetin ! 2/3
Dusk
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D'habitude, sobre, je ne me serais jamais disputé avec quelqu'un sans véritables raisons. Il faut croire qu'être en couple ne me réussit pas : j'ai tendance à être beaucoup trop protectrice avec celle que j'aime et, inconsciemment, j'essaie de l'impressionner. Sauf que c'est tout le contraire : la demoiselle me regarde à peine et semble attendre que le temps passe. En attendant, je m'engueule toujours avec la bonne femme, jusqu'à ce qu'un torrent de pluie clos notre conversation.
Je me précipite vers Astelle, saisissant sa main avant de l'amener à l'abri. Mise à part le feuillage des arbres, rien ne peux nous protéger de la pluie. Mais lorsqu'on s'aventure dans les fourrés, nous dégotons ce qui semble être une petite cabane de pêcheur, caché derrière les hautes herbes au bord de l'eau.
« Viens ! Allons dans la cabane le temps que la pluie passe. »
Sans même lui demander clairement son avis, je l'entraine dans la maison en bois.
« Eh beh ... je l'ai pas vu venir celle-là. »
PP secoue ses poils sans faire attention à notre présence, nous trempant davantage. Je pousse un râle avant tordre mon gilet trempé. Puis je me retourne vers Astelle, la mine soucieuse.
« Ça va, ma belle ? »
Je lui tends ma serviette de sport. Elle doit sentir encore la sueur mais ça devrait nous dépanner. Je retire mon haut avant de l'étendre sur une planche en bois, détachée de la toiture. Ensuite, j'appelle Mélancolux dans l'espoir qu'à l'aide de sa lueur chaleureuse, nos vêtements soient secs. Ce dernier me toise d'un air de dire : « Tu veux que j'fasses le repassage aussi ? Tu te prends pour qui ? » mais il finit par s'atteler à la tâche. Profitant d'être à l'abri de regard, je retire mon jogging pour le mettre à sécher avec mon habit.
« Tu t'déshabilles ? Sinon tu vas choper un rhume ... » dis-je en éternuant deux secondes après.
Je fais comme si de rien est mais je sens qu'Astelle est déçue de mon comportement. Je tente tant bien que mal de me rattraper en faisant la chevalière servante. Espérons que ça marche.
Modération:
Une nouvelle apparition siouplaît !
Dusk
PNJ
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C'est la fête au Brocélôme ! Mais lui, il a décidé qu'il allait éternuer dans tes cheveux. Oopsie. Il rigole. Il n'a pas l'air désolé.
Que vas-tu faire ?
Apparition d'un pokémon !
Un Corayon sauvage apparait pour Manon
Il appelle à l'aide depuis l'extérieur. Lui aussi, il aimerait bien s'abriter de la nuit. Il aime bien nager dedans, pas se faire arroser gratuitement.
Que vas-tu faire ?
Maitre du jeu
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Ni sa mimique, ni constaté la présence de la grosse goutte d’eau sur son épaule ; pauvre Morphéo qu’Astelle dut récupérer en catastrophe et vite fourrer dans sa besace ! Manon s’était tellement précipitée – elle s’était emparée de sa main pour la tirer à toute vitesse en direction de la cabane ! – qu’elle n’avait absolument rien remarqué.
— Eh beh ... je l'ai pas vu venir celle-là, soupira la jeune femme en refermant la porte derrière elles. Sans blague, Manon.
— Ça va, ma belle ? — Bien sûr que ça va ! C’était rien qu’un peu d’eau.
Pépé semblait du même avis. Le pokétoutou s’ébroua bruyamment, répandant un délicieux fumet de chien mouillé dans la petite cabane de pêcheur. Astelle accepta malgré tout la serviette de son amie, puis remercia Dédé le Mélancolux de leur servir de chauffage d’appoint. Elle commença à se sécher les cheveux, toutefois, contrairement à Manon… elle n’avait pas l’intention de se changer.
— Tu t'déshabilles ? Sinon tu vas choper un rhume … — ...c’est pas très subtil, ça, comme proposition, Manon. Astelle avait beau faire la blasée : il était hors de question qu’elle soulève son t-shirt bouffant ! Surtout pas après que sa maman lui ait dit qu’elle avait pris du poids. Si Manon lui devinait un bourrelet, elle ne s’en remettrait jamais.
De toute façon, il fallait qu’elles discutent. Son amie se comportait comme si elles venaient d’échapper au déluge, mais même si les nuages avaient été gris et déjà bien chargés de pluie : l’averse ne risquait pas de durer plus de quelques minutes. Manon en faisait simplement des tonnes. A se couper en quatre, à leur préparer un petit refuge douillet, à essayer d’être à ses petits soins. Et la raison pour laquelle elle se comportait comme ça était limpide. C’était toujours la même chose. Toujours les mêmes insécurités. ...pour toutes les deux.
Pour qu’elle cesse de s’agiter, Astelle s’empara du pokémon qui reposait dans sa besace. — Ouvre les yeux, nounouille ! lança-t-elle à son amie en lui pressant son Morphéo sur la figure ! C’était juste une Danse-Pluie. Pour refroidir vos ardeurs.
Sous sa forme d’Eau de Pluie, le corps de Morphéo était délicieusement frais et ruisselant. Très soudainement, le pokémon embrassa gentiment la joue de Manon, avant de se mettre à voleter autour de la jeune femme. Son rire s’écoulait avec la douceur d’un petit ruisseau.
Espérant que ça suffirait à la calmer un petit peu, Astelle lui ouvrit les bras, et sa serviette. — Viens ici, lui dit-elle, de cette voix pleine d’autorité qu’elle réservait à Pépé, pour qu’elle s’installe à ses côtés sur le banc. Comme tu as encore tout compris de travers, je vais te dire clairement le fond de ma pensée : il était hors de question que je prenne part à vos chamailleries. Une bonne douche, c’était tout ce que vous méritiez, tous les quatre !
...et alors quoi ? Tu crois que ça peut encore m’étonner de te voir te comporter comme une tête brûlée ? Tu crois vraiment que tu risques de me décevoir ?
Regarde-moi dans les yeux, Manon. Regarde-moi bien.
Est-ce que j’ai l’air déçue ? Dans mes grands yeux noisette, lumineux et captivants, est-ce que tu vois autre chose que de la tendresse qui pétille ? Autre chose que des petites vaguelettes d’affection froufroutantes ?
Sans perdre en intensité, sa voix se réduisit bientôt à un souffle. — Est-ce que tu crois vraiment que tu peux réussir à me faire t’aimer moins ?
Venant clôturer cette déclaration, un bruit qui sonnait un petit peu comme *smack !* résonna dans la pénombre du cabanon.
Tu continues d’observer le duel épique entre un truc qui vole et un mec pas si doué que ça. Nul doute que si c’était toi, tu auras "bien sûr" déjà explosé le pokémon chiant, et encore Macha lui aurait surement déjà rabaisser le caquet à grand coup de poireau dans la tronche.
Et depuis quand les gens se servent des pauvres crayons comme bouclier humain... enfin, pokémon. Contre un pokémon. C’est pas vraiment... super. Une "bonne" technique, mais franchement, il y a mieux à faire. Mais il a quand même "raison" dans le sens que ça marche et qu’il a gagné. Donc finalement pas si mal ? Pauvre corayon quand même, heureusement que son camarade que tu viens de capturer n’a vu tout ça.
Et puis il y a un coup de vent. Un pokémon qui t’énerve dans la gueule. Macha, stress, pokémon qui t’embête... tout le monde sait comment ça termine.
Dorian Scino
Dresseur·euse Nébuleuse
Messages : 160 Née le : 15/06/1996 Age : 27 Région : Lumiris Pokédollars : 1990 Stardust : 347 Stardust utilisés : 125 Equipe pokemon : Icone :
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En continuant d'avancer dans cette mer de dresseur, il était compliqué de tenir le ryrthme, vous voyez les soldes de fin d'année ? bah là c'est pareil ! dès qu'un pokemon est repéré tout le monde se jette dessus, ce qui fait qu'on est balloté de partout !
Pire que le marcher de noel de Mirawen, trop de monde et pas assez de place... hein c'est quoi ça?
en effet mon regard vu plus attiré par un pokemon totalement ordinaire qu'un chromatique bleu pétant ( bonjour le corayon pas beau), ce pokemon ressemblait à une loutre ou un castor marron, mais faisait pas mal de grimace dans l'espoir d'attirer l'attention, il avait un grand sourire lorsqu'il remarqua que je le fixait, mais il continuait de gesticuler ...
Bon bah toi tu vas venir avec moi ai-je murmuré avant de lui lancer une pokéball en plein sur le museau, en même temps je suis pas là pour cueillir des fleur non plus ! je sais même pas si un pokemon chromatique rapporte plus de point dans ce concours ... En tout les cas je compte capturer tout les pokemon que je croise !
Y'a de quoi réchauffer l'ambiance... Moi, j'dis ça, j'dis rien. J'donne juste des conseils mais... après, vous faites bien ce que vous voulez, Manon et toi.
Points gagnés : 4
Tentative de capture !
Et c'est un échec pour Maya !
La pokéball se tortille de droite à gauche... ... ... ... Oh non !
Le pokémon est ressorti. On dirait qu'il veut te donner du fil à retordre...
Que vas-tu faire ?
Tentative de capture !
Et c'est un échec pour Dorian !
La pokéball se tortille de droite à gauche... ... ... ... Oh non !
Le pokémon est ressorti. On dirait qu'il veut te donner du fil à retordre...
Que vas-tu faire ?
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Maya "Melody" Wayne
Dresseur·euse Pléiade
Messages : 1220 Née le : 05/12/1999 Age : 24 Région : Johto Pokédollars : 8118 Stardust : 5622 Stardust utilisés : 2654 Equipe pokemon : Macha Madeline Xion Marmelade Yayo
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Messages : 1220 Née le : 05/12/1999 Age : 24 Région : Johto Pokédollars : 8118 Stardust : 5622 Stardust utilisés : 2654 Equipe pokemon : Macha Madeline Xion Marmelade Yayo
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Le pokémon spectre esquive avec facilité le coup de poireau enragé de ton mimiqui. Facile quand on vole et qu’on parle d’un tout petit pokémon qui doit sauter pour tenter de toucher sa cible. Ça n’est pas passé loin, c’est vrai. Ça doit être l’énervement qui la fait rater. Ça arrive, ça n’est pas très grave.
"C’est bon, je gère ça !"
Tu lances très maladroitement une pokeball, la faute à ton bras toujours engourdie. Ça te fait un peu mal aussi, tu fais une petite grimace, mais ça n’est pas très grave. Ça va passer. Tu espères. Tu ne va quand même pas devoir finir par voir un médecin, si ? Ça serait vraiment chaud.
"Macha concentre toi plus sur lui, d'accord ? Moi ca va je te dis."
Tu veux la rassurer, tout simplement. Faire semblant ca n'est pas un soucis.
Concours de CaptureLe petit être de bois et de malheur s’était fait la malle, sous les petits yeux noirs interrogés du Rexillius, lequel avait penché la tête sur le côté, ne comprenant pas ce qui lui valait mon regard mi-déçu, mi-agacé, mais un peu des deux quand même. Je n’avais même pas eu la chance d’observer la bestiole. Ce sont des choses qui arrivent, je présume... Faisant volte-face, je m’apprêtais à franchir la courte distance qui me séparait de mon Pokémon Tyran, mais un bruit léger dans la pénombre des sous-bois, me faisant penser à un linge, m’avait contraint à me retourner par prudence. Rien… C’était trop curieux pour que je puisse y croire. Faisant mine de rien, comme si je n’avais rien entendu, je m’étais tourné à nouveau. Dans un secret, j’avais attrapé une nouvelle Pokéball. Un nouveau bruit, ressemblant à du vieux bois grincheux qu’on déplaçait, m’avait sonné de passer à l’action. Je m’étais subitement retourné, envoyant ma Ball sur le Pokémon sauvage qui venait tout juste d'apparaître.:copyright:️ 2981 12289 0
De gauche à droite la balle ronde surnommée Safari Ball tourne de manière très rapide, agitée. Le bouton central est encore au rouge ce qui signifie que le Pokémon continue de se battre à l’intérieur de la coquille. Au bout d’un moment, dix secondes pour être plus exact, la sphère éclate pour libérer le Scorplane qui est cette fois encore plus combattif que tout à l’heure. Effectuant un pas sur le côté pour esquiver sans sourciller le scorpion énervé, l’albinos pointe son agresseur de son index. « Braun !! » rugit la duchesse qui elle aussi commence à être en pétard. La Safari Ball est vraiment une invention bon marché. Ses Luxes Balls auraient été plus efficaces contre la créature volante. Elle peste dans sa barbe invisible. « Fait quelque chose !! » ordonne de toute sa colère la cowgirl.
D’un élan de férocité, Braun aka le Pandespiègle de The Queen grimpe sur le dos de sa maîtresse puis s’élance de son épaule pour user de sa Charge contre Scorplane. Lorsque les deux s’entrechoquent, Becky se recule de quelques pas pour éviter de recevoir des particules de terres et d’herbes sur sa silhouette. L’échange des deux combattants a été littéralement très violent. D’ailleurs, Braun le montre très bien car au lieu de retomber sur ses deux pattes arrière, le panda s’écrase complètement sur le sol. Baissant le rouge de ses orbes sur son Pokémon, Panabaker s’assure que l’état de son fidèle ami n’est pas alarmant. Une goutte de sueur perlant le long de sa tempe par un début d’inquiétude pour sa créature, elle fut surprise que son Pandespiègle se soit relevé en ne se plaignant aucunement des égratignures reçues. C’est qu’il commence à devenir un vrai lutter ce petit panda.
Fière de Braun, Becky s’apprête à le féliciter par le biais de sa voix. Sauf qu’elle n’en a pas du tout le temps. Scorplane décide de poursuivre son assaut pour gagner le round. Remarquant que l’ennemi est bien trop concentré sur le panda, une autre Safari Ball est lancé dans la direction du scorpion. Espérons que la deuxième tentative soit une victoire pour Braun.
La première pokeball s'écrasa au sol avant de laisser le pokemon ressortir, bon sang j'suis sûr que la capture à échoué à cause de cette foule qui se rue sur le chromatique qui a montré un bout de branche... Mais bon je dois me rapprocher du castor qui poursuit ses grimaces.
Bon vous vous bougez de là ?! il y en a qui veulent passer ! Bordel, si faut jouer à ça on va jouer ... Teavana viens avec nous! La rozbouton apparu et disparu aussi tôt dans mes bras, trop de monde pour elle, mais actuellement c'est la seule capable de nous faire avancer... Teavana ma belle je sais que tu aime pas quand il y a autant de monde, mais j'ai besoin d'avancer ... Utilise ton para spore s'il te plait, une fois qu'on a traversé la foule tu retournera dans ta pokeball promis, ma belle.
Le bourgeon de rose s'exécuta et libéra une poudre orangé sur la foule, faisant criser les dresseurs touché pour qu'on puisse passer, on avait un chemin tout tracé maintenant, je fit donc entrer le pokemon plante dans sa sphère rassurante et il fallait maintenant soigner toutes les victimes de l'attaque ... comment faire ? et soudain une odeur des plus apaisante se rependis, apaisant les tension et les muscles, une aromathérapie ? en y regardant de plus près c'est Mocha qui utilise la capacité, depuis quand elle la connais ?
Tu sais utiliser Aromathérapie toi maintenant ? t'es toujours aussi surprenante ma Mocha adoré, bon retournons à notre capture tu veux bien maintenant ?
Oh well, le Scorplane était ressorti et avant qu’on puisse bouger avait fui… Ah bah au moins, on n’avait pas besoin de le fuir, c’était déjà ça. Nan, ce n’était pas pour autant que j’allais me décourager, après tout, on ne pouvait certainement pas réussi à tous les capturer, n’est-ce pas. Après dans ce cas-là, je préférais qu’il parte que de voir la Caninos et celui-ci se battre. – Bon, on se remet en route pour en trouver un autre ? Solstråle aboya de manière positive en même temps que de se remettre en marche. Je l’avais suivi sans hésitations.
Qu’allons-nous trouver ensuite était la question ici. Mon regard voguait sur les alentours, mais rien. Après un certain moment, j’avais arrêté un instant, levant mon regard vers le ciel, alors que le chiot de feu était venu se placer près de moi. - Ah ! Je sais pourquoi pas se faire une petite course ? Lançais-je joyeusement vers la canine. Solstråle me répondit d’un jappement enjouer. - J’imagine que c’est un oui ! Le premier qui arrive… Ehm ah ! Pourquoi pas l’arbre là-bas ? Pointais-je un arbre plus loin, alors que la Caninos hochait la tête, visiblement elle avait compris ! – Un… deux… trois… Go ! À mon signal on était toutes les deux parties. Bon, la plus rapide était par logique le chiot de feu, rares étaient les humains plus rapides qu’un chien, après tout, mais cela était amusant tout de même.
Le minois de la jeune fille ne bouge pas d'un cil : elle fait toujours la moue. Peu convaincue par ma suggestion, Astelle préfère me présenter son tout nouveau pokémon en forme de gonades.
« Ouvre les yeux, nounouille !, je sursaute tant je n'ai pas l'habitude de l'entendre hausser le ton, C’était juste une Danse-Pluie. Pour refroidir vos ardeurs. »
Elle me colle Morphéo sur la face. Je réalise alors la supercherie et je rougis de honte pour mon comportement étrange. Le pokémon finit par me faire un bisou puis rejoint sa maîtresse. Je reviens vers lui pour serrer de façon viril sa boule.
« Enchanté, m-moi c'est Manon. »
Je pointe du pouce Granbull, planté derrière moi, en train de se gratter l'oreille avec sa patte arrière.
« Et le gros chien qui pue là bas, c'est PP. »
Je tape la discute au pokémon de peur qu'Astelle me gronde. Je déteste quand elle affiche cette expression sur sa figure, j'ai un pincement au cœur à chaque fois que je croise son regard mécontent.
« Viens ici » me demande-t-elle avec fermeté.
Sans broncher, je m'assieds à côté d'elle sur le banc plein d'échardes. Il faut dire qu'il a prit l'humidité, mon slip va prendre cher. Heureusement, Astelle me prête sa serviette, donc je m'empresse de la poser sous mes fesses avant de faire difficilement face à ma mie.
Elle m'avoue qu'elle ne souhaite pas prendre part à ces querelles de gonzesse et que la meilleure solution pour calmer nos ardeurs, c'est un bon bain d'eau froide. Je fais tout pour éviter son regard en ayant l'air le plus dépité possible. La demoiselle me jette des mots durs bourrés de vérité, impossible de répondre tant il n'y a rien à redire. D'autant plus que je pourrais m'enfoncer d'avantage.
« Regarde-moi dans les yeux, Manon. »
Je relève le menton, mais mes yeux ne se plantent pas dans les siens.
« Regarde-moi bien. »
Mes mirettes se dirigent timidement vers Astelle. Les joues légèrement pourpres, elle me rassure – tout en me disputant – en me confiant que je n'ai pas besoin de lui prouver que je suis à la hauteur de ses sentiments, puisque je le suis déjà.
« Est-ce que tu crois vraiment que tu peux réussir à me faire t’aimer moins ? »
Sa voix se fait plus douce, susurrant à mon oreille. Figée par le pouvoir d'Astelle qui m'ensorcelle, cette dernière en profite pour me voler un bécot.
*smack*
Je reste un long moment à la contempler. Mon cœur tambourine si fort que je me demande si il ne va pas exploser. J'aimerais pouvoir rétorquer à son discours mais ses lèvres m'intéressent d'avantage que des excuses bidons.
Sans la quitter des yeux, ma main sur sa taille, je fais légèrement pression pour l'inciter à se rapprocher de moi. Étant plus qu'à quelques millimètres de sa peau, je prends l'initiative de l'embrasser plus longuement. Après cela, il va falloir que je trouve les bons mots pour me justifier, mais je perds toute raison lorsqu'il s'agit d'un baiser langoureux.
PP, un peu gêné, ne sait plus où se mettre. Il trouve refuge dans un coin de la pièce, voulant s'amuser avec le Morphéo. Alors que celui-ci virevolte dans les airs, le toutou joueur saute en espérant l'attraper. Voilà une occupation beaucoup moins malaisante que de mater sa maîtresse en train de bécoter une donzelle.
Rejoins la famille !
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Un, deux… Le Scorplane était ressorti de la Safari ball, un air un peu perdu au départ, pour rapidement prendre un air colérique. Non. Non. Non. Cela n’était pas prévu, j’avais reculé légèrement lorsque le scorpion volant avait déposé son regard vers moi, alors que celui-ci chargea dans ma direction, la Caninos était venue se placer devant moi, aboyant après le type sol. Chose qui n’intimidait point l’autre Pokémon, qui utilisait simplement un Dard-Venin vers la Pokémon de feu qui répliquait d’une Flammèche… Non, non, non, on n’était pas ici pour se battre… Chose que visiblement les deux Pokémons n’avaient pas la même vision que moi, puisque les deux avaient déjà commencés à se battre. – Ehm. Arrêter… ? Chose que les deux Pokémons ne se préoccupaient pas… J’avais simplement lâché un soupir, décourager. 
Macha
Madeline
Xion
Marmelade 
Yayo
CN.JUNE, 
