T'étais là ; t'étais là quand elle s'en est allée et qu'il a fallu composer – composer avec les regards des autres, leurs murmures et leurs regards en biais, composer avec leur pitié et leur intérêt soudain en la bête de foire que le deuil a fait de moi. T'as été là, là pour faire barrage entre le monde et moi, et là quand il a fallu vider son casier, là quand il a fallu m'empêcher de tomber – de tous ceux qui m'entouraient le seul refuge, la seule main tendue, la seule bienveillance ; le seul regard qui n'a pas changé quand tout autour de moi s'est effondré. Je crois… Je crois qu'on se garde beaucoup de secrets, je crois qu'on se ment souvent par omission, je crois qu'on a peur parfois – mais peu importe au fond, quand je sais que t'es là, et qu'à toute heure tu décrocheras, qu'à tout instant je serai ta priorité comme t'es la mienne depuis que je t'ai rencontré. Plus qu'un ami, un allié, un frère porté par le coeur – je ne saurai jamais comment te dire merci d'exister dans mon univers insensé.

Nous c'est libre et sans promesses – deux étrangers qui ont partagé une danse et des problèmes. [wip]

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Je relève la tête et, au milieu du chaos, il y a toi. [wip] Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Quisque laoreet ut nisi a fringilla. Etiam mi orci, vulputate in dui vel, porttitor vestibulum magna.